L'INVENTION DE L'ISLAM
Mahomet le Prophète et les Révelations Divines

! AVERTISSEMENT !
Cette article n'est pas contre les Musulmans, mais une recherche sur la création de la religion Islamique
! CETTE PAGE N'EST PAS ANTISEMITE !

Le Zodiaque de Mahomet

Ceux du jardin des délices seront attendus par une
jeunesse immortelle aussi belle que des perles éparses

QUAND L'ISLAM DE LA MECQUE REMPLACA LE CULTE DES ANCIENS

ALLAH LE ZEUS ORIENTAL

CORAN ET CULTURE GRECQUE

Les traces de la culture grecque dans le Coran s’oppose diamétralement aux exégètes musulmans qui présentent le Coran comme une révélation sans rapport avec les cultures et les civilisations dominantes. Les mythes coraniques ont un rapport avec les mythes anciens des chrétiennes et judaïques et dont les origines remontent à des temps beaucoup plus anciens comme le mythe du Jour de jugement finale que l’on trouve dans le livre des morts chez les anciens égyptiens.

La révélation du Coran a eu lieu dans un espace géographique et culturel sémitique sous domination romaine, le Coran est donc imprégné de la culture grecque véhiculée à travers les romains qui avaient adopté la culture grecque et fait de la langue grecque la langue officielle de l’empire romain de l’Orient.

La nouvelle religion de l'Orient s'inspire largement des mythes et des institutions des cités grecques que l'on trouve dans les nombreuses sources arabes. L'Empereur homosexuel Constantin est donc certainement au coeur de ses différentes cultures, le drapeau islamique est à l'origine celui de l'Empire romain d'Orient, celui de Constantin et de sa capitale Constantinople.

Atronomiquement en étudiant les figures, ALLAH est une autre version de ZEUS, le roi de l'Olympe mais surtout du zodiaque, puisque son siège est au-dessus des autres divinités. Il est représenté par notre actuelle constellation de la BALEINE (cetus) et trône au-dessus de la constellation des POISSONS.


LES ARABES ET LES GRECS

Il n'y a pas de monde Arabe, pas plus qu'il n'y a un monde juif ou catholique. L’origine du mot Arabe, du latin Arabus, qui provient lui-même du grec, demeure obscure, malgré les nombreuses recherches. Dans la mythologie grecque ce nom vient du héros ARABOS, né dans une vaste contrée à qui il donna son nom, l'Arabie, et à son peuple. Il est fils du dieu Hermès et père de Cassiopée. Il pourrait provenir de l'akkadien Arabu, qui veut dire désert.

Les Grecs qui dominent toute la région après la conquête d'Alexandre donne le nom ARABE aux peuples du désert (certainement d'Arabie) en se basant sur la constellation HERACLES qui domine le ciel de l'époque dans cette région. Ces terres sont toutes sous domination des grecs qui s'inspirent de l'Egypte et des anciens culte pour les fondations des mythes, que l'on retouvera dans le Coran.

Le Moyen Âge dans le monde islamique est une période d’intense activité intellectuelle. Des disciplines comme la philosophie, la médecine et les mathématiques y ont été développées sur la base de traités grecs, persans et hindous. Les savants de langue arabe, originaires de territoires aussi variés que le Proche-Orient, l’Iran, l’Asie Centrale ou l’Espagne, sont de confession musulmane ou chrétienne.

Lors des conquêtes au VIIe siècle, les Arabes rapportent de nombreux ouvrages en grec qui se trouvaient en territoire byzantin, comme à Alexandrie, un haut lieu du savoir durant l’Antiquité. Durant la période abbasside (750-1258), considérée comme l’âge d’or de l’Islam, les califes mènent une importante politique culturelle. Le pouvoir finance des philologues pour traduire des traités du grec vers l’arabe ; ce sont le plus souvent des chrétiens maîtrisant à la fois le grec, le syriaque et l’arabe.

Parmi les ouvrages traduits se trouvent des textes fondateurs de la science grecque : par exemple l’Almageste de Ptolémée, l’une des sommes de mathématiques et d’astronomie les plus importantes de l’Antiquité, les Éléments d’Euclide, un traité de mathématiques et de géométrie, et bien d’autres savants encore, comme le célèbre Archimède. En médecine, le De Materia Medica de Dioscoride ou les traités de Galien font autorité et influencent durablement la pratique de la médecine dans le monde arabe. En philosophie, les ouvrages d’Aristote et de Plotin marquent la pensée arabo-musulmane. Plus généralement, le néoplatonisme, courant philosophique de l’Antiquité tardive issu de la pensée de Platon, inspire les grands penseurs arabes médiévaux.

Les sciences arabes, héritées en partie de l’Antiquité grecque, se sont ensuite développées de façon originale. Leur influence s’exerce au-delà du monde islamique puisque les ouvrages scientifiques en langue arabe sont traduits et diffusés en Europe dès la fin du Xe siècle. Des auteurs comme Avicenne sont des références pour les médecins occidentaux. Il est par la suite enseigné, ainsi que d’autres savants, dans des universités aussi célèbres que Paris ou Montpellier au Moyen Âge.

Source : Sterenn Le Maguer


ALADDIN LA RELIGION ELEVEE

On retouve toute la mythologie de l'Antiquité grecque dans les comptes sémitiques et la nouvelle religion. ALADDIN (ou Aladdin, ou encore Alaeddine, ce qui signifie « la religion élevée ») est le héros dans une version tardive du recueil des Mille et Une Nuits. L'histoire d'ALADDIN ressemble vraiment à celle d'HERCULE / HERACLES, la petite sirène ARIEL est la fille du Roi Triton, le fils de Poséidon, qui, selon la mythologie grecque, est le frère de Zeus. L'islam est une fusion de la mythologie grecque. Il y a aussi le mythe de PERSEE et son cheval volant, la constellation PEGASE. Etc..


ISLAM ET CHETIENS

La langue arabe vient directement des anciennes écritures des chrétiens d'Orient. L'écriture arabe est la dernière-née des écritures sémitiques occidentales, qui dérivent toutes de l'alphabet inventé par les Phéniciens deux mille ans avant notre ère. Elle n'apparaît, en effet, qu'au VIe siècle dans une dédicace trilingue (grec-syriaque-arabe) datée de 512 et trouvée à Zabad, dans la région d'Alep.

Le symbolisme chrétien est présent partout dans le Coran, ce sont les mêmes mythes et les prophéties sont très proche, on y trouve même SAINT-MICHEL tuant le dragon présent dans l'Art islamique avant que l'on interdise les représentations humaines. MICHEL est un des sept archanges majeurs des religions abrahamiques (judaïsme, christianisme, et islam).

Entre la mort de Mahomet et la rédaction de la 1ere grammaire arabe par Sibawayh, il s'est écoulé 2 siècles. Les meilleurs professeurs d'universités y compris arabes laïques ( on peut être croyant et laïc) s'accordent pour dire que le Coran aurait été retranscrit en araméen par des scribes ( puisque le prophète ne savait ni lire ni écrire,) et traduit beaucoup plus tard en arabe.


LE SENS DU CORAN

Le COran n'a pas de sens sans révélation par un maître des versets et la véritable signification de ces Versets. Il y a énormément d'Imam ignorants, ils ne font que répéter des écriture dont ils ignorent le sens caché. On peut ainsi faire ce que 'l'on veut avec le Coran, dès l'origine et bien avant les traducteurs orientalistes européens, d'ou les différents rites, sunnite, chiîte, mouâtazilité et plusieurs autres. Le texte est un et un seul, mais les interprétations sont nombreuses, c'est "l'exégèse".


LE MONDE SEMITIQUE

Il est communément admis que le nom arabe ALLAH (racine Ilah) et le nom hébreux Elohim sont linguistiquement de même origine. Le Dieu mésopotamien EL est à l'origine du nom de ALLAH puisqu'il dérive de AL-ILAH, c'est le EL (ou Baal) et HUBAL, i le Dieu sémitiques des Syriens et de Babel sous la forme d'un TAUREAU SACRE, comme le APIS des Egyptiens ou le BAAL des phéniciens, c'est le fameux TAUREAU AILE à tête humaine, ces génies protecteurs, appelés aussi Shêdu ou lamassu.


Reconstitution du ciel des sumériens avec le Taureau Ailé au-dessus des Poissons et l'Aigle Anzû

ALLAH est la forme arabe de l'invocation divine générique de la Bible : " Élie ", " Eli ", ou " Elôï " signifiant " Mon Dieu " en hébreu. " Eloah ", signifie " Dieu " en hébreu ; les mots hébreux " Élohim " (pluriel de majesté d'Eloah) ou " Adonaï " (Seigneur) sont utilisés pour ne pas prononcer YHWH (ou YAVE) le nom de Dieu dans l'Ancien Testament. Les Akkadiens déjà utilisaient le mot " Ilu " pour dire " Dieu ", et ceci entre 4000 et 2000 av. J.-C. En araméen (langue parlée de Jésus-Christ) dieu se dit ALLAHA (allaha). Le nom de Dieu YAVE et ALLAHA représentent donc le même Dieu, et en langue sémitique YHWH correspond à ZEUS.

Un autre nom de Dieu est AN en Sumérien ou ANU (Anou) en Akkadien (à ne pas confondre avec le Anu Egyptien avatar d'Horus). AN était le plus important des dieux de la mythologie sumérienne puis assyrienne et babylonienne. il personnifiait le ciel et les constellations. Il résidait, dans la région la plus élevée qu'on appellait « le ciel d'Anu ». Il était le dieu par excellence, le dieu suprême, le dieu souverain qui dirigeait tout l'univers: dieux, esprits ou démons et il présidait l'assemblée des dieux et des êtres devenus immortels, c'est à dire ceux prochent du pouvoir et dans la sphère royale.


Système cosmique mésopotamien avec Anu le Roi du Ciel

AN disposait aussi d'une armée qui étaient les étoiles, qu'il avait créées pour détruire les méchants et qu'on appelait " les soldats d'Anu ". Son nom devint peu à peu le synonyme de " cieux " puis l'équivalent du titre de roi. Il deviendra rapidement le dieu suprême de l'autorité familiale et civile, et le garant de l'ordre moral sur terre c'est pour cela que plus tard il fut assimilé à ZEUS / JUPITER.

AN avait pour attribut la tiare à cornes, qui symbolisait la toute-puissance. Devant le trône élevé où il siégeait, étaient placés les insignes de la royauté, « le sceptre, le diadème, la couronne à cornes et le bâton de commandement ». Peu représenté il était lui même figuré sur les monuments par une tiare posée sur un trône ou par un TAUREAU dont le mugissement pouvait être comparé au grondement du tonnerre.




Dans l’Antiquité, à Babylone et tout le Moyen-Orient, le dieu principal était le dieu de la LUNE, représenté par un TAUREAU, symbole de force et de fécondité, et plus simplement parfois par ses seules puissantes cornes en forme de croissant de lune. En Syrie, le dieu de la Lune SÎN est le protecteur d'Ur, symbolisé par des hampes surmontées d’un croissant lunaire.

