COMPLOT KEMET
Les Orgines de l'Egypte et les Noirs

TROUVER UNE PLACE POUR L'HOMME NOIR
DANS LE NOUVEL ORDRE MONDIAL


LE DELIRE RACIAL DES ILLUMINATI AFRICAINS

LE COMPLEXE AFRICAIN

Les sectes KEMET utilisent le mécanisme psychologique pervers d’une infériorisation intériorisée, c'est le complexe africain (ou Nord-africain). Il s’agit plutôt d’une situation sociale qui utilise l’esclavage et la colonisation afin de propager la haine et recruter des adeptes à travers cette perception erronée.

Toutes les autres civilisations sont passées par ces stades, par exemple la Gaule (la France) a été colonisée par les Romains et depuis elle utilise beacoup de la civilisation romaine, mais avec la secte KEMET la couleur de la peau, c'est à dire les " NOIRS " comme peuple dominant ayant inventé le monde est largement utilisée. La couleur de notre peau est négativement chargée volontairement, elle signifie esclavage, colonisation, pauvreté, misère, guerres absurdes. A l'inverse, dans de nombreux pays arabes, les Noirs sont traités comme des animaux et accusés de tous les maux de leur société.

Des millions d’africains éprouvent malheureusement plus de solidarité avec des éléments de culture et des évènements qui viennent des dynamiques du Proche Orient, que de leur propre continent, parce que le complexe d’être des africains, prime pour eux avant la fierté d’appartenir à une religion. Ces africains qui ne peuvent pas se regarder dans le miroir sont aussi la friandise des sectes.


PROPAGANDE DE GUERRE

Les bases idéologiques du régime nazi est le racisme contre toutes les communauté qui ne sont pas de la " race pure ", incluant les Arabes, les Noirs et les Asiatiques. Pour eux, l'égalité est impossible. Il est même risible de prétendre à une égalité avec des Noirs, représentés comme des sous-hommes. La propagande anti-noir a aussi pour objectif de lutter idéologiquement contre les troupes de l'armée coloniale française en Afrique afin d'essayer de diviser les forces. Les nazis inventent également le Djiad moderne en Syrie pour lutter contre les britaniques.

Après la première guerre mondiale, pendant l'occupation e la Rhénanie par les troupes coloniales françaises, les allemands accusent les troupes coloniales de se livrer à divers sévices, incluant viols et mutilations, à l'encontre de la population allemande. C'est l'affaire de la " honte noire " qui est exploitée dès les années 1920 dans une campagne de propagande nationaliste.

Il est cependant vrai que certaines troupes de l'armée française se livrent à des massacres et à des viols. Les crimes de 1944 en Ciociarie, sont des viols légalisés en masse et homicides commis sur les populations civiles par des éléments des troupes d'Afrique lors de la bataille du Monte Cassino, en Italie. Ils sont surnommés en Italie les « marocchinate » (littéralement « maroquinades », en référence à l'origine marocaine de nombreux soldats du corps expéditionnaire français en Italie).


LES RACES EGYPTIENNES

On trouve toutes les races en Egypte antique, des asiatiques mais aussi des populations blanches, le Cheikh Diop Illuminé l'évoque dans ses ouvrages. Il y a eu les invasions asiatiques des Hyksos, les Scythes, et les arabes (de l'arabie) et le royaume de Saba était juste en face de l'Egypte (à la poite de l'actuel Yemen). Sous le règne du Fari Merenptah en avril 1222 av. J.C. il arriva la première invasion des " peuples de la mer " en coalition avec les Berbères Libyens, les chroniques égyptiennes les décrivent et les montrent comme des individus à la peau et aux yeux clairs, grands et athlétiques.

Les "Barbares du Nord" sont les populations blanches riveraines de la Méditerranée aussi appelés les "peuples de la mer" dont les Lukkas (Lyciens), les Peleset (Philistins), les Shardanes, les Shekelesh (Sicules), les Aqwesh, les Achéens, etc... Les " Barbares de l'Ouest " sont d'autres populations blanches stationnées depuis un moment à l'Ouest du Delta du Nil qui sont les Lebou et les Meshwesh ou collectivement appelés les Tehemou, les Libyens (à ne pas confondre avec les Libyens noirs appelés Tehenou).

