LE ROYAUME DE KOUSH
Les Noirs en Egypte

KEMET ET LA TERRE NOIRE

Brouiller les Cartes afin de Cacher nos Origines

Le royaume dénommé KEMET (ou Kemi) est aussi le nom de l'Egypte, c'est la " TERRE NOIRE ", à cause du LIMON en bordure du Nil et déposé dans les plaines. La " TERRE NOIRE " faisait donc référence au LIMON NOIR et à la région fertile, par opposition au désert, appelé Deshret, " LA TERRE ROUGE " qui se retrouve dans la symbolique égyptienne, où la couleur du désert, associée au Dieu SETH le Stérile qui signifie la violence et le chaos, alors que le noir (et le vert) de la vallée, associés à OSIRIS, symbolisent la renaissance et la fertilité.

Le royaume de KOUSH (ou Kush) est l'appellation que les Égyptiens antiques donnèrent au royaume qui s'établit au sud de leur pays dès l'Ancien Empire égyptien. Ce royaume eut une longévité peu commune et trouve ses origines dans les cultures néolithiques qui se développèrent dans le couloir nilotique du Soudan actuel et de la Nubie égyptienne.

D’autres chercheurs émettent l’idée que le pays de KOUSH entouré par le Guihôn était dans la péninsule Arabique, puisque le nom “ Koushân ” est utilisé parallèlement au “ pays de Madiân ” en Habaqouq 3:7, Madiân étant généralement situé dans le voisinage du golfe d’Aqaba. Si on dit de Tsippora, la femme madianite de Moïse, qu’elle était “ koushite ”, il est possible que ce soit par référence à un tel pays de “ Koush ” situé en Arabie. Les noms de Seba, fils de Koush, est attaché à l’Afrique orientale, tandis que ceux de Havila, de Sabta, de Raama et de Sabteka sont généralement associés à des régions de la péninsule Arabique.

Le pays de KOUSH est un mystère, il y avait aussi une autre région que l'on connait comme étant le pays de POUNT. Selon des spécialistes ce pays était encore plus loin vers l'océan Indien, les contacts entre les deux régions via l'arabie existait comme le prouve les pierres précieuses. Des fresques de Ramses II indique aussi le pays de POUNT. Un papyrus de Ramses III indique des échanges commerciaux avec ce pays lointain.


Pyramides de Méroé au Soudan (Source : Wikipedia)

Le nom SOUDAN vient de l'arabe balad as-sudaan, qui signifie littéralement « pays (balad) des Noirs », le nom désigne une région d'Afrique plus grande dont fait partie l'ouest du pays, c'était le pays de KOUSH, la grande région du Sud qui ne fait pas partie de l'empire Egyptien mais c'était certainement une colonie car on y retrouve les traces de l'Egypte antique. Ce royaume qui s'établit au sud dès l'Ancien Empire égyptien eut une longévité peu commune et trouve ses origines dans les cultures néolithiques qui se développèrent dans le couloir nilotique du Soudan actuel et de la Nubie égyptienne.

Une étude menée sur la momie de Ramsès II, par le musée de l'Homme à Paris en 1976, a conclu que le pharaon était un leucoderme (Blanc de peau), de type méditerranéen proche de celui des Amazighes africains, c'est à dire les BERBERES et les COPTES ! Après un déluge (on ne sait pas exactement la nature de ce déluge) commencera l'histoire des civilisations avec les mélanges, petit à petit l'Egypte va accueillir les noirs du Sud, les Sémites et les Perses originaires d'Asie, ainsi que les peuples Helléniques et Celtiques de méditerranée.


L'EMPIRE KOUSH EN AFRIQUE

Sous la dénomination Kerma (XXVe siècle au XXIe siècle avant notre ère) ancien on entend regrouper l'ensemble des cultures nilotiques du Soudan moyen qui se regroupèrent par chefferies autour d'un puissant monarque qui avait donc sa capitale à Kerma, site du cours moyen du Nil soudanais. La population de cette époque est en effet constituée d'un ensemble de peuplades différentes, davantage marqué par les influences du sud du Soudan.