Sous ses différents noms, le dieu de la lune fut très tôt adoré en Mésopotamie comme le « Père des dieux », l’équivalent de ZEUS pour les Grecs ou de JUPITER pour les Romains. Les arabes païens adoraient eux-aussi ce dieu de la lune appelé HUBAAL, il avait eu trois filles : Al-lât, la déesse du soleil, Al-Manat la déesse du destin et de la mort, et Al-Uzza, l’étoile Vénus, les divinités priées par Mahomet dans les versets sataniques. La Bible stigmatisait ce super-dieu représenté par un taureau comme étant le faux-dieu par excellence, puisque les Grecs modifiaient déjà le ciel et les noms des étoiles avec leurs découvertes.


Enlil (à gauche) le Dieu Lune assisté par les Iggigi (esclaves sexuels)

Le nom de son homologue akkadien, BEL, est dérivé du mot sémitique BAAL. Le Dieu BEL avait tous les attributs d'ENLIL, et son statut et son culte étaient pratiquement les mêmes, c'est le Dieu de l'ordre et du destin, c'est à dire celui qui décide dans la société. Dans les écrits grecs, les références à BEL indiquent cette divinité babylonienne et non le dieu syrien de Palmyre du même nom. Son frère EA - ENKI partage le pouvoir avec lui, tout était déjà double face avec le bien et le mal, le Vatican reprendra le système avec JANUS avatar de JEAN.

Comme toutes les religions, il y a eu plusieurs réformes religieuses et une bataille entre les Dieux pour prendre la place du seul Dieu. Avec les recherches astronomiques et la découverte de la précession des Equinoxes, c'est finalement
CETUS (la constellation de la Baleine) qui représente Dieu puisque le soleil au printemps est dans les Poissons et que CETUS dépassant complètement de l'écliptique semble voler au-delà du cercle zodiacal.




Le dessin astronomique de la constellation CETUS correspond à l'emplacement de BAAL dans le ciel, juste au-dessus de la constellation des POISSONS et de l'anneau de l'étoile ALRISHA. La constellation CETUS est aussi le Dieu des autres religions depuis l'invention des Zodiaques, elle domine le cercle comme le prouve sa position sur le Zodiaque gréco-Egyptien de Denderah.

Voir : Secret des Triangles

Bien qu'il y eût beaucoup de Baalim. Astronomiquement on dit que le baal singulier représentait le soleil à l'âge de Taureau (vers 4500-2400 avant JC) d'où vient, dit-on, le mot TAUREAU, mais cette constellation n'éxistait pas encore, il représentait notre actuelle constellation CETUS au sommet du TRIANGLE des poissons, le mot MOTHALLAH (que l'on trouve aussi en nom d'étoile sur une autre constellation triangle) signifie exactement cela en arabe, ALLAH est BAAL, celui qui trône au-dessus du TRIANGLE des POISSONS, la constellation
CETUS et son étoile MIRA.


Enlil - Baal - Pharaon - Jupiter - Zeus - Allah - Dios - Yavé - Roi - Jupiter - Mardouk

Dans le culte ritualiste de BAAL - MOLOCH, les adultes se rassemblent autour de l'autel de BAAL, avec les nourrissons qui seraient alors brûlés vifs comme une offrande sacrificielle à la divinité. Au milieu des cris horribles et de l'odeur de la chair humaine carbonisée, les fidèles - hommes et femmes - se livraient à des orgies bisexuelles. Le rituel de complaisance était destiné à produire la prospérité économique en incitant BAAL à apporter la pluie pour la fertilité de la " terre-mère ".

Les conséquences naturelles d'un tel comportement - les grossesses et l'accouchement - et les charges financières associées à des " grossesses non planifiées " ont été facilement compensées. On pouvait choisir d'adopter un comportement homosexuel ou - avec des sacrifices d'enfants sur demande – on pouvait tout simplement prendre part à une autre cérémonie de fertilité pour mettre fin à " l'enfant non désiré ". Le libéralisme moderne est peu différent du culte de
BAAL le seigneur et ses autres noms de Dieu. Le lien avec ZEUS (aussi Dieu de la pluie) n'est plus à démontrer.

Voir : Secret des Triangles


LE BAPHOMET LUNAIRE

Les anciens étaient persuadés que les parties, ajoutées à un tronc d’ARBRE, à une figure humaine, non seulement donnaient un caractère divin aux divinités, mais encore leur communiquaient une vertu sublime, une influence semblable à celle que l’on attribuait à l’ANIMAL SACRE dont elles étaient un extrait, et à la CONSTELLATION puis à l’ASTRE dont elles étaient l’emblème.

En Egypte, l'âme d'
OSIRIS (dieu lunaire) a pénétré le TAUREAU APIS ou le BELIER de MENDES. Le BOUC symbole de fécondité lunaire et nocturne a été immolé au dieu de la nature. Un culte fut rendu au dieu BELIER BANEBDJEDET honoré à MENDES (Mem-Nun-Daleth-Samech), le BOUC d'Hérodote le grec. De ces animaux symboliques et du BOUC sacré est dérivé le culte du PHALLUS, qu’on a aussi appelé PRIARPE à Rome, ou le dieu-chèvre PAN (LUPERCUS).

Sur le zodiaque de Denderah nous trouvons CETUS (la Baleine) au sommet. C'est le monstre marin grecs, qui veut dévorer Andromède sur son rocher. La Lune est à sa gauche, une figure avec têtes interchangeables mais elle est représentée avec des cornes puisque les grecs reprennent le concept de la nome égyptienne de Mendes avec BANEBDJEDET un avatar d'OSIRIS de la fertilité.

Au sommet du cercle, CETUS représente le maître sur l'ensemble des autres signes, et surtout de la constellation des poissons avec sa piscine (ou son bassin), on y trouve ici une oeuvre initiatique. CETUS est également androgyne, un mystère chez les anciens, et comme nous trouvons la Lune à sa gauche, la constellation représente certainement
SETH sur son trône. En effet, dans son combat avec son neveu, SETH revendique son oeil gauche lunaire.




La constellation de la Baleine, dieu du zodiaque sur son trône pour l'âge des poissons

Ce BELIER DE MENDES androgyne et roi du zodiaque relate la puissance sexuelle du mâle et sert également de support à la planète JUPITER. Mais comme il est androgyne il est aussi féminin dans son principe, c'est à dire qu'il peut être bon, le principe masculin représentant le mauvais, non pas de ce que l'on trouve en l'homme mâle, mais dans l'humanité toute entière. C'est ainsi que la LUNE dans la BALEINE représente une période de changement et d'exaltation sexuelle. Et puis avec les changements MENDES deviendra ZEUS et YAVE, c'est à dire le DIEU, une entité pédophiles

Puisque le
HORUS n'a pas complètement vaincu son frère ennemi de toujours, c'est SETH qui trône sur le zodiaque en tant que PORC, puisque les ombres de la LUNE dessinent un porc. Les anciens égyptien voyaient Isis tenant le porc séthien, et on célèbrait une fête et le sacrifice du porc lors du mois de PACHON (les poissons).


ESCLAVES SEXUELS DU MAITRE

Le prophète initié en Syrie reprend les codes ancien pour inventer un nouveau culte. A partir des éléments ancien de la fertilité comme le Bélier de Mendes, le culte de la fertilité s'étendra à travers le monde. Avec l'arrivée de la nouvelle religion, les symboles anciens et les postures reviennent à travers le culte lunaire.



L'IGIGI des sumériens devienndra le Goy, c'est le peuple ignorant à dominer par ll'élite dans son paradis (le jardin des délices) c'est à dire le palais des rois et des représentants du culte qui sont les Dieux sur Terre.

La forme d'un sexe masculin serait àl'origine de la soumission à Dieu (Zeus) pendant la prière en Islam. Cette prière éxistait déjà en Egypte ancienne. Nous trouvons des statuettes égyptiennes votives représentant cette posture religieuse, les Illuminati gardent les secrets pour eux mais la forme du pénis serait bien l'origine de la prière au maître.


BAAL ET LILITH LA PROSTITUEE

Prostitution Sacrée et Babylone

Les trois filles d’ALLAH sont l’évolution des épouses de NERGAL, dieu des enfers, devenues dans le Coran les déesses des " versets sataniques ". Ces trois épouses de NERGAL deviennent ensuite les trois filles d’ALLAH. Il s’est aussi mélangé au Dieu Lune. La présence de ces trois divinités, très improbable dans la vallée de La Mecque, est en revanche certaine en Syrie.

On peut retracer plusieurs origines au nom de
LILITH. La première origine est sumérienne : ki-sikil lil-là signifie « la jeune femme aérienne » (soit ki-sikil « la jeune femme » et lil-là « aérien ») parce qu'elle vivait dans un arbre. Une autre origine vient de l'akkadien LIL-ITU, est un emprunt du sumérien LIL « le vent », et en particulier de NIN.LIL « la Dame du vent ». C'est la déesse du vent du Sud (et épouse d’Enlil), auquel est accolé le mot itud « LUNE », tandis que ENLIL ou IL (EL) est le Dieu Phallique, avatar du CAPRICORNE, son frère EA (Aya) est le signe du VERSEAU.


Anat - Astarté
Ishtar - Qadesh
Astarté - Ashera - Inanna
Ishtar - Etoile de l'Est
La Déesse Alat
Vénus en Taureau
Anat-Astarté
Déesse Sexuelle

En Egypte, c'est une fusion avec les déesses sémitiques, elles sont importées à partir des régions asiatiques (Canaan, Syrie) où ANAT y était la sœur-épouse du dieu BAAL, elle est aussi appelée " La Dame de la Montagne ". ASTARTE alias ASHERAT est une figure de la prostituée ISHTAR-LILITH, la femme écarlate. ISHTAR était une des étoiles à l'Est de l'Egypte, elle symbolise donc l'ORIENT et l'origine de son nom phénicien est EAST-STAR, elle faisait partie du groupe des ISIS en Egypte antique avant d'être utilisée pas les peuplades du Sud et à l'Est du Nil.

Son culte aurait été implanté autour de Memphis par les prisonniers asiatiques HYKSOS qui lui demandaient protection contre les animaux venimeux. Elle empêche les conflits et se représente parfois sous les traits de la déesse de la beauté et de l'amour, elle deviendra plus tard la VENUS de l'amour, la déesse du féminin sacré, c'est à dire de la prostitution.

Voir : Lilith la Lune Noire




La prostituée sacrée est aussi à l'origine du voile sémitique. Par la prostitution sacrée, la puissance de la fertilité de la déesse est transférée au roi. Celui-ci était regardé en Mésopotamie comme garant de la fertilité du pays et de son peuple, et en général de la prospérité et du bien-être du royaume. Le voile était porté par les femmes qui veulent honorer ASTARTE la déesse de l'amour public.

Celle-ci, pour être bien honorée par les femmes, oblige celles-ci à se prostituer une fois l'an, dans les bois sacrés qui entourant son temple. Pour ne pas être reconnues quand elles allaient s'offrir à des inconnus de passage, les femmes de la haute société mésopotamienne prirent l'habitude des se voiler totalement.

Chaque année au nouvel an, le souverain était tenu « d’épouser » l’une des prêtresses d’Inanna, afin d’assurer la fertilité des terres et la fécondité des femelles. Chez les anciens sémites, ancêtres des Cananéens, des Phéniciens, des Hébreux et des Arabes, des milliers d’années avant l’Islam, on avait déjà imposé le voile aux femmes pour se couvrir les cheveux. En effet, les anciens sémites considéraient la chevelure de la femme comme le reflet de la toison du pubis.