« Mais ceux que les Égyptiens abhorraient par-dessus tout c’était les bergers asiatiques de toutes sortes, depuis les "Sémites" jusqu’aux Indo-Européens: ils n’avaient pas d’épithètes assez injurieuses pour les désigner. Ils les traitaient d’ "Asiatiques ignobles" (d’après Manethon). De Hyk (= roi, dans la langue sacrée) et Sos (= berger, dans la langue populaire), est venu le nom de Hyksos donné aux envahisseurs. Ils les traitaient encore de "maudits", de "pestiférés", de "lépreux", de "pillards", de "voleurs", d’où Sati = archer? ... ; en valaf [Sénégal], le mot signifie: voleur. Ils appelaient également les Scythes la "plaie de Schéto". (Cf. Chérubini, La Nubie, p.34) Les bas-reliefs que nous ont laissés les Égyptiens et qui commémorent les expéditions pharaoniques contre ces plaies mouvantes de l'Asie, figurent, par contre, des personnages dont la différence ethnique avec les Égyptiens est saisissable au premier abord et sans discussion possible. »

Cheikh Anta Diop, " Nations Nègres et Culture " (1979), p.113

« Sous la VIe dynastie, vers 2300 avant notre ère, sont mentionnés des Temehou; il ne s’agit pas d’une branche des Tehenou, comme le pensait O. Bates, mais d’un groupe ethnique nouveau, à la peau plus claire et aux yeux bleus, avec un pourcentage non négligeable de blonds. Leur manteau de cuir laisse souvent apparaître une épaule nue. [...] Ces Temehou paraissent avoir été fort belliqueux et les pharaons du Moyen Empire durent souvent les combattre. Sous le Nouvel Empire, ils sont fréquemment représentés et bien reconnaissables à leur natte tressée qui pend devant l’oreille et se recourbe au-dessus de l’épaule. Ils portent souvent des plumes dans leurs cheveux et sont parfois tatoués. [...] Les entreprises des Temehou devinrent plus dangereuses sous la XIXe dynastie. [...] Sous Mineptah, en –1227, sont mentionnés les Maschwesch (ou Meshwesh), voisins occidentaux des Libou. Les Libou, comme les Maschwesch, semblent faire partie du groupe plus général des Temehou. »

Histoire générale de l'Afrique (tome 2 p.463-464)


KEMET ET LA TERRE NOIRE

Le brassage des cultures commence très tôt, surtout en Egypte et en Mésopotamie mais pas seulement, il y a des contacts avec les peuples des mers. D'après le Dr Cavalli-Sforza de l'Université de Stanford, les populations Berbères du Maroc sont génétiquement prochent des européens de l'Atlantique et de certains habitants des régions celtiques dont le type physique est méditerranéen. Cette étude coïnciderait avec d'autres recherches sur les anciennes migrations. On ne peut donc pas évoquer une Afrique 100% peuplée de noirs, cela n'a jamais existé.




Le plateau de Gizeh (Ros-Tau) contient un centre stratégique de l'ancienne civilisation, il se trouve sous le plateau de Gizeh et donne accès à un réseau souterrain que les anciens textes dénomment DUAT. Les Sumériens et les Akkadiens redoutaient ce territoire étranger qui est aussi une NECROPOLE. Ce royaume des morts du " pays étranger " dénommé KEMET (ou Kemi) qui est aussi le nom de l'Egypte la " TERRE NOIRE ", cela non pas en raison d'une couleur de peau de ses habitants, le noir est la couleur du LIMON en bordure du Nil et déposé dans les plaines.

Grammaticalement, KEMET est sans doute d'un dérivé de kmt (la Terre Noire) et les kmt.yw étant par conséquent « ceux de la [terre] noire », c'est-à-dire les habitants de l'Égypte. Selon l'égyptologue Pierre Montet, KEMET déterminé comme un toponyme était également l'une des appellations du chef-lieu du nome « le BOEUF NOIR en Basse-Égypte.

Mais cette " TERRE NOIRE " faisait référence au LIMON NOIR et à la région fertile, par opposition au désert, appelé Deshret, " LA TERRE ROUGE " qui se retrouve dans la symbolique égyptienne, où la couleur du désert, associée au Dieu SETH le Stérile qui signifie la violence et le chaos, alors que le noir (et le vert) de la vallée, associés à OSIRIS, symbolisent la renaissance et la fertilité. C'est donc un OSIRIS NOIR que l'on trouve en Haute-Egypte avec le phallus en érection.

Le mot " km.t ", déterminé comme étant un lieu habité ou, anciennement, comme une contrée irriguée. La racine km désigne la couleur noire, alors que le " t " marque ici le féminin. Pour les égyptologues, " km.t " signifie donc un lieu habité désigné comme LA NOIRE généralement traduit par la " TERRE NOIRE ", c'est-à-dire l'Égypte sans le désert et sans « l'infâme pays de Koush » encore très sauvage au Sud, c'est à dire en NUBIE.