À dater de l'époque du Kerma moyen, on assiste au développement du royaume et de sa culture notamment des pratiques funéraires. Au nord du pays, un Groupe des peuples nubiens domine toujours la vallée jusqu'à ce que les pharaons du Moyen Empire égyptien annexent littéralement la région jusqu'au Batn el-Haggar. On assiste alors à une réaction du royaume de Kerma qui protégea ses cités derrière des remparts et, signe des temps, les défunts masculins furent alors inhumés avec leurs armes de manière systématique.

Le troisième royaume de KERMA s'étend son territoire de la première cataracte, aux environs d'Assouan, jusqu'à la quatrième cataracte à la suite de l'alliance des peuples nubiens et du royaume de Kerma qui en devient alors la capitale. Les relations avec le voisin du nord sont au début pacifiques et le commerce est florissant avec toute la vallée du Nil et l'Afrique centrale, on assiste à un bond de l'agriculture et de l'urbanisation de la région avec une religion et une écriture spécifiques, même si elles intègrent des éléments égyptiens.

L'historien Manéthon, qui écrivit beaucoup plus tard, considère l'expulsion définitive des envahisseurs Hyksôs et le rétablissement de la domination égyptienne indigène après un siècle d’occupation comme un événement assez important pour justifier le départ d'une nouvelle dynastie en Egypte.

Après avoir battu les envahisseurs sémites HYKSÔS, Ahmôsis commence une campagne en Syrie et en Nubie. Il guerroie en Nubie, au-delà de la 2e cataracte, où il soumet les Iountyou Sétyou. Le pays est placé sous l'autorité d'un vice-roi, le « fils royal de Koush » Djéhouty, la région a pour capitale Aniba et subit une égyptianisation affichée.

Les campagnes d'Ahmôsis en NUBIE sont bien documentées. Peu de temps après la première campagne, un Nubien nommé Aata, qui s'était rebellé contre Ahmôsis, est écrasé. Après cette tentative, un Égyptien anti-thébain nommé Téti-ân rassemble de nombreux rebelles en NUBIE, mais lui aussi est défait.

Ahmôsis restaure la domination égyptienne sur la NUBIE, qui est désormais contrôlée à partir d'un nouveau centre administratif établi à Bouhen. Ahmôsis semble aussi avoir récompensé divers princes locaux qui ont soutenu sa cause et celle de ses prédécesseurs dynastiques. L'Empire KOUSH n'existe plus et devient une colonie Egyptienne, ce qu'il reste de l'armée de KOUSH est assimilée à l'Egypte.

L’histoire de la conquête de la NUBIE au Nouvel Empire égyptien, est essentiellement connue grâce aux travaux d’archéologues et aux documents écrits égyptiens. L’un d’entre eux, la biographie d’un général égyptien, Ahmose, fils d’Ibana, en exercice sous les règnes des pharaons égyptiens Ahmosis Ier, Amenophis Ier et Thoutmosis Ier, entre 1552 et 1506, nous est particulièrement utile pour la connaissance des débuts de cette conquête.




Le royaume de KOUCH existe toutefois toujours, malgré la réduction considérable de son territoire ; la deffufa occidentale est notamment reconstruite après le retrait des Égyptiens. Le successeur de Thoutmosis I en Égypte, Thoutmosis II, doit également, dès la première année de son règne, mater une révolte menée par une coalition du roi de KOUCH et d’autres princes de NUBIE plus au nord. Cette campagne garantit une relative paix dans la colonie de NUBIE durant les règnes de la pharaonne égyptienne Hatchepsout.

Les armées de son successeur Thoutmosis III détruisent la ville de Kerma et entraînent sa dépopulation vers le site de Doukki Gel. Sous le règne de Thoutmosis IV, les hostilités reprennent pour culminer sous AKHENATON et sa fameuse expédition punitive en NUBIE, à la jonction du Nil et du Wadi Allaqi, en réponse à la nouvelle selon laquelle les Kouchites se seraient emparés de provisions. 80 Kouchites y furent empalés, 145 captifs emmenés en Égypte avec 361 têtes de bétail. Il est toutefois intéressant de noter que le père et prédécesseur d’Akhénaton, Aménophis III, lors d’une campagne contre KOUCH, aurait fait 30 000 prisonniers qu’il aurait relâchés, sa volonté n’étant pas d’exterminer « la semence de Kouch ».