REPRESENTATION DU PROPHETE

Mahomet est aussi sous le nom de Abu al-Qasim Muhammad, c'est un chef religieux, politique et militaire arabe de la tribu de Quraych. Fondateur de l'islam, il en est considéré comme le prophète majeur. Selon la tradition islamique, il serait né à La Mecque vers 570 et mort à Médine en 632. Il n'est pas possible d'écrire une biographie historique du personnage devenu au fil du temps un chef religieux, on peut faire un lien avec plusieurs chefs historiques (le grand Khan, Alexandre , etc.), avec le temps il semblerait que la figure devient une fusion de plusieurs grands de ce monde, comme avec la mythologie des Grecs.




L'islam n'interdit pas officiellement la représentation de Mahomet pourtant certains courants la considère comme tabou. S'appuyant sur un verset du Coran rejetant les statues des idoles et sur un "hadîth" accusant les faiseurs d'images de vouloir rivaliser avec Dieu, seul créateur et insuffleur de vie, certains théologiens musulmans ont condamné formellement la représentation des êtres animés. Mais il y a des portraits du Prophète Mahomet à Byzance et ailleurs.


Cet interdit de la figuration, strictement appliqué pour le Coran et les ouvrages de hadîths ou de fiqh, a favorisé l'émergence des arts de la calligraphie et d'une ornementation fondée uniquement sur l'arabesque et la géométrie. Pourtant, des représentations figurées, parmi lesquelles on peut voir Muhammad, sa famille et les prophètes bibliques, ont existé dans d'autres genres littéraires, épopées, chroniques historiques, Qisas al-anbiyyâ' (Histoires des prophètes), particulièrement dans les mondes iranien, turc et indien.

La représentation du prophète n'est pas un tabou dans l'islam chiite, mais pour le sunnisme et le wahhabisme toutes représentations de Mahomet et d'images saintes sont prohibées. Par exemple, le sunnisme ne représente pas réellement le prophète ou avec, à la place du visage une plage vide ou une flamme en forme d'amande. (Ci-contre: "L'Ascension du phophète Mahomet" - Iran)


L'interdiction de représenter des êtres animés a été diversement suivie selon les périodes et les lieux. Un verset coranique, auquel se sont souvent référé les théologiens musulmans, s'élève contre les statues des idoles polythéistes mais ne condamne pas expressément la figuration. Le but est de cacher la manipulation et les origines de l'Islam.


La naissance du Prophète

MAHOMET ET LA MYTHOLOGIE

On retrouve dans le Coran des emprunts, à la morale juive et chrétienne de la Bible et des évangiles, ainsi que de la morale générale de l'humanité, et des préceptes de l'ancienne société arabe, mais aussi les textes originaires des indes et de l'Asie, et surtout la MYTHOLOGIE des grecs ! Muhamad sur son cheval blanc c'est PERSEE !

Certains voient en Jésus-Christ ou en Mahomet un avatar de VISHNU soumis au cycle des réincarnations ou encore du
HORUS Egyptien, et cela semble bien possible ! Hasard ou coïncidence, l'histoire de Mahomet le prophète est identique au mythe asiatique, il y a de nombreuses similitudes, or il n'existe absolument pas de tradition islamiste faisant de Mahomet une incarnation de VISHNU avec ses nombreux avatars. Comme les autres religions, l'Islam a pour socle le Zodiaque des Grecs et son codage dans les étoiles.


Vishnu Kalki à cheval et Mahomet chevauchant le buraq

Depuis 2000 ans nous vivons dans cette matrice et l'Islam n'est que la continuation du culte instauré pour l'âge des POISSONS par les gardiens du Temple avec pour base le culte Egyptien primitif.

Voir : Des Signes et des Tombes

Le cheval ailé Buraq du prophète est aussi la monture de VISHNU KALKI, c'est le PAGASE de Persée. Mahomet est le prophète et cette figure de l'islam est présentée comme ayant réellement existé, mais elle existait déjà avant la création du culte et de la nouvelle ville sainte.

Les mythologies sont des copies, nous trouvons le bestiaire ailé dans plusieurs légendes, un cheval ailé est déjà représenté sur les monnaies de Corinthe 1000 ans avant Mahomet. En Grèce, PERSEE sur son cheval ailé Pégase vole au secours d'Andromède quand la constellation de la BALEINE disparait à l'horizon. Avec Mahomet il ne porte secours à aucune femme mais va rencontrer (la constellation de la Baleine au sommet du Zodiaque).

Dans le VEDA, le dernier KALKI AUTAR (le Messager) qui a été annoncé dans le livre Saint des Hindous, et que tous les croyants attendent est le Prophète " Muhammad ibn Abdullah ", la dixième réincarnation de VISHNU. Dans la langue Sanskrit des Hindous, VISHNU veut dire ALLAH ! Mais il n'y a pas que cette incarnation de VISHNU, c'est l'ensemble de l'oeuvre qui est identique, toutes les légendes du Prophète islamique proviennent des mythes de l'Egypte antique et de Sumer.




Il est rapporté dans le Vedas que KALKI AUTAR sera expert au tir à l’arc, le maniement de l’épée et dans le montage à dos de cheval. C'est le HORUS jeune à la chasse sous la protection de la Déesse vautour du groupe des ISIS, il est visible sur le Zodiaque Egyptien de Denderah : C'est le signe du SAGITAIRE, il représente un jeune HORUS, et sous la protection du VAUTOUR (avatar de Isis) il écrase le Serpent.

Quand on replace les sourates du Coran dans l'ordre nous avons les VEDAS, ces textes viennent de l'Egypte via la Mésopotamie avec de nombreuses manipulations ! Par exemple, la Sourate islamique de la VACHE est une référence directe à la VACHE sacrée indienne mais aussi à la Déesse mère Egyptienne HATHOR qui est parfois représentée comme une vache chez les Egyptiens de l'antiquité, elle donne du lait et représente la MERE, elle est notre actuelle constellation de la LICORNE suite à une transformation par les Sémites et les Grecs. Ces symboles n'existent pas avant l'invention du Zodiaque et les reforges, car la VACHE SACREE est certainement la VOIE LACTEE, c'est à dire la Déesse NOUT-HATHOR.


HOMOSEXUALITE

Comme avec les autres cultes, les homosexuels prennent le pouvoir pour leurs pratiques pédophiles, tout en demandant aux adeptes de faire exactement l'inverse. Les écoles traditionnelles de loi islamique décrivent l'homosexualité comme une turpitude condamnée moralement et socialement dans sa pratique publique ou dans l'incitation à sa pratique. Dans quelques pays appliquant la charia, la sodomie est un crime qui peut être puni par la lapidation. Mais plusieurs textes dans de nombreux hadiths laissent à penser que le prophète était homosexuel et pédophile !

L'homosexualité (comme la pédophilie) n'est pas l'exclusivité de l'Islam puisque toutes les religions pratiquent en secret le culte, mais cela expliquerait le remplacement des figures féminines primitives dans la religion d'Allah ! Nous trouvons aussi de nombreuse représentations d'hommes s'embrassant (et plus) avant l'interdiction des images et des peintures en Islam.


Peinture coquine de 800 ans avec deux hommes à dos de chameau

Nul par ni dans le coran ni dans la sunna (la tradition orale des hadiths du Prophète) l'homosexualité n'est condamnée en tant que telle, comme le rappelait le 17 mai 2010 le recteur de la mosquée de Bordeaux, l’imam Tarek Oubrou. Selon l'islamiste Ludovic-Mohamed Zahed " Si le Prophète Muhammad était vivant, il marierait des homosexuels ", avait déclaré en marge du débat sur le mariage pour tous.

On savait que le prophète était pédophile, mais était-il un illuministe gay comme NEMROD le Roi fou de Babylone (et grand maître du donjon) ? L'Islam n'est pas clair sur le sujet, les musulmans sont en consensus sur le fait que l'homosexualité fait partie des grands péchés mais les versets relatant le récit du Prophète ne stipulent pas assez clairement l’interdiction.

Les auteurs de ces hadiths qui décrivent les dérives pédophiles et homosexuelles du prophète Mahomet, sont des savants musulmans (témoins oculaires de Mahomet) très respectés dans la tradition islamique. On sait que Abu Hurayra le grand compagnon du propète avait une réputation sulfureuse, il était lui-même impliqué à titre personnel au sujet de l’homosexualité.

Abu Hurayra fait partie des sept principaux transmetteurs de hadîths et passait la grande partie de son temps en compagnie du Prophète pour mémoriser et écrire toutes ses paroles. Il parlait d'homosexualité au Prophète Mahomet qui, loin de le condamner, l’enjoignit d’accepter sa destinée. Finalement, Abu Hurayra a finira par se marier et avoir des enfants, afin de bénéficier d'avantages politiques, et sans doute pratiquer le culte de la lumière de l'anus en secret. Ces écritures sont entièrement validées par les savants islamiques.

Les Hadiths de la Suma racontent que Mahomet s'habille en femme, il met du hénné et du katam dans ses cheveux et qui atteignaient ses épaules ou les lobes des oreilles. Il aime les parfums et applique du khôl (mascarat utilisé par les femmes) sur ses yeux.

« Un jour, Mahomet a soulevé sa chemise pour un homme qui s'est mis à embrasser son torse tout entier, à partir de son nombril et jusqu'à ses aisselles » (Sunan Abi Dawud # 5224)

« Un homme du nom de Zahir qui avait l'habitude de dire " le prophète m'aime ", a dit qu'un jour, Mahomet s'est glissé à son insu derrière lui et l'entoura de ses bras. Zahir effrayé a hurlé "Lâche moi !". Après avoir tourné la tête et découvert que c'était Mahomet, il cessa de se débattre et s'est mis à "pousser son dos contre la poitrine du prophète » (Musnad Ahmad # 12669).

« Mon père a demandé la permission au prophète, quand celle-ci lui fut accordée, il se glissa entre lui (Mahomet) et sa chemise et se mit à l'embrasser et à se coller contre lui ».

« Aïcha a rapporté que le prophète était couché dans ma maison avec ses cuisses ou ses jambes à découvert quand Abu Bakr a demandé la permission d'entrer. La permission lui a été accordée et il a conversé dans ce même état et il a parlé » (Muslim 031.5906).

« J'ai vu le Prophète (paix sur lui) sucer sur sa langue et ses lèvres Al-Hassan le fils de Ali (paix et prières d'Allah soient sur lui). Pour aucune langue et aucune lèvre, que celles du prophète lui protège du feu de l'enfer » (Hadith 16245).

« Il (le Prophète) lève sa chemise (de al Hassan) et embrassa son (petit) pénis ».
« Il (le prophète) a embrassé le (petit) pénis de al Hassan al Husein ».
« Il (le prophète) a mis les jambes de Husein part et embrassa son (petit) pénis ».


Hussein et Hassan sont des petits garçons différents, on peut croire que Mahomet dans sa vie à embrasser plusieurs pénis et que c'est une pratique courante.

« J'ai vu le Messager d'Allah sws mettre les jambes de Husein part et d'embrasser son (petit) pénis » (Maima Al-Zawaid 299/9)

Ici Mahomet invite également les jeunes garçons de le voir se laver les parties intimes :
« Chaque fois que l'Apôtre d'Allah est allé à répondre à l'appel de la nature, moi avec un autre garçon, avons l'habitude de l'accompagner avec un verre plein d'eau. (Hisham a commenté : + Alors qu'il peut laver ses parties intimes avec elle +) » (Sahih Al Bukhari Vol. 1 Livre 4, Num. 152 - 153-154).