Le mot SOUDAN vient de l'arabe balad as-sudaan, qui signifie littéralement « pays (balad) des Noirs », le nom désigne une région d'Afrique plus grande dont fait partie l'ouest du pays, c'était le pays de KOUSH, la grande région du Sud qui ne fait pas partie de l'empire Egyptien mais qui existait en tant que colonie, on y retrouve les traces de l'Egypte antique. Ce royaume qui s'établit au sud dès l'Ancien Empire égyptien eut une longévité peu commune et trouve ses origines dans les cultures néolithiques qui se développèrent dans le couloir nilotique du SOUDAN actuel et de la NUBIE égyptienne.


ANTA DIOP ET L'EGYPTE

Né le 29 décembre 1923 à Caytu (région de Diourbel, Sénégal) décédé le 7 février 1986 à Dakar (Sénégal), Cheikh Anta Diop se présente comme un égyptologue, linguiste, physicien, etc.. Il est militant de l’Association des Étudiants du Rassemblement Démocratique Africain (AERDA) et de la Fédération des Étudiants d’Afrique Noire en France (FEANF). Fondateur du Bloc des Masses Sénégalaises (BMS), du Front National Sénégalais (FNS), du Rassemblement National Démocratique (RND).

A partir des travaux de Cheikh Anta Diop, c'est tout un réseau fantaisiste qui se développe autour de l'Afrique et de son histoire antique. Les afrocentristes récupèrent l'Égypte ancienne à des fins politiques plutôt douteuses. Ils utilisent pour cela des théories fumeuses, avec eux tout a été noir ! Pas un seul de ces afrocentristes ne connais l'Egyptien ancien, le Grec, le Copte, aucun afrocentriste n'a le statut de scientifique ni d'égyptologue, ce sont des clowns.

Certains mouvements de la nébuleuse de Cheikh Anta Diop sont des sectes, les gourous vont promettre des merveilles comme faire de vous un " HORUS ", être divin et supérieur aux autres. Il y a clairement un danger car ces sectes demandent de l'argent en échange d'un savoir secret ou autres rituels. Le racisme anti-blanc est largement propagé mais pas seulement, on y trouve un peu de tout ...


LE ROYAUME DE KOUSH

Les rois koushites devinrent les pharaons de la 25e dynastie égyptienne et les princesses koushites dominèrent le paysage politique de Thèbes en tant qu'épouses d'Amon. Le roi koushite Kashta (c. 750 av. JC) fut le premier à s'établir sur le trône égyptien et nomma sa fille, Amenardis I, première épouse koushite d'Amon. Il fut suivi par d'autres grands rois koushites qui régnèrent jusqu'à l'invasion assyrienne de l'Égypte par Ashurbanipal en 666 avant notre ère.

La prise de pouvoir sur le Nord des Pharaons noirs marquera aussi la fin de l'Egypte. En 672, le royaume de Saïs, grâce aux Assyriens, va renaître, mais il resta vassal des Kouchites. La dynastie Nubienne fut finalement balayée par le fait du nouvel envahisseur Assyriens. Sous TANOUTAMON, l'Empereur d'Assyrie Assurbanipal (vers 670 av. J.-C.) lança un corps d’armée contre l'Égypte et arriva à MEMPHIS, TANOUTAMON incapable de se défendre se réfugia à THEBES. Les Assyriens le poursuivirent et en -663, THEBES fut entièrement ravagée et tous les trésors dans les temples furent pillés. Le gouverneur de Saïs, profita de cette déroute de TANOUTAMON pour prendre, en -656, le contrôle de toute la région.

ATLANARSA succéda à TANOUTAMON mais uniquement dans sa capitale nubienne de NAPATA. Ce fut la fin des Pharaons Noirs en Egypte mais aussi la fin de l'Egypte. Après la chute de l'Egypte, en NUBIE, les Koushites etaient en guerre contre Rome. L'Empire Koushite cessa d’exister totalement en 350 quand MEROE, le centre de pouvoir de KOUSH, tomba après les nombreux assaults des Romains.

Les rois koushites devinrent les pharaons de la 25e dynastie égyptienne et les princesses koushites dominèrent le paysage politique de Thèbes en tant qu'épouses d'Amon. Le roi koushite Kashta (c. 750 av. JC) fut le premier à s'établir sur le trône égyptien et nomma sa fille, Amenardis I, première épouse koushite d'Amon. Il fut suivi par d'autres grands rois koushites qui régnèrent jusqu'à l'invasion assyrienne de l'Égypte par Ashurbanipal en 666 avant notre ère.

Vers 590 av. JC, Napata fut saccagée par le pharaon égyptien Psammétique II (595-589 av. JC) et la capitale de Koush fut transférée à Méroé. Le royaume de Koush continua à vivre avec Méroé comme capitale jusqu'à l'invasion des Aksumites vers 330 av. JC, qui détruisit la ville et renversa le royaume. Cependant, la surexploitation des terres avait déjà épuisé les ressources de Koush et les villes auraient très probablement été abandonnées même sans l'invasion des Aksumites. À la suite de cet événement, Méroé et le royaume de Koush, en déclin, survécurent encore 20 ans avant de disparaître vers 350 de notre ère.


EXPEDITION DE RAMSES II

Dès l’Antiquité, la Nubie est réputée pour ses mines d’or (noub) et se positionne comme interface commerciale entre l’Égypte, la Méditerranée et l’Afrique équatoriale, notamment pour fournir des esclaves. Selon les époques, le pouvoir pharaonique se rétracte sur la Basse Nubie (Ouaouat) ou bien se déploie vers le Sud sur la Haute Nubie (Kouch) – comme sous le Nouvel Empire – en fonction de la faiblesse ou de la force des États en présence. Les mines d'or nubiennes sont très importantes pour les égyptiens.


Fresque du temple de Beit el-Wali : expédition de Ramsès II

Une splendide fresque du temple de Beit el-Wali, décrit l’expédition de Ramsès II en Nubie, au sud de l’Egypte. On reconnait dans les personnages des armées ennemies nubiens et africains des contrées tropicales. A gauche de la fresque Ramsès II (1279-1213 av. JC.) est représenté sur son char en vainqueur vaillant et indestructible. A droite de la fresque Ramsès II est représenté en souverain vainqueur recevant les présents des régions soumises en présence du vice-roi Amenemope. Les présents sont nombreux : or, esclaves, éléphants, encens, lion, girafe, gazelle, léopard etc..


L'IMPOSTURE KEMET

KEMET comme étant l'ancien nom de l'Egypte pour désigner la " Terre du Peuple Noir " est une imposture de l'égyptologie afrocentrée, un domaine de recherche initié par Cheikh Anta Diop où l'on étudie la civilisation de l'Égypte ancienne en partant du postulat qu'elle est une civilisation négro-africaine. En effet, selon Cheik Anta Diop, la civilisation égyptienne serait une civilisation " nègre ".

Diop était un homme politique sénégalais pseudo-historiens auto-proclamé anthropologue et égyptologue incapable de lire le moindre hiéroglyphe, c'est un illuminati. Ses théories linguistiques manquent de sérieux et servent à des instrumentalisations politiques a des mouvements et des sectes, elles sont peu reprises dans la communauté scientifique. Selon Cheikh Anta Diop, par l'expression KEMET, les Égyptiens se seraient désignés dans leur propre langue comme un peuple de " Nègres ".

C'est toute une école de linguistique historique africaine est née de ces recherches, dont les auteurs et la publication sont désormais conséquents. Théophile Mwené Ndzalé Obenga a renommé « négro-égyptien » la théorie générale de cette linguistique historique africaine.

Formé à l'Université de Paris, le franc-maçon Cheik Anta Diop a mis l'accent sur l'apport de l'Afrique et en particulier de l'Afrique noire à la culture et à la civilisation mondiale, il est généralement présenté comme un grand savant. En 1951, il prépare une thèse de doctorat à l'Université de Paris, dans laquelle il affirme que l'Égypte antique était peuplée d'Africains noirs, et que la langue et la culture égyptiennes se sont ensuite diffusées dans l'Afrique de l'Ouest.

Dans ses travaux, il s'appuie sur des citations d'auteurs Grecs anciens comme Hérodote et Strabon pour illustrer sa théorie selon laquelle les Égyptiens anciens présentaient les mêmes traits physiques que les Africains noirs d'aujourd'hui (couleur de la peau, aspect des cheveux, du nez et des lèvres). Son interprétation de données d'ordre anthropologique (comme le rôle du matriarcat) et archéologique l'amène à conclure que la culture égyptienne est une culture nègre.