Il y a d'autres pratiques de Mahomet avec sa jeune épouse, il demande à l'enfant d'essuyer le sperme de ses vêtements, avec son compagnon Bukhari.

Rapporté par Aisha :
« J'avais l'habitude de laver les traces de Janaba (sperme) des vêtements du Prophète et il avait l'habitude d'aller à la prière tandis que des traces de sperme était encore sur lui » (Sahih Al Bukhari Vol. 1 Livre 4, Num. 229 / 231 / 233) .

Rapporté Sulaiman bin Yasar :
« J'ai demandé à 'Aisha sur les vêtements souillés de sperme. Elle répondit : « J'avais l'habitude de le laver les vêtements de l'apôtre d'Allah et qu'il irait à la prière tandis que les taches d'eau étaient encore visibles » (Sahih Al-Bukhari, Volume 1, Livre 4, Numéro 231 et Nombre 232).

Rapporté 'Aisha :
« J'avais l'habitude de laver le sperme hors les vêtements du Prophète et même alors, je remarquais un ou plusieurs points sur eux » (Sahih Al-Bukhari, Volume 1, Livre 4, Numéro 233).

Par ailleurs, le Coran est formel, l'absolution et la miséricorde ne sont point destinées à ceux qui font les mauvaises actions : « faites leur du tort jjusqu'à ce que la mort se présente à eux » (Coran 4 :16). Mais MUHAMAD se permettait ce qu'il interdisait aux autres et pour justifier les pratiques on déclare que c'est ALLAH qui lui permet. MUHAMAD a donc des droits sur les croyants et plus qu’ils n’en ont sur eux-mêmes ! D'autre part, le Coran invite tout musulman de prendre exemple sur MUHAMAD. Comment ne pas devenir dingue avec ça ?

« Le Prophète a plus de droit sur les croyants qu'ils n'en ont sur eux-mêmes. Et cela est inscrit dans le Livre ». (Coran 33 :6) .

« En effet, vous avez dans le Messager de Allah un excellent modèle, pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Dieu fréquemment » (Coran 68 :4).

Il y a d'autres Hadiths sur la sexualité du prophète. Rien de neuf en Islam car c'est exactement pareil depuis 400 et l'invention de JESUS chez les Catholiques, Moïse (avec ses cornes) chez les Juifs, etc.. MUHAMAD ne reçoit pas une REVELATION mais une initiation aux mystères, il devient ainsi MAITRE sur la masse, c'est à dire les POISSONS alias les esclaves (ou les goys). Le rôle de MUHAMAD l'agent ILLUMINATI est de détruire les figures féminines de l'ancien culte de MEDINA. Cela a été réalisé, et les figures antiques sont enlevées du culte.




Cette réforme religuieuse se déroule un peu partout et c'est clairement une prise de pouvoir des homosexuels pédophiles sur le Temple. De plus, rien ne prouve que Mahomet a existé car son épopée est identique au mythe Mésopotamien de Gilgamesh et Enkidu ! Toutes les figures de l'Islam sont sur le Zodiauque de Denderah inventé par les Ptolémées en Egypte ! L'Islam est donc un système sectaire qui n'a rien à envier aux autres religions, on peut même penser que l'Islam est une branche illuministe de la prise de pouvoir des prêtres il y a 1600 ans, c'est à dire au premier concile de Nicée en 325 qui avait pour objectif de résoudre les problèmes qui divisaient alors les Églises d'Orient.

Quand MUHAMAD invite les jeunes garçons à se laver les parties intimes avec l'eau (nous avons l'habitude de l'accompagner avec un verre plein d'eau), nous avons le lien avec le " porteur d'eau ", c'est le rôle des esclaves dans l'antiquité dont la fonction était de porter de l'eau aux MAITRES. Cet image avec le porteur d'eau est présente ailleurs, ce n'est pas exclusif à l'Islam puisque toute la société est sous l'emprise de la religion, de Rome jusqu'en Orient.

C'est aussi l'image du Père sacrifiant son fils, après les reforges du culte. Le fils est sacrifié pour le nouveau monde (bien que la religion est déjà une copie). Vers 400, l'âge noir commence et tout est reforgé dans un délire cosmique Zodiacal. Il reste la mystique réservée pour l'élite, le peuple ignorant ne doit pas savoir !

Voir : Horus et Harpocrate


IS LAM IKA

Le culte est détruit pour l'âge des POISSONS et pour couper court à toute future contestation, le calife OTHMAN détruisit tous les supports d'origine contenant les révélations. Et le groupe de travail auquel il confia la tâche de recopiler les versets fit un travail de sélection remarquable. Le prophète est un envoyé du Temple pour la grande reforge du culte après les concils au Vatican. Mahomet était un chrétien nestorien qui copiait les évangiles pour le " Dieu n'est qu'Un " et la déstruction des anciennes figures du culte. Il y a aussi de nombreux chrétiens dans l'entourage du prophète.

Sainte-Catherine renferme les trésors de l’histoire chrétienne, ils y sont en sûreté depuis 1400 ans, grâce à la protection des musulmans. Dans la " Promesse à Ste Catherine " Muhammad déclara tous les chrétiens comme étant ses alliés et tout mauvais traitement à leur égard comme étant une violation de l’alliance avec Dieu, et c'est bien normal puisque c'est le même Dieu !

D’un point de vue théologique l’islam n’apporte rien de neuf ; tous ses dogmes existent avant son émergence : monothéisme biblique, non divinité de Jésus, Jésus est le Messie, retour à la Loi de Moïse, déesses masculanisées (Alat). L’islam, loin d’être une religion « pure et révélée » a largement emprunté aux traditions préexistantes. Le mot " coran " vient de l'araméen
QARIYUN " lecture de textes durant le service religieux ".
L'écrivain Tahar Ben Jelloum nous indique que quand le prophète Mahomet mourut le 8 juin 632, il ne laissa pas de consignes concernant les versets que l’ange Gabriel lui avait transmis. Ses compagnons les connaissaient par coeur, certains les avaient transcrits sur des supports. Le Coran en tant que corpus, en tant que Mushaf n’existait pas. Il faudra attendre plus de vingt ans pour que Uthmân, le troisième khalife, réunisse une commission composée de compagnons qualifiés afin qu’elle propose un texte unifié.

Les sourates (chapitres) sont reproduites sans voyelles. Ce n’est que deux siècles plus tard qu’une version voyellée sera disponible pour le grand public. C’est à partir de ce moment que deux visions du monde vont s’affronter à travers la lecture du Coran. Les premiers sont des théologiens appartenant au courant mu’tazilite,rationalistes lisant le texte de manière symbolique et métaphorique. Pour eux, « la volonté divine est rationnelle et juste ; les hommes peuvent en saisir le sens et y conformer leurs actes », autrement dit, le Coran est créé.

Par ailleurs, des philosophes comme Al-kindi, Al-Farabi, Avicenne et Averroès étudient la nature en soi et non la nature comme témoin de la toute-puissance divine. Ces courants qu’on qualifierait aujourd’hui de modernités vont trouver face à eux des traditionalistes pour qui non seulement le Coran est incréé, mais il doit être lu de manière littérale sans aucune distance ni interprétation.

C’est ce dernier courant qui l’emportera et débouchera plusieurs siècles plus tard sur ce qu’on appelle intégrisme, fondamentalisme dont le promoteur est Mohamed Abdelwahab, un Saoudien du XVIIIe siècle qui fera de l’islam un dogme pur et dur, celui qui sévit aujourd’hui en Arabie saoudite et au Qatar. Application stricte de la charia. Fanatisme et obscurantisme. Bref une vision du monde rétrograde et en opposition avec l’esprit des lumières qui a marqué les premiers siècles de l’islam. Avec les manipulations nombreuses, c'est toute la science astronomique des navigateurs des peuples de l'Orient qui est détruite, toutes les régions infestées par la nouvelle religion du prophète devront se soumettre petit à petit à la Loi divine.


LA LUNE ET JUPITER

Au Moyen-Orient, le dieu de la lune est Ilah. Il ne s’agit pas du nom propre d’un dieu spécifique mais d’une appellation générique pour " le dieu ". Chaque tribu arabe locale se rapportait à son propre dieu tribal local en le nommant Al-Ilah qui est devenu plus tard ALLAH. Le AL-LÂT, féminin de Allah est une divinité adorée à la Mecque bien avant la venue de Mahomet qui est envoyé pour détruire la Mecque dans le cadre de l'instauration du nouveau culte.

Ilah (ou Allah) est adoré sur une longue période pré-islamique, parfois sous d’autres appellations de Allah que nous connaissons aujourd’hui, et donc que Allah ne trouve pas son origine dans la Bible, comme essaient de le faire croire les musulmans, mais du paganisme païen qui plus tard est utilisé dans la Bible, puis dans le Coran. Des érudits arabes le reconnaissent puisque Al-Kindi a précisé que l’Islam et son dieu ALLAH ne sont pas venus de la Bible mais du paganisme des Sabéens.

Les arabes païens de la Mecque adoraient le AL-LLAH, dieu de la lune qu’ils appelaient Hubal. Ce dieu est présenté par ces habitants de la Mecque comme le seigneur le plus élevé des 360 dieux de kabba , tout comme ALLAH. Mais HUBAL est le dieu auquel les arabes païens adressaient leur prières pour ALLAH, c'est à dire que ALLAH était HUBAL dieu de la lune et ce ALLAH était un dieu païen vénéré à la Kabba bien avant la venue de Mahomet. Cela explique pourquoi le croissant de lune est le symbole universel de l’Islam mais en réalité cela représente le cercle de la précession des Equinoxes, cela n'a jamais été un symbole de la lune avec l'étoile à 5 branches centrale.

Dans le hadithde Sahîh de Bukhari , il est rapporté, au moment où Muhammad reconquit la Mecque en 630, qu’il y avait 360 statuettes représentant autant de divinités. Parmi ces divinités, il y avait BAAL, le seigneur et maître de tous les autres dieux, souvent assimilé au Marduk des mésopotamien, il est un avatar de JUPITER-ZEUS mais pas seulement. Les dévots du dieu se sont battus contre les adeptes du Prophète Muhammad au cours de la bataille de Badr en 624. En 630, après sa victoire, Muhammad aenlevé la statue de HUBAL en 630 CE de la Kaaba avec les idoles de tous les autres dieux païens.

Ce BAAL sémitique que l'on retrouve aussi à Carthage, en Syrie et en Phénicie est difficile à identifier car il est multiforme. Selon Karen Armstrong , le sanctuaire a été consacrée à HUBAL, qui était adoré comme le plus grand des 360 idoles de la Kaaba contenait, ce qui représente probablement les jours de l'année.

Les Egyptiens utilsent les astres pour leurs divinités, il y a le culte du soleil de la journée avec le solei au Zenith, le soleil dans l'année et le soleil sur l'écliptique en relation avec le Zodiaque et le point vernal ou gamma sur le plan. Mais les Egyptiens utilisent aussi les cycles lunaires en relation avec le cycle des menstruations de la femme, c'est à dire 28 jours !