Extrait de la table des nations dans la tombe de Ramessu III (20e dynastie)
reproduite par Carl Richard Lepsius (Denkmäler Aus Aegypten Und Aethiopien - Erganzungsband)

Sur le plan linguistique, l'illuminati Cheik Anta Diop considère en particulier que le wolof, parlé aujourd'hui en Afrique occidentale, est phonétiquement apparenté à la langue égyptienne antique. Cheikh Anta Diop meurt dans son sommeil à Dakar, le 7 février 1986. Avec Théophile Obenga et Asante Kete Molefe, il est considéré comme l'un des inspirateurs du courant épistémologique de l'afrocentricité.

La plupart des égyptologues contestent les thèses de Diop en se basant sur les milliers de représentations humaines figurant dans les tombes ou les temples d'époque pharaonique : lorsque les Égyptiens y font figurer d'autres peuples, comme les Syriens, les Libyens, ils leur donnent d'autres traits et d'autres vêtements. Or ils ont maintes fois représenté les Noirs du Soudan, le pays de Kouch, avec des traits africains et une peau noire, alors qu'ils se représentaient eux-mêmes avec une peau claire et des traits proches de ceux des Égyptiens modernes.

Les critiques sont nombreuses sur son travail. Lors d'un colloque international organisé à Dakar du 26 février au 2 mars 1996 à l'occasion du dixième anniversaire de la mort de Cheikh Anta Diop, l'anthropologue Alain Froment fit une communication ouvertement critique dans la continuité de ses précédents travaux. En 1996 toujours, Xavier Fauvelle a publié un livre sur Cheikh Anta Diop conçu comme un bilan critique. Pour l'égyptologue Jean Yoyotte, « Cheik Anta Diop était un imposteur. Un égyptologue incapable de lire le moindre hiéroglyphe ». Cheikh Anta Diop est un falsificateur de l'histoire de l'humanité et un révisionniste !


LA SECTE KEMET

Les adorateurs de la déesse Maât

Si Cheik Anta Diop est un chercheur, l’écrivain Doumbi Fakoli, maître à penser de la secte des Kamites et disciple de Cheick Anta Diop qui invente la nouvelle religion en s'inspirant des cultes égyptiens. Selon les penseurs de la secte, un Kamite n’est pas un croyant, mais un savant, un amoureux de la connaissance. Ce sont les fils aînés de la terre et tous les peuples procèdent d’eux et sont leurs enfants, leurs frères. Ils sont les fils aînés de l’humanité. Les Kémites doivent être noire de peau, Kémet désignant les habitants de la terre des noirs, c’est-à-dire toute l'Afrique !

Les Kémites disposent d’une idée spécifique du Divin. Ils glorifient, divinisent et prient leurs propres ancêtres. Ce n’est pas en priant des dieux extra-africains que l’on comprendra comment fonctionnaient nos ancêtres quand ils étaient les guides de l’humanité. L'adepte doit être une personne consciente d’être un descendant des guides de l’humanité dans la voie de Maât, une divinité du panthéon égyptien, symbole de la Vérité et de la Justice) contre Isfet (Seth le maléfique). Maât est aussi la déesse de l’harmonie cosmique, de la rectitude (ou conduite morale) de l’ordre et de l’équilibre du monde. Pour les anciens égyptiens, l’Isfet représente le désordre, le mal, le dévoiement, le chaos, l’injustice. C’est l’antithèse du Maât.

Les adeptes glorifient, divinisent et prient leurs propres ancêtres. Ils combattent l’injustice, l’exploitation de l’homme par l’homme, le vivre-ensemble impérial actuel, fondé sur la domination, l’exclusion, le racisme, la hiérarchisation des peuples, des Etats, la violence autorisée des pays ayant la bombe nucléaire sur le reste du monde, la désinformation des médias. Certains peuples, pour adresser un salut disent (Shalom), d’autres (Salamalékum), etc., le kémite dit, «Hotep », qui signifie (paix sur toi, vous). Ils respectent la norme, la vérité, la justice, l’harmonie, la liberté, toujours au service de la déesse Maât.


LES PHARAONS NOIRS

Le royaume de KOUSH (ou Kush) est l'appellation que les Égyptiens antiques donnèrent au royaume qui s'établit au sud de leur pays dès l'Ancien Empire égyptien. Ce royaume eut une longévité peu commune et trouve ses origines dans les cultures néolithiques qui se développèrent dans le couloir nilotique du SOUDAN actuel et de la NUBIE égyptienne.