Néphelim de l'Annunaki des sumériens avec le Dieu SIN avatar de Osiris l'Egyptien

Plusieurs divinités de l'Egypte sont assimilées au Dieu Lune, dont le Dieu de la végétation OSIRIS, mais il sont nombreux. KHONSOU le Faucon Lunaire (à ne pas confondre avec Horus) est le Dieu du mois de PACHON, les Poissons Egyptien. Ce mois de PACHON, un PORC était sacrifié à la pleine lune lors d'une fête en souvenir du mythe où SETH transformé en cochon sauvage pourchassa OSIRIS qui se réfugia sur la LUNE mais aussi du mythe où SETH toujours sous l'apparence d'un PORC (suidae) blessa l'œil d'HORUS, œil qui symbolisait précisément la LUNE.

Mais le Dieu de l'Islam n'est pas forcément lunaire ! Ce HUBAL peut-être la combinaison de HU, ce qui signifie ESPRIT ou DIEU et le dieu de Moab BAAL signifie " maître " ou " seigneur " comme BAAL ou le BAALIM est le maître sur l'esclave, il est un avatar de NEMROD alias JUPITER et HUBAL est aussi lié à son fils TAMMUZ née un 25 décembre. L'hypothèse que HUBAL était une divinité lunaire est une vue qui a été répété par plusieurs chercheurs. Plus récemment, des chercheurs ont rejeté ce point de vue, en partie parce qu'il est la spéculation, mais aussi parce que d'origine nabatéenne rendrait le contexte des croyances Arabie du Sud hors de propos.

Si l'Egypte a directement un rapport avec la nature dans son culte (Lotus, l'eau, la Terre, etc..) le Dieu est grand de la nouvelle religion est le maître en tant que seigneur, c'est le cordon qu va relier le fidèle au Prêtre, au Rabin ou à l'Imam, etc.. pour l'âge des Poissons. De plus, dans certaines version Egyptienne comme le calendrier du Caire, la Lune est une représentation de SETH la nuit.


ISLAM DE FRANCE

LA SECTE DE SPOOKY DES POISSONS

L’histoire de la Mosquée de Paris est liée à la colonisation. Un premier projet de mosquée à Paris « dans le quartier Baujon en 1842, puis la relance d’intentions similaires lors de l’ambassade marocaine en 1878 et 1885 » sont attestés.

Inspirée de la mosquée el-Qaraouiyyîn de Fès, la première pierre de la grande Mosquée est posée en 1922. Elle est inaugurée le 16 juillet 1926, en présence du président Gaston Doumergue et du sultan du Maroc Moulay Youssef. La grande porte de la Mosquée de Paris est ornée de motifs floraux stylisés dans le plus pur style islamique, comme on peut le voir sur la base du minaret. Comme l'indique la pyramide tronquée de la grande mosquée de Paris.




Voici une découverte surprenante faite par le Collectif Cheikh Yassine, qui s'occupe de près maintenant depuis quelques années de la question de la Grande Mosquée de Paris, notamment avec la publication de révélation chocs du frère de l'actuel recteur de la Grande Mosquée de Paris.

La Mosquée contient d'autres éléments occultes, notament le symbole ALPHA de l'Etoile ALDEBARAN dans l'alphabet Grec. On retrouve des fresques ILLUMINATI sur d'autres Mosquées en France et en Europe, mais aussi dans les pays où l'ISLAM est dirigé par cette fraternité. On retrouve l'occultisme ILLUMINATI sur le projet de la mosquée de Ground Zero, notament caché dans sa façade.




Les islamistes sont-ils des ILLUMINATI ? Comme les autres, les sémites et les arabes sont de grands voyageurs, ils découvrent des Terres avec l'aide de la carthographie et les étoiles, ils connaissent donc les cycles de la Terre et la précession des équinoxes des Grecs, les cartes antiques et la base de tout ce qui est secret !

La France est la nouvelle SION et c'est dans ce pays que la REVELATION va être dévoilée et ce sera le JUGEMENT DERNIER pour les croyants, l'ancienne SION (Jerusalem et l'Orient) sera détruite comme l'indique toutes les religions. Un nouveau système sera donc en place pour la nouvelle ere à venir. Ce nouvel âge est clairement indiqué en Islam avec le GRAND COQ BLANC à condition de pouvoir utiliser les fresques et les dessins que l'on cache aux croyants de la secte du Zodiaque !


TRIANGLE SACRE

Le Delta du Nil Egyptien Manipulé par les Illuminati

Comme nos grandes religions sont une invention pour l'âge des POISSONS, l'ISLAM est donc aussi codé à travers l'astrologie. La constellation du TRIANGLE SACRE termine le signe des POISSONS. L'Etoile ALRISHA (Alpha Piscium ou Alpha Tr) terrmine les POISSONS , c'est le sommet du TRIANGLE SACRE. L'étoile ALRISHA est également connue sous divers noms traditionnels comme " METALLAH , " MOTHALLAH " , " RAS AL MUTHALLA ", " ELMUTHALLETH " , " CAPUT TRIANGULI " et " ATRIA ".




ALRISHA est une étoile double, elle représente les figures de ALLAH et de ALLAT, une entité Androgyne que l'on peut manipuler, c'est aussi la petite sirène et le chant des sirènes, la Déesse Egyptienne des POISSONS. Au milieu de la constellation SPIRALE des POISSONS, se trouve un rectangle d'eau, la PISCINE ou une ÎLE.




Le nom ALRISHA (Alpha Piscium) vient de l'arabe signifiant le « NOEUD » dans la corde qui relie les deux poissons. L'attribution à l'étoile de la première lettre de l'alphabet est possible. Le signe des POISSONS se compose de deux poissons sur une corde. Un poisson est pointé vers l'étoile polaire dans la direction du ciel et l'autre vers l'écliptique, qui est le chemin du Soleil.

L'islam est identique aux autres cultes, les Maîtres pratiquent en secret la religion Egyptienne et les adeptes (les poissons) suivent sans ne rien comprendre au culte. La CORDE symbolise le Prêtre, le Rabin ou l'Imam qui intercède pour les croyants. Le poisson pointé vers le ciel symbolise le prêtre, et le poisson pointé vers l'écliptique symbolise le croyant, qui vient au prêtre pour atteindre Dieu.

Les deux poissons sur la CORDE symbolisent aussi la sanctification chez les Catholiques. Le TRIANGLE ou le DELTA, dépassant de l'écliptique est aussi le ROCHER avec son étoile ALRISHA (le noeud) mais aussi le trône d'émeraude de Yahvé ! Il symbolise la connaissance du ciel pour les maîtres. Les deux poissons sous l'écliptique (sous l'eau) sont les esclaves Homme et Femme adepetent du culte, quand ils vont se marier le Maître réunissent les deux poissons avec l'ANNEAU (la bague) que représente l'étoile ALRISHA.

C'est le même système partout, chez les Monarques, en Inde, dans les pays communistes, etc.. Comme les autres religions, l'islam tient ces adeptes par une corde et pour accéder au divin l'adepte doit passer par le maître, la constellation de la Baleine, c'est à dire SATAN !


LA CHARIAT

La Charia émane d’une loi israélite.Bien bien longtemps avant la création du judaïsme, des milliers d’années avant, la Chariya était déjà mentionnée dans le Rig-Veda, le plus ancien texte Hindou en sanskrit, tout comme la Création de Manou, le Déluge et Noé existaient dans les Vedas.

Nous retrouvons la chariya dans les Upanishad où ce mot décrit une conduite divine et de chasteté dans la Loi de Brahma. Mais comme le satanisme inverse tout, ce terme sera dévoyé et inversé par le clergé Lévite pour affaiblir la dignité et les droits de la Femme afin de mieux la dominer. Beaucoup plus tardivement il sera repris par de dits musulmans islamistes en l’associant malhonnêtement au Coran afin d’en tirer une loi archaïque de répression, de soumission et de domination brutales. Dans le Coran ce terme signifie cependant, et globalement, le même principe de pureté que dans le Rig-Veda.

Les rééditions d’ouvrages anciens concernant l’étude des religions et des civilisations, ayant été eux aussi falsifiées, il est nécessaire de trouver les originaux pour comprendre à quel point tout a été fait pour en corrompre le contenu et faire passer au fil du temps ces auteurs pour des chercheurs de piètre qualité et non crédibles aux yeux de l’Académie. Toutefois, il était connu jusqu’au 19 éme siècle qu’Abraham et Israël étaient deux des noms de Saturne, soit Satan, mais cela est encore une manipulation des textes anciens.

En effet, il s'agit du laboureur Egyptien, une figure de HORUS qui porte une tête de
TAUREAU et de son outil la HOUE qui sont dans la maison de Saturne. Cette image servira pour la création du diable dans l'antiquité et de nombreuses autres figures : Pan / Priarpe, Lupercus, etc..

Voir : La Vierge et le Centaure


LE VOILE ISLAMIQUE

Ishtar la Prostituée de Babylone

Il n’y a dans le coran aucune obligation de se voiler la tête, ni de se couvrir les cheveux ! Le port du voile n'est absolument pas un une obligation coranique ! Dans le Coran, le terme « khimar » dans la sourate « ennour » indique un vêtement large jeté sur les épaules pour couvrir la poitrine et non un tissu pour la tête, le mot cheveu n’est même pas écrit ! Et pour le hijab, ce mot signifie rideau, cela n’a rien à voir avec un vêtement, le hijab sépare les femmes de conditions différentes.

L’interprétation rigide et la confusion du voile vient de l’Arabie Saoudite, un pays de dingues lié à l'empire britanique. Mais le voile est utilisé pour la première fois dans la religion par les Catholiques ! La première lettre de Paul aux Corinthiens (11/2-16) est le premier écrit issu des religions monothéistes à avoir lié le voile des femmes à leur relation à Dieu. Ce passage, comparé à d'autres textes de Paul et aux coutumes païennes de son temps, permet de distinguer deux courants : la tradition théologique de Paul et les coutumes du monde. Le voile des femmes étant le signe visible de leur subordination, Paul n'a pas réussi à concilier sa tradition théologique d'égalité fondamentale entre les baptisés avec la coutume du voile.

La dénomination « voile islamique » suggère explicitement que le port du voile est une prescription de la religion musulmane, alors que, d’une part, il ne semble pas s’imposer dans toutes les communautés musulmanes, et que, d’autre part, il a existé et il existe encore dans des communautés non musulmanes. Le voile féminin a une longue histoire qui date de plusieurs millénaires avant l’Islam. Le port du voile par les femmes ne fait pas partie des cinq piliers de l'islam.

Le voile vient de 'Egypte et de l'antiquité. C'est la figure de
ISIS à l'enfant, elle est voilée comme les femmes de l'antiquité en Egypte mais seulement en extérieur. Les villes et les routes étaient poussièreuses et le voile était une protection. Sa fonction change en Mésopotamie avec la prostitution des femmes.

Voir : Lilith et Ishtar




La première preuve textuelle du port du voile vient de la Mésopotamie, où le culte de la déesse ISHTAR était associé avec la prostitution sacrée. Ishtar est représentée voilée. Dans un hymne, l’Exaltation d’Inanna (nom sumérien donné à Ishtar), écrit vers 2300 avant J.C. par le grand prêtre du dieu de la Lune à Ur, cette déesse est appelée hiérodule (prostituée sacrée) d’An, An étant le plus ancien dieu des Sumériens.

Le premier document légal qui mentionne les prostituées sacrées, ou hiérodules, est le Code d’Hammourabi, qui date de 1730 av. J.-C. Le code mentionne les fonctionnaires du culte. À Sumer, la hiérodule à la tête des servantes du culte, est appelée l’épouse ou la sœur du dieu. Elle avait sa maison attitrée et elle était protégée contre les atteintes aux mœurs de la même manière que les femmes mariées, en se couvrant d’un voile. Par la prostitution sacrée, la puissance de la fertilité de la déesse est transférée au roi. Celui-ci était regardé en Mésopotamie comme garant de la fertilité du pays et de son peuple, et en général de la prospérité et du bien-être du royaume.

Chaque année au nouvel an, le souverain était tenu « d’épouser » l’une des prêtresses d’Inanna, afin d’assurer la fertilité des terres et la fécondité des femelles. Chez les anciens sémites, ancêtres des Cananéens, des Phéniciens, des Hébreux et des Arabes, des milliers d’années avant l’Islam, on avait déjà imposé le voile aux femmes pour se couvrir les cheveux. En effet, les anciens sémites considéraient la chevelure de la femme comme le reflet de la toison du pubis.

La tradition du voile s’observe aussi dans la Bible, la tradition juive a longtemps considéré qu’une femme devait se couvrir les cheveux en signe de modestie devant les hommes. La loi rabbinique interdit la récitation de bénédictions ou les prières en présence d’une femme mariée tête nue ; car le dévoilement des cheveux de la femme est assimilé à la nudité. Aujourd’hui, la plupart des femmes juives pieuses ne se couvrent pas les cheveux, sauf dans la synagogue. Chez les intégristes juifs, comme la secte hassidique, les femmes continuent à se voiler les cheveux ou à porter une perruque pour cacher leurs cheveux.

Chez les chrétiens, c’est Saint Paul qui, le premier, a imposé le voile aux femmes. La burqa, selon le spécialiste de l’Islam et politologue français Olivier Roy, est une invention récente du mouvement intégriste wahhabiste dans les pays du Golfe et au Pakistan. Le niqab et la burqa, ces deux « linceuls pour femmes vivantes », n’ont jamais existé au Maghreb, jusqu’à une époque récente. Aujourd’hui, le voile a une signification politique et sectaire, il n’a rien à voir avec la religion musulmane.

Source : http://www.tunisiadaily.com/2014/01/13/voile-nest-ni-arabe-ni-islamique/


LA MECQUE ET ALLAT

Il n'y a pas de preuves archéologiques sur le fait que la Mecque existait du temps de Mahomet. La Mecque est une création tardive des califes omeyades. Cette supposée ville caravanière n'existait pas au septième siècle. La Mecque a été fondée quelque part au début du huitième siècle pour consacrer la prééminence des arabes sur les juifs. Au début de la conquête, arabes et juifs s'étaient alliés pour conquérir Jérusalem, quelques années plus tard les arabes ont brisé leur alliance avec les juifs et ont entrepris la conquête du monde civilisé avec l'aide des tribus polythéistes du centre de l'Arabie. Les conquérants arabes n'étaient pas encore musulmans.

La fondation de la Mecque avait pour objectif de reléguer Jérusalem au second plan en tant que ville sainte afin de consacrer la suprématie des arabes sur les autres habitants de l'empire. Soit pour flatter l'égo des bédouins ou pour s'assurer de leur loyauté en les accommodant, les rites païens tels qu'ils étaient pratiqués par eux ont été institués comme norme pour le Hajj (le pèlerinage). Le sanctuaire de la Kaaba a été érigé sur le modèle des autres sanctuaires d'Arabie, Allah le dieu de la lune y a finalement supplanté les autres dieux et a été identifié au Dieu des juifs et des chrétiens.

Aujourd'hui les Wahhabites saoudiens détruisent les preuves archéologiques pour que le mensonge survive. Le site est retourné, toute trace d'occupation ancienne a été éliminée. Il est également interdit de fouiller le sol dans cette région (on retrouves des statuettes indiennes). le mythe des origines mecquoises de l'islam ne risque plus rien.


Le Trône d'Osiris - Sin - Hubal le Dieu lunaire sémitique

Au début du VIe siècle, l’Arabie était peuplée de tribus qui pratiquaient chamanisme et chacune d’entre elles vouait un culte à ses propres divinités et esprits. La Mecque était une ville où l’on faisait commerce d’eau miraculeuse, tirée d’une source qu’Ismaël avait fait jaillir du Sable. Le centre religieux de La Mecque est appelé « la Kaaba », une grande construction cuboïde au sein de la masjid al-Haram (ou la mosquée sacrée), qui d’après certaines traditions secrètes était tombé du système de SIRIUS, l'étoile de la déesse Egyptienne NEITH. Selon la tradition islamique (Sahih al-Bukhari 64.48.7), à l’avènement de l’Islam, la Kaaba contenait déjà plus de 360 idoles (pierres ou statues de divinités pré-islamiques), les plus vénérées et les plus plébiscitées étant Hubbal, al-Lat, al-’Uzza et Manat.

Le 12 du mois de Rabî`a al Awal (le 20 août) de l’an 570, naquit à La Mecque, un enfant qui allait changer la face du monde et permettre au peuple arabe de s’élever spirituellement à son tour… Il vit le jour au sein du clan Hashîm, une branche au statut élevé de la puissante tribu des Quraysh mais connaît une enfance pénible et marquée par la pauvreté. Son père meurt avant sa naissance, et sa mère alors qu’il n’avait que six ans. Il est alors recueilli par son grand-père ‘Abd al-Muttalib puis, à la mort de ce dernier, par son oncle Abû Tâlib.

Cet enfant appelé Mahomet (Muammad) devint alors berger, puis chamelier, en transportant des épices et du parfum, les spécialités de La Mecque, jusqu’en Syrie. À l’âge de vingt-cinq ans, il épousa la riche veuve « Khadîja » dont il était au service et devint l’un des citoyens les plus aisés et les plus respectés de La Mecque. Lors de ses voyages en Égypte ou en Syrie, où il entendit parler du judaïsme et de Jésus-Christ, Mahomet acquit la conviction que l’Arabie avait besoin d’un prophète, de quelqu’un qui pourrait purger les gens de leurs superstitions et de leur corruption et qui les unirait sous un seul et unique objectif cosmique.

Alors qu’il était assis sur une des collines surplombant La Mecque, un ange lui apparut et lui dit : « Je suis l’ange Gabriel. » Gabriel lui montra une tablette en or et lui demanda de lire ce qui y était inscrit. Nous savons aujourd'hui que l'Ange Gabriel est un signe du Zodiaque ! Mahomet répondit qu’il était illettré mais, quand Gabriel renouvela sa demande, Mahomet s’aperçut qu’il savait lire. C’est ainsi que commencèrent ses conversations avec l’ange qui constituent « le Coran » alors que la langue arabe n'existait pas encore. Puis, Mahomet prêcha ensuite à La Mecque ce que Gabriel lui avait appris, avec une sincérité enflammée et une force irrésistible. Cet enseignement se résumait alors en quelques mots très réalistes.

En réalité, ALLAH est le nom de la divinité païenne, le dieu lune ALLAT. A l'époque de MAHOMET une statue de la déesse était au centre de la KAABA avec 360 autre divinités adorées dans le sanctuaire. Aujourd'hui la Ka'ba est un édifice cubique au centre de la grande mosquée à arcades en quadrilatère, formé suivant le plan primitif. Dans sa paroi est scellée la Pierre noire vénérée par les Musulmans. Dans sa lutte contre les mecquois, MAHOMET aurait détruit leur temple de AL-UZZA. Donc, quand ces trois déesses furent détruites, ALLAH (dieu lune) régna d'une façon suprême en Arabie.

Mahomet proscrit en son temps toute idolâtrie de La Mecque. La Mecque est un nom syrien, qui signifie, en araméen, ville basse, désignant à l’origine la ville basse de Madian ou de Damas, où sont nés le Coran et l’islam. Aujourd’hui l’opinion la plus répandue chez les chercheurs est que La Mecque, en Arabie, n’existait pas à l’époque, puisque nulle ville ne peut naître dans un désert sans eau. Des fouilles le démontreraient en quelques jours.

Il est bon de savoir que dans les premiers temps de l’islam, l’orientation de la prière n'atait pas en drirection de la pierre-fétiche, mais vers JERUSALEM, entre le soleil levant, Sichem, ville que Mahomet nommait parfois " Bayt al-Maqdis " (maison de la sainteté). Jérusalem demeure d’ailleurs la troisième grande ville sainte de l’islam (avec La Mekke et Médine). Ce n'est que lorsque Mahomet décida d'en finir avec les Juifs, qui se moquaient de lui et refusaient de se soumettre malgré sa compromission envers leur ville Sainte, qu'il décida, en représailles, au mois de février 624 (peu après la bataille de Badr), d'ignorer désormais Jérusalem et exhorta ses disciples à prier en direction de La Mecque.

La symbolique est complètement marteau ! La déesse ALLAT (ALLAH) un avatar de ISIS (Demeter / Athéna) est enfermée dans le centre du ZODIAQUE (voilée). Les fidèles font 7 fois le tour (ce sont les 7 planètes de la création) formant une SPIRALE (la spirale du Zodiaque) et viennent finalement toucher le sexe de la déesse Mère ALLAT.


LE VERT 

La couleur de Vénus et de la Déesse Hathor

La couleur verte de l'islam vient de la déesse égyptienne Naphté ou Neïth, de l'égyptien Neithès, la reine du Ciel et la déesse-lune en Égypte. Elle est diversement nommée, Nout, Nepte, Nour. Elle deviendra ATHENA chez les Grecs, puis elle sera assimilée à la déesse latine MINERVE. Dans l'Iliade et l'Odyssée elle est qualifiée comme étant Théa Glaukopis Athéné, que l'on traduit par : ATHENA, la déesse aux yeux glauques, ou aux yeux pers. Allat-Athéna était une déesse du panthéon pré-islamique.

A Rome, CYBELE était vêtue de vert couleur traditionnelle de l’Islam. On retrouve le langage habituel des symboles religieux : la météorite noire, boursouflée lors de son entrée dans l’atmosphère, représente le visage masqué de la déesse. On l’habille d’un drap vert, puisque le ciel ouvre ses vannes pour verdir la terre. Cette pierre noire est attestée en Syrie.

Le vert est aussi la couleur de la déesse VENUS astrologiquement parlant; c'est pourquoi la prière du vendredi est importante pour les musulmans, le Vendredi est à l'origine le jour de Vénus. Les couleurs astrologiques ont été déterminées par Claude Ptolémée, dont les travaux ont été traduit du grec en arabe et ensuite de l'arabe en latin. Lorsque l'Islam apparu 5 siècles après l'atronome et astrologue grec, il était donc logique de reprendre ce que la culture arabe avait déjà.


C'est d'ailleurs des arabes que vient le nom "Almageste", le titre de l'ouvrage d'astronomie de Claude Ptolémée, Almageste vient de l'arabe "El majesti" qui signifie "le Majestueux ou le plus grand", car les arabes vénéraient littéralement les travaux du Grec.

Comme confirmé plus loin, l'Islam des débuts s'était fondé sur le culte d'une déesse dont les différentes adaptations les nommèrent ASTARTE, APHRODITE et VENUS.