Sous la dénomination Kerma (XXVe siècle au XXIe siècle avant notre ère) ancien on entend regrouper l'ensemble des cultures nilotiques du Soudan moyen qui se regroupèrent par chefferies autour d'un puissant monarque qui avait donc sa capitale à Kerma, site du cours moyen du Nil soudanais. La population de cette époque est en effet constituée d'un ensemble de peuplades différentes, davantage marqué par les influences du sud du SOUDAN.


Pyramides de Méroé au Soudan (Source : Wikipedia)

Après la perte de contrôle de l’Égypte sur la NUBIE, celle-ci entre dans une période de transition obscure, à la fois du point de vue des sources écrites que de l’archéologie, qui durera de 1069 à 795 avant notre ère et débouchera sur la conquête de l’Égypte par une dynastie kouchite originaire de Napata, traditionnellement mais improprement appelée celle des « Pharaons noirs » de l'empire Koushite vers 700 avant notre ère.

Les Koushites ne sont donc pas les Egyptiens ! Ils sont une colonie de l'Egypte avec la même culture importée du Nord ! On retrouve des fragments du culte Egyptiens dans toute l'Afrique, même plus à l'ouest chez les DOGONS du MALI avec l'étoile SIRIUS très importante chez les Egyptiens !

C'est quand il y a eu des troubles en Egypte que les prêtres installent ces Pharaons sur le trône. Le royaume de NAPATA réclamait l'héritage de l'Égypte devant l'anarchie qui y règnait, Piyé (Piânkhy), puis après lui ses successeurs, interviennent et montent sur le trône d'Égypte fondant la XXVe dynastie. Leur royaume s'étend alors de la VIe cataracte aux environs de Khartoum jusqu'à la Méditerranée.




Ces nouveaux Pharaons respectent scrupuleusement les coutumes et les institutions, s’affirmant pleinement Egyptiens puisque la culture Koushite est déja sous l'influence de l'Egypte. Des scènes traditionnelles de triomphe royal montre même le roi koushite maîtrisant des Nubiens. S'ouvre alors une période particulière de sept décennies où, militairement vaincue par son adversaire, l'Egypte s'impose à lui culturellement.

Les Egyptiens de la TERRE NOIRE  ne sont donc pas des noirs de peau et il y a donc plusieurs groupes (ou races) en Egypte quand les koushites héritent du trône Egyptien. L'Egypte n'a jamais été un empire de peuples noirs c'est absolument faux ! Cependant, la NUBIE en tant que colonie de l'Egypte n'a jamais été coupée radicalement du Nord.

Toutes ces civilisations Egyptiennes et Nubiennes (Kerma, Napata, Méroé) appartiennent à cette même vallée du Nil constituant la base des antiquités classiques pour l'Afrique. Ainsi, de 1700 à 700 av. J.-C. , la NUBIE et l'EGYPTE ont parfois développé des civilisations endogènes autonomes entretenant des relations commerciales, parfois l'empire pharaonique s'étend jusqu'en NUBIE après la chute du royaume de KERMA. C'est bien plus tard que la NUBIE Koushite va englober totalement la vallée du Nil jusqu'au Delta avec ses Pharaons noirs, en continuant l'héritage culturel des périodes plus anciennes de l'Egypte.

Voir : Koush et Pharaons Noirs

Les pharaons ont imposé leur souveraineté, leur religion et leurs valeurs aux peuples et aux rois kouchites. Ces rois de Kouch ont fini par adopter les façons de faire pharaoniques et égyptiennes, on retrouve donc la culture égyptienne en afrique et même de petites pyramides qui servent de tombe. Les descendants de Piânkhy, devenus pharaons, fondent la 25e dynastie se placent sous la protection des dieux égyptiens et produisent des stèles pour réaffirmer les éléments fondateurs de la religion.

La pierre de Chabaka (British Museum) est une stèle de l'époque de la XXV dynastie, les textes expliquent comment Chabaka va introduire de nouveau le culte solaire d'AMON. Selon la deuxième ligne du texte, Chabaka, roi de Napata et pharaon de -716 à -702, horrifié de découvrir lors de sa visite au temple de Ptah qu'un rouleau de papyrus sacré était dévoré par les vers, a ordonné que le texte restant soit immédiatement gravé sur la pierre. Le texte évoque la cosmogonie memphite plaçant Ptah, divinité protectrice des artisans et dieu créateur, au centre de l'univers.

L'Egypte est déjà sous influence des étrangers quand Koush prend le pouvoir sur l'Egype, mais sont territoire n'est plus aussi vaste qu'avant. Puis arriveront les Perses qui prennent le pays jusqu'à l'arrivée d'Alexandre le Grand après avoir vaincu l'emire Perse.


KOUSH ET HYKSOS

Collaboration avec les Envahisseurs de l'Egypte

Des relations diplomatiques entre KERMA et les envahisseurs asiatiques HYKSÔS (sémites) du delta du Nil sont prouvées et attestent que les deux puissances cherchèrent à passer alliance afin de contrer la montée en puissance d'une dynastie rivale située à THEBES. Kamosé reprit alors l'avantage sur le royaume de KERMA repoussant sa frontière au sud d'Éléphantine. Son successeur Ahmôsis Ier poursuivit cette conquête des territoires du SOUDAN.


KOUSH ET LES JUIFS

C'est sur cette terre en Éthiopie que les descendants de Salomon et la Reine de Saba auraient vécu. CANDACE était dans la lignée des reines éthiopiennes et des leaders militaires, l’une d’elle était une descandante de KOUSH.

La première CANDACE, a dirigé une armée dont les guerriers montaient des éléphants. Elle a stoppé l’invasion d’Alexandre Le Grand en Éthiopie en -332. En 30 avant notre ère, CANDACE AMANIRENAS a vaincus une invasion de Patronius, un gouverneur Romain en Égypte et saccage la ville de Cyrène.

En 937, la reine juive de Falasha JUDITH a attaqué Axoum, la capitale sacrée de l'Éthiopie, tuant tous les habitants de cette ville y compris les descendants de Salomon et la Reine de Saba. Les Falachas ou Falashas également appelé Beta Israel ou Bétä Esraél, étaient des habitants de l'Éthiopie, maintenant qualifiés en Israël de « juifs éthiopiens ».

L’origine des Beta Israel est obscure, car ils ne sont pas mentionnés dans les textes avant le XIIIe siècle, ils se considèrent comme les descendants des Hébreux mais n’ont pas une perception claire et unique du lien entre eux-mêmes et leurs ancêtres supposés.


QUADESH LA PROSTITUEE

QADESH est une déesse de la mythologie égyptienne importée de Syrie représentée coiffée d'un disque lunaire, et souvent sur un lion le bras plié, avec dans les mains des fleurs de lotus et des serpents. Elle est entourée du Dieu phallique OSIRIS-MIN, dont elle est l'épouse et RESHEP le sémite, un Dieu importé venu du pays des Cananéens. Le nom QADESH vient de la racine sémitique q-d-sh de l'hébreu, qui signifie « sacré » ou « séparé ». QADESH en hebreu signifie " saint " et " consacré " mais aussi " prostituée ".


La déesse Sémitique Ishtar - Kadesh guerrière et érotique entourée d'Osiris-Min et de Reshep le Sémite

Cette Déesse importée en Egypte a de nombreux noms dans l'histoire, elle est la Déesse de l'amour VENUS et un avatar de LILITH, sous sa forme phénicienne et syro-palestinienne (babylone) son nom est ASTARTE. Les figures sont identiques mais le sens est détourné en plusieurs étapes. D'origine proche-orientale, cette déesse étrangère représentée de face sur les stèles est introduite en Egypte au Nouvel Empire. Elle est représentée par une femme parfois à cheval ou sur un char, c' est aussi une déesse de la guerre.

Voir : Lilith la Lune Noire

Le culte lié à la nature et à la renaissance solaire est mal compris, OSIRIS-MIN qui est aussi l'OSIRIS NOIR devient exclusivement phallique et Dieu sexuel, alors qui'l est censé représenter le LIMON NOIR en bordure du Nil et la fertilité de tout ce qui existe sur Terre.


LES BLANCS EN EGYPTE

Si le Sud de l'Egypte était peuplée très certainement de " noirs ", le Nord avait bien des blancs ! On savait déjà, grâce à ses restes momifiés, que Ramsès II était roux. La thèse de l’appartenance de la lignée pharaonique à la race blanche se trouve renforcée par une récente découverte génétique, concernant le célèbre Toutânkhamon (14e siècle avant notre ère).

Les scientifiques du centre généalogique de Zurich ont reconstitué le profil génétique du jeune pharaon (mort à 18 ans) et se sont aperçus qu’il appartenait au groupe de profil génétique nommé « haplogroupe R1b1a2 ». Or, il n’y a dans l’Egypte actuelle, pas plus d’1% de la population (malgré sa diversité génétique) qui appartienne à cet haplogroupe. En revanche, ce sont environ la moitié des Européens de l’Ouest qui en font partie !