Aujourd'hui, nous avons communément admis que VENUS est le symbole de l'Amour, mais à l'époque de l'antiquité, APHRODITE est aussi la déesse de la Germination, elle a pour équivalent VENUS dans la mythologie romaine et TURAN chez les Etrusques ( l'actuelle Toscane).

Elle semble dériver de la déesse appelée INANNA chez les Sumériens, ISHTAR chez les Akkadiens et Babyloniens, ANAHIT chez les Arméniens, ASTARTE (ou Athtart) à Ougarit, Shaushka ou Shaushga chez les Hourrites, et Ashtart en langue punico-phénicienne, dans les autres cultures exceptée la grecque, elle ne symbolise pas forcément l'Amour.


Le quatrième mois du calendrier grégorien aurait été nommé Avril en son honneur par les Romains, puisque le mois de Mars lui est attribué au dieu Mars, un de ses amants de VENUS, car le mot Amour selon les Grecs-Romains signifie pour eux, multiples relations et non pas l'Amour au sens de la fidélité ou de la générosité. APHRODITE est reconnue par les Grecs comme une divinité sémitique, et plus précisément phénicienne. De fait, elle correspond très probablement à la déesse ISHTAR / ASTARTE.

En Mésopotamie, dans les traditions sumériennes y a 6000 ans, la Genèse biblique demande à l’homme de dominer et d’exploiter la Nature avec ses forces vives, dont la femme elle-même. Le serpent sera présenté comme l’ennemi corrupteur sous le nom de LILITH puis EVE.

C'est ainsi que MARDOUK (NEMROD) tue sa mère TIAMAT (SEMIRAMIS). Il s’empare alors du pouvoir et du sacré pour lui tout seul. Les antiques déesses sont chassées du panthéon judéo-chrétien alors que le YAWEH primitif avait une parèdre, tout comme le ALLAH préislamique. La Grande Déesse solaire devient alors lunaire, et LILITH et KALI deviennent noires associées à la LUNE NOIRE en Astrologie, une invention fantaisiste.


CYBELE ET LE CUBE

Le culte de Cybèle et le Cube Noir

Dans le culte primitif avant le remplacement des figures, la déesse CYBELE est accompagnée de son lion symbolique, elle est enlevée par SATURNE (Chronos, El). Ensemble ils vont former un couple qui donnera naissance aux douze dieux de l'Olympe. A Rome, CYBELE était vêtue de vert. On retrouve le langage habituel des symboles religieux : la météorite noire, boursouflée lors de son entrée dans l’atmosphère, représente le visage masqué de la déesse. On l’habille d’un drap vert, puisque le ciel ouvre ses vannes pour verdir la terre. Cette pierre noire est attestée en Syrie.

Le CUBE NOIR est un vestige de l’ancienne vénération de BAAL. Les anciens hébreux représentaient SATURNE par une étoile à six branches, qui devint plus tard le sceau de salomon ou l’Etoile de David (qui a aussi plusieurs significations ésotériques et qui à la base n'est absolument pas juif) un symbole magique représentant le ZODIAQUE et ses 12 CONSTELLATIONS.

On retrouve le CUBE NOIR dans plusieurs cultures. Il représente l'OEUF COSMIQUE de la création, il est le symbole parfait du centre du CERCLE et les quatre saisons. La KABBA est donc aussi le CENTRE du CERCLE et le point central de la SPIRALE que forme le ZODIAQUE et ses 12 signes solaires.

Voir : Secret du Zodiaque

Ce sont sans doute les Perses, (et non les rabbins), qui mirent en forme ce culte fétichiste. Il s’agit d’une tragédie théologique, dans la mesure où un culte entièrement féminin a été transformé en culte entièrement masculin, provoquant des explosions de violence sporadiques. Jamais un prophète n’aurait commis un tel contresens, soumettant la Grande Déesse au dieu des enfers, dans un nouvel avatar du culte du veau d’or.

La KAABA (le cube) est une présentation très ancienne de la déesse-mère CYBELE. Un autre sens de Kaaba dérive de ka’ib, vierge, ou sein d’une vierge. Les divinités « vierges » n’étaient pas d’innocentes jeunes filles, mais de redoutables célibataires. La Mecque proclame la grande déesse-mère. Car en réalité CYBELE était aussi nommée " KAEBHBON ", celle qui met les hommes en fureur. SATURNE est également symbolisée par le double signe de la croix et du croissant de lune.

En Italie, CRONOS a été identifié très tôt sous le nom de SATURNE, également lié au mythe de l'âge d'or, thème repris et développé par Ovide. Il avait son trône sur le Capitole. CRONOS (le temps) a été aussi assimilé au BAAL babylonien.


BIBLE, TORAH, MYTHES SUMERIENS ET EGYPTIENS

Mahomet s'inspira du monothéisme Juif et Chrétien pour affirmer aux Arabes qu'Allah leur dieu n'était pas un dieu parmi d'autres, mais LE Dieu au dessus de tous les autres. L’islam a assimilé de nombreux mythes païens : le culte antique du tonnerre et des éclairs se retrouve dans la légende chiite d’Ali, le mythe solaire greco-romain se retrouve dans la légende d’Hossein, fils d’Ali, etc.

On sait que la plupart (ou la totalité), des "grands personnages" de la Torah et de la Bible, repris dans le Coran, sont des mythes de la civilisation sumérienne : Adam et Eve, Abraham, Sarah, Agar, Ismaël, Isaac, Moïse, Aaron, Noé, Jonas, Salomon, la reine de Saaba, le pharaon noyé dans la mer, le mythe de Joseph, etc.

Allah était en cours d’invention depuis des siècles lorsque l’islam (judaïsme ismaélite) apparut au Ve siècle. C’était déjà le nom du Dieu unique des Arabes chrétiens. Allah vient de la divinité sumérienne Lilîtu, évoluant en Lilith, puis en Al-ilat, mais aussi de El, Dieu, en akkadien Ilu. Le nom Allah a été masculinisé à partir de al-ilat (déesse) devenu al ilah (dieu). Allah s’écrivait al ihal, car la langue arabe n’avait pas alors la chadda, redoublement de la consonne, pour écrire Allah. De nombreuses formes préfigurèrent ce nom : eloah, alah, elâhon, elah, ilan, allaho, ilahân, il, el… (El est la forme cananéenne évoluée du dieu sumérien "Enlil", dieu qui participa à la création du monde avec ENKI. De plus, EL en hébreux en est venu à désigner le Dieu unique, surtout dans les noms composés comme IsraEL, BéthEL, GabriEL, EmmanuEL, etc. Il est aussi probable que dans l'Egypte ancienne, Enki soit devenu Osiris opposé au dieu Seth son frère, lequel n'était autre que le dieu Enlil).

Seul mortel à avoir parlé directement à Dieu, Moïse est mentionné plus qu'un autre dans le Coran car il a délivré la Loi écrite à son peuple et a fait grand nombre de miracles. Abraham, moins cité, occupe néanmoins la place centrale. Ni juif ni chrétien, il est qualifié de "hanîf", c'est-à-dire qu'il adhère au monothéisme originel.

L'islam en investissant les personnages bibliques n'arabise pas seulement les noms, il met en lumière ou délaisse certains épisodes, en ajoute parfois d'autres. Certaines figures proviennent de l'Ancien Testament . Adam (Âdam) et Ève (Hawwâ), Noé (Nûh), Moïse (Mûsâ), Abraham (Ibrâhîm), Salomon (Sulaymân), Joseph (Yûsuf) ; d'autres du Nouveau Testament - Jésus ('Îsâ), Marie (Maryam), Jean Baptiste (Yahya Ibn Zakariyyâ) ; enfin deux sont spécifiques à l'islam, Sâlih et Hud.

Voir : Religion sumérienne


Sourate 2, verset 136 : « Nous croyons en Allah et en ce qu’on nous a révélé, et en ce qu’on a fait descendre vers Abraham et Ismaël et Isaac et Jacob et les Tribus [d'Israël], et en ce qui a été donné à Moïse et à Jésus, et en ce qui a été donné aux prophètes, venant de leur Seigneur : nous ne faisons aucune distinction entre eux. Et à Lui nous sommes Soumis. »


LES VERSETS MELANGES

On retrouve les sourates dans les VEDAS hindous et d'autres textes précurseurs. C'est exactement identique ! Il fallait donc brouiller les pistes pour les adeptes quand l'âge des poissons est arrivé, après destruction de la MECQUE par Muhamad. Les fouilles archéologiques sont interdites dans certains pays musulman car on y trouve des idoles et des statuettes indiennes. L'Islam à l'origine utilise aussi les constellations de l'Egypte à la sauce Hindou. C'est le même culte et le même combat entre le bien et le mal avec les constellations et le Zodiaque.




L'ISLAM ET LE ZODIAQUE

L' ANGE GABRIEL (les anges sont une déviation de la représentation de la Déesse Isis munie d'ailes, les ailes caractérisent principalement le Vautour égyptien Nekbeth un autre avatar de la déesse, les anges n'existaient pas dans le panthéon divin de l'Ancienne Egypte, si Nekbeth désignait la déesse c'est parce que le vautour a un col fait de duvet d'un blanc immaculé sur la base du cou. Lorsque cet oiseau plonge la tête dans un cadavre d'animal, le sang imprègne le duvet, ce qui illustra les menstruations des femmes qu'incarne la Déesse Isis, la Mère Divine et l'astre Lune qui annonce à IBRAHIM (le nom arabe de Abraham) qu'il doit passer de l'Ere du Bélier à celle de Jupiter-Zeus, le dieu des dieux devenu le dieu unique, le patriarche divin, le père.

Cette annonce lui a été faite par le biais d'un BELIER sens pour terminer l'Ere du BELIER . Le IBRAHIM (Abraham) avaient deux fils, Ismaél et Isaac, ce dernier a été désigné comme étant le fils préféré de IBRAHIM et donc que c'est ce fils qui devait être égorgé pour éprouver la soumission du père. Les Musulmans disent que c'est Ismaél qui fut choisi, ce choix différent scinda l'Eglise pour en faire l'Eglise d'Orient et l'Eglise d'Occident.

Il ne faut pas confondre Astrologie et Astronomie. Les étoiles guident les marins mais il n'a jamais été question de science divinatoire avant l'invention des Zodiaques. Croire à l'astrologie et à l'horoscope est en totale contradiction avec l'Islam. Les musulmans sont donc dans l'obligation de rester bien à l'écart de ces domaines. Si l'Astrologie est une science bidon, la lecture du ciel et la connaissance des constellations pourrait aussi ouvrir la porte de sortie aux fidèles, cette science est donc interdite. Mais le Coran indique aussi que les étoiles guident les hommes et lapident le diable, le Coran étant lui-même diabolique en utilisant le Zodiaque dont le code est 666 et 360 (le cercle).

Nous avons effectivement embelli le ciel le plus proche avec des lampes (des étoiles) dont nous avons fait des projectiles pour lapider les diables. [ Sourate 67 – Verset 5 ]

Et c'est Lui qui vous a assigné les étoiles, pour que, par elles, vous vous guidiez dans les ténèbres de la terre et de la mer. [Sourate 6 – Verset 97]

[...] ainsi que des points de repère. Et au moyen des étoiles les gens se guident. [Sourate 16 – Verset 15]


ALCOOL ET PORC

Les Arabo-Musulmans ne mangent pas de porc non pas uniquement parce que cette viande se conserve mal au soleil d'Orient, mais surtout parce qu'elle est apparentée à SETH inventé par les Hyksos, le dieu honni des anciens egyptiens transformé en SHEITAN. Le Sanglier détruisait les récoltes en égypte, voilà pourquoi il est assimilé à SETH (au mal).