Sous la VIe dynastie, vers 2300 avant notre ère, sont mentionnés des Temehou; il ne s’agit pas d’une branche des Tehenou, mais d’un groupe ethnique nouveau, à la peau plus claire et aux yeux bleus, avec un pourcentage non négligeable de blonds. Leur manteau de cuir laisse souvent apparaître une épaule nue. Ces Temehou paraissent avoir été fort belliqueux et les pharaons du Moyen Empire durent souvent les combattre.

La présence aujourd'hui des populations eurasiatiques arabo-berbères en Afrique du Nord est le fruit des vagues d'invasions successives au fil du temps de ces populations blanches primordiales originaires d'Eurasie (Tehemou et autres peuples de la mer) apparues petit à petit dans le Delta du Nil d'où ils étaient fréquemment expulsés hors d'Égypte puis leur fixation favorisée par les largesses de pharaon en leur distribuant des lopins de terre et par la pression des rapports de force militaires dans la région.


AUSTRALIA

Des résultats scientifiques confirment ce que nous savions déjà avec certitude, le lien qui existe entre les peuples Aborigènes d'Australie et de Mélanésie avec l'Afrique. Selon la théorie officielle, comme tous les peuples, ils viennent d'une fraction d'Africain qui aurait quitté il y a quelques milliers d'années l'Afrique, pour migrer vers les terres situées dans le pacifique.

Dans l'étude publiée dans le "Proceedings of the National Academy of Sciences" par le professeur Peter Forster, il est démontré que l'ADN prélevé sur un groupe d'Aborigènes et de Mélanésiens leur confère un ancêtre commun.

C'est encore une fois de plus une thèse du très grand professeur Cheikh Anta Diop ! Dans son livre "Civilisation et Barbarie", il affirmait déjà que l'Australie n'a pas vu naître l'Homo sapiens, celui-ci y est venu par navigation il y a environ 30 000 ans. Selon lui, les négroïdes ont survécu partout, en Europe jusqu'au Néolithique: Espagne, Portugal, Belgique, Balkans, etc.. Bref, nous sommes tous des noirs africains !

Le séquençage du génome de l'Aborigène australien permet de déterminer que l'Asie de l'Est a été peuplée par plusieurs vagues migratoires successives et non en une seule migration, une question qui était jusqu'ici controversée. Les chercheurs ont pu comparer le génome aborigène séquencé avec soixante-dix-neuf autres génomes d'Asiatiques, d'Européens et d'Africains modernes, comparaison qui n'a montré aucun apport génétique européen ou asiatique. Ils ont aussi séquencé le génome de trois Chinois Han.




Jusqu'alors, selon la théorie la plus communément acceptée parmi les anthropologues et les grand illuministes comme le Cheikh Anta Diop, tous les hommes modernes sont issus d'une seule migration d'Afrique vers l'Europe, l'Asie et l'Australie. Selon ce modèle, désormais remis en question, les Aborigènes d'Australie seraient une branche descendant de la population asiatique déjà séparée des Européens. L'Afrique orientale serait le berceau d'Homo sapiens, celui-ci serait sorti de ce continent pour, petit à petit, gagner les autres. Sapiens qui arrivent en Europe il y a environ 45.000 à 50.000 ans.

Mais les Aborigènes seraient arrivés en Australie bien plus tôt, entre - 62.000 et - 75.000 ans. Le chercheur Ludovic Orlando estime que c'est le premier groupe à avoir un succès et à être parvenu à survivre jusqu'à aujourd'hui.

Source : http://www.lefigaro.fr/sciences/2011/09/27/01008-20110927ARTFIG00862-les-aborigenes-doyens-du-monde.php

Cette étude génétique prouve que les ancêtres des Aborigènes australiens avaient commencé leur exploration de l'Asie longtemps avant que les premières populations européennes et asiatiques eurent divergé, entre 50 000 et 25 000 ans en arrière.

L'étude remet en question toute l'anthropologie classique, mais cela pourrait aussi détruire à jamais les thèses négro-africaines et négro-égyptiennes des illuminés ! Il se pourrait très bien que l'homme noir arrive sur le continent africain en provenance de l'Australie via l'asie et voir même du PACIFIQUE ! Cela n'écarte pas d'autres migrations.

Il faut savoir qu'il y a 60 000 ou 70.000 ans, la géographie terrestre était un peu différente de celle que nous connaissons. Le niveau des mers était beaucoup plus bas. L'Australie et la Nouvelle-Guinée étaient réunies et un bras de mer d'environ 80 km séparait l'Australie du continent asiatique par Bornéo. Une distance encore importante mais pas insurmontable pour ces hommes épris de conquête.



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