Si l'alcool est interdit, c'est parce que quelqu'un de ivre peut blasphémer sans qu'on puisse le lui reprocher à cause de son état. il a donc été convenu unilatéralement que l'alcool était lié au démon, car seul le démon blasphème. L'alcool est aussi interdit parce qu'il donne du courage et incite à renverser le pouvoir en place, les Sultans l'avaient bien compris c'est pourquoi, ils ont rajouté des sourates au coran qui initialement n'était pas un livre unique mais des feuillets éparses dont différentes versions selon les tribus circulaient. Cependant l'alcool n'est pas interdit et il est possible d'en boire après la prière dans certaines branches de l'Islam.

Il y a aussi une confusion avec le
DAUPHIN de même racine que DELPHOS (le porc) chez les Grecs ! En effet, il y a également une manipulation dans cette partie du ciel, la région des POISSONS.

Voir : Des Poissons dans le Ciel


L'ISLAM ET LA LANGUE ARABE

La langue arabe n'existait pas lors de l'invention de l'Islam

La langue arabe est la langue du Coran. Elle est une langue d’éloquence ; une langue qui est très difficile à traduire tout simplement parce qu’elle a son propre cachet, ses secrets, et son charme. Il serait donc mieux d'apprendre le Coran en langue arabe, de penser en arabe et non pas dans la langue maternelle pour pratiquer la religion.

Ce qui est très difficile car la langue, comme a dit Victor Hugo, n’est point fixée mais elle bouge aujourd’hui et demain…elle est comme la mer. Cependant le prophète ne fait pas de rapport avec la qualité de la langue et ses révélations divines, et il ne déclare nullement que l'arabe est la langue de l'islam comme indiqué dans la Sourate 14, verset 4 :

"Et Nous n'avons envoyé de Messager qu'avec la langue de son peuple, afin de les éclairer. Allah égare qui Il veut et guide qui Il veut. Et, c'est Lui le Tout Puissant, le Sage".

Allah a bien fait voir que le moyen d'éclaircissement se fait par la langue que les gens comprennent, la langue du PEUPLE, la langue MATERNELLE et c'est Allah lui-même qui le dit. Comme toutes les langues, l'arabe "parlé" a subi des évolutions alors que le l'arabe académique est resté et est encore très figé dû à son caractère sacré pour la civilisation arabo-musulmane. Le Coran est la base de cette écriture sainte qui ne doit pour les musulmans jamais changé, c'est le caractère immuable de l'arabe littéraire. C'est la raison pour laquelle il y a une large différence entre l'arabes appris à l'école (académique/littéraire) et le dialecte. Pour beaucoup d'arabe qui parlent couramment la langue, l'arabe littéraire est imcompréhensible.


L'ISLAM ET LA FEMME

Les rédacteurs du Coran ne firent rien pour déclarer sataniques les nombreux versets appelant à frapper les femmes, les enfermer jusqu’à ce qu’elles meurent de faim, les appels aux meurtres, au pillage, à la lapidation et à l’esclavage. Une religion qui maltraite les femmes ne vient pas de Dieu. L’exigence coranique apprend à mépriser la femme, à transformer la mère. Pourtant à ses début le Coran n'est pas contre la femme, bien au contraire, mais les rédacteurs décidèrent qu'elle devait être au second plan.

- Sourate IV, verset 19 : Si vos femmes commettent l'action infâme (l'adultère), appelez quatre témoins. Si leurs témoignages se réunissent contre elles, enfermez-les dans des maisons jusqu'à ce que la mort les visite ou que Dieu leur procure un moyen de salut.

- Sourate IV, verset 38 : Les hommes sont supérieurs aux femmes en raison des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises. Elles conservent soigneusement pendant l'absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de garder intact. Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre l'inobéissance. Vous les reléguerez dans des lits à part, vous les battrez, mais aussitôt qu'elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand.

Le prophète avait par ailleurs confirmé les propos :

- "Sache qu'Allah a des droits sur toi, que tu as des droits sur toi et que ton épouse a des droits sur toi, alors donne à chacun d'eux son droit".

Il est un fait que l’avilissement de la femme avait, sur la société musulmane, de très fâcheuses répercussions, notamment en matière de mœurs. Dans les "Mille et une nuits", ce grand classique de la littérature arabe, la femme est désignée comme l’ennemi. Elle est la cible d’une forme particulière de misogynie née de la guerres des sexes imposée par l’islam.

Sous le règne des khâlifes Hâroun ar-Rachid et Al-Amine (fils du précédent), les homosexuels tiennent carrément le haut du pavé. Ils se commettent au vu et au su de tout le monde en compagnie des "ghilmân" et les poètes adressent leurs vers à des éphèbes encore imberbes. Car l’homosexualité islamique se teinte souvent de pédophilie, exemple du prophète oblige, lui qui avait pris parmi ses épouses une fillette de six ans.

Il y a désormais d'autres interprétations sur ces Versets, rien n'est clair dans le Coran.


LES VERSETS SATANIQUES

Les Trois filles d’Allah et le Saint Ouvrage

Dans la légende coranique, Mahomet aurait d’abord accepté l’intercession des divinités secondaires, avant de se rétracter. Allah revendique de faux versets : "Nous avons établi des démons parmi les humains et les djinns, qui s’inspirent des paroles ornées, fallacieusement. Si ALLAH avait voulu, ils ne l’auraient pas fait." (Cr 2/112).

Il confirme, et pas seulement dans ces versets, qu’il autorise des divinités secondaires à intercéder : "Celle qui a la charge d’intercéder auprès de lui, (n’en a autorité) qu’avec sa permission. Allah sait ce qu’elles ont entre leurs mains, et ce qui est derrière elles, et elles n’embrassent de sa science que ce qu’il veut." (Cr 2/255)

La loi du talion en vigueur voilà six mille ans, a été abolie par Akhenaton, Bouddha, Zoroastre et Jésus. C’est une idée biblique et coranique, blasphématoire, puisqu’il s’agit de tuer un innocent. Prétendre, pour compenser une victime, en fabriquer une autre, est satanique. ALLAH possède une centaine de noms. Un poème datant du XIIe siècle avant J.C. octroie au dieu babylonien Mardouk une cinquantaine de noms, issus des divinités vaincues et assimilées. La plupart de ces noms désigneront ALLAH.

Les trois filles d’ALLAH sont l’évolution des épouses de NERGAL, dieu des enfers, devenues dans le Coran les déesses des "versets sataniques". Ces trois épouses de Nergal deviennent ensuite les trois filles d’ALLAH, qui était une divinité féminine. Il s’est aussi mélangé au dieu Lune. La présence de ces trois divinités, très improbable dans la vallée de La Mecque, est en revanche certaine en Syrie.

Al-Uzza
Elle est une ogresse mangeuse d’hommes, divinité guerrière. Elle peut guérir la fièvre, les saignements envoyés par les démons. Déesse de la fécondité, de la puissance. Certainement une Lilith.

Manât
Elle porte une épée, ou un stylet. Elle agite les djinns (sortes de farfadets considérés comme réels dans le Coran), qui peuvent alors tuer à la faveur de la nuit. Déesse du destin, elle décide de l’heure de la mort. A Sumer, sous le nom de Mammitu, elle était vénérée sous l’aspect d’une… pierre, que l’on retrouvera à la Kaaba.

Al-lat
Sur le temple de sa jumelle Isis / Athéna / Aphrodite, dans le delta du Nil, on trouve sa profession de foi : « Je suis tout ce qui a été, tout ce qui est, et tout ce qui sera ». Elle évolue vers le statut de fille et d’épouse, et de mère des dieux, puis finalement elle sera masculanisée en
ALLAH.

Beaucoup d’Arabes croyaient que le Messie
JESUS était fils d’ALLAH (dieu des Chrétiens arabes à l'époque), et en vinrent à contester le statut divin de ses trois filles, puis à contester leur existence. Le Coran finit par leur concéder un statut divin, avant de renier ces versets en les déclarant sataniques. La "masculinisation" de la déesse AL-LAT en ALLAH est confirmé par de nombreux chercheurs, dont le fameux Dr Aly ABBARA. Ainsi, comme dans les autres cultes, l'Islam écarta la femme pour un nouveau Dieu et maître sur la Terre exclusivement masculin alors qu'à l'origine le Pharaon PTAH (Osiris) était sur le trône à égalité avec son épouse SEKMET la lionne.


EL DSCHIAD ISLAMIQUE

Manipulation des Islamistes pendant la 1ère Guerre mondiale

Lors de la première guerre mondiale, les Allemands et les Anglais occupaient la Syrie, cette région pouvait jouer un rôle décisif dans l'évolution du conflit. A l'époque, Anglais et Allemands en sont parfaitement conscients, ils vont dès lors chercher à y étendre leur suprématie par tous les moyens dont ils disposent.

Max von Oppenheim (1860-1946) est un archéologue juif qui souhaitait poursuivre des fouilles sur le site de Tell Halaf. Pendant la guerre il offre ses services à l'Empereur Guillaume II, tandis que de son côté Thomas Edward Lawrence (1888-1935), l'archéologue anglais qui a tissé des liens amicaux avec les populations Arabes, se voit chargé d'organiser la résistance contre les Turcs, alliés de l'Allemagne.

Dès lors les deux hommes, engagés dans des causes différentes, vont se retrouver rivaux. Oppenheim est persuadé que la guerre contre les Anglais se gagnera en fédérant les populations Arabes autour d'un projet de « GUERRE SAINTE » qu'il baptise "
EL DSCHIAD " en s'inspirant des victoires de la secte des ASSASSINS pendant les croisades. Il fait jouer ses relations sur les principaux chefs Arabes recueillant inlassablement des informations sur la stratégie des britanniques, puis il échafaude un plan des plus téméraires dont ceux-ci sont loin de se douter : rassembler les musulmans autour d'une grande cause commune et les pousser à la résistance contre les britanniques partout où ils sont présents pour les affaiblir au Proche Orient.

L' Empereur Guillaume II donne son aval au projet d'Oppenheim qui est alors envoyé Constantinople, où le gouvernement Allemand a fait construire près d'une centaine de bureaux de propagande chargés de diffuser des tracts appelant les Arabes à la révolte dans l'Empire Ottoman. Oppenheim est confiant dans la réussite de son plan, mais celui-ci ne fonctionne pas. Par contre, son ancien rival Thomas Edward Lawrence, vole de victoire en victoire. Sous les yeux désabusés de l'archéologue reconverti tant bien que mal en agent secret, une légende vivante est en train de prendre forme : Lawrence d"Arabie.

L'Allemagne a donc joué un rôle décisif dans la recrudescence islamique en Afrique du Nord, sans la propagande djihadiste Allemande, l'islam se serait cantonné aux pays des Emirats d'Arabie Saoudite, au Moyen-Orient. À l'issue du conflit, Max von Oppenheim a presque tout perdu. Mais en 1927, il réussit à reprendre les fouilles en Syrie. Ce projet lancé pendant la guerre est toujours d'actualité, l'islam est un puissant levier pour contrôler et désinformer la population.



SOURCES ET LIENS

Dr Aly ABBARA





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