Les Koushites étaient cultivateurs, d’autres artisans et commerçants. Ils s’emparaient parfois d’autres territoires dont ils réduisaient les peuples en esclavage. Le royaume de KOUSH était riche, il possédait des mines d’or. Ses terres étaient fertiles. Il était idéalement situé pour commercer avec d’autres peuples. Les Koushites transportaient des marchandises sur le Nil, ou par voie de terre jusqu’à la mer Rouge, ils étaient en contract étroit avec les peuples asiatiques Sémites et Perses.


Relief tombal d'Égypte antique (copie colorée de 1820). Provient d'un Livre des portes de la tombe de Séthi Ier.
Il décrit quatre groupes de personnes : Libyens, Nubiens, Asiatique, Égyptien (de gauche à droite).

Quelques années plus tard, sur les reliefs de la tombe du pharaon Horemheb, sont dépeintes des populations méridionales emmenées comme captives en Égypte en tant que partie des « bénévolences » venant du Sud, et ne sont donc probablement pas à interpréter comme le résultat d’une campagne militaire. Dans un livre des portes de la tombe de Séthi Ier, il y a quatre groupes de personnes : Libyens (Kabyle), Nubiens, Asiatique (sémites) et Égyptien. Les Nubiens, dont l'extraction est africaine, sont les véritables nègres.

Sous les pharaons Séti Ier et Ramses II, KOUCH est le pays d’IREM, à la localisation incertaine mais dont la frontière méridionale s’étend vraisemblablement jusqu’à la cinquième cataracte, qui se soulève contre le pouvoir pharaonique mais voit en contrepartie, sous les deux règnes, la déportation de plus de 7 000 prisonniers. Sous Merenptah, leur successeur, ont lieu de nouvelles révoltes dans les pays d’IREM et d’AKITA.

Plus tard, à la fin de la XIXe dynastie, les conflits entre Égypte et NUBIE se manifestent plutôt par le biais d’un « partage » du territoire pharaonique entre prétendants au pouvoir égyptien. Ainsi, Amenmes, qui est probablement un fils de Seti II, conteste le pouvoir de ce dernier en Haute Égypte, puis en NUBIE.

Plus tard, sous le règne du pharaon Ramses XI, Panehesy, le dernier fils royal de KOUSH, intervient en Haute Égypte avec des troupes kouchites pour rétablir l’ordre en Haute Égypte, où il prend le pouvoir. Avec la fin de la domination égyptienne sur le Soudan et la suite de l’éclatement de l’Égypte en plusieurs royaumes rivaux, la NUBIE devient indépendante avec Panéhésy en tant que vice roi.

Panéhésy est toutefois remis en question par Herihor, officiellement Grand Prêtre d’Amon mais, de facto, le souverain de l’Égypte. Ne pouvant tolérer la présence politique de Panehesy, il lui déclare la guerre. La colonisation égyptienne de la NUBIE se termine dans ce climat d’instabilité politique.


PHARAONS NOIRS KOUSHITES

Après la perte de contrôle de l’Égypte sur la NUBIE, celle-ci entre dans une période de transition obscure, à la fois du point de vue des sources écrites que de l’archéologie, qui durera de 1069 à 795 avant notre ère et débouchera sur la conquête de l’Égypte par une dynastie kouchite originaire de Napata, traditionnellement mais improprement appelée celle des « Pharaons noirs » de l'empire Koushite vers 700 avant notre ère. Pour les Egyptiens l'important était de garder les rites et le culte, ainsi le Pharahon d'une nouvelle lignée pouvait être un étranger à condition que la tradition puisse continuer.

Cinq pharaons noirs, issus de NUBIE ont régné sur l'Égypte durant la XXVe dynastie, dite koushite, à la Basse Époque : PIÂNKHY, SHABAKA (Chabaka ou Chewbacca pour les fans de SF), SHABATAKA (Chabataka), TAHARQA et TANOUTAMON (Tantamani). Les avis des spécialistes sont très partagés sur la généalogie de cette dynastie qui en devient extrêmement compliquée. TANOUTAMON est le dernier pharaon de la XXVe dynastie, il est roi de NAPATA pendant la deuxième période du royaume de KOUSH après le royaume de KERMA et avant celui de MEROE et pharaon de -664 à -656.

La XXVe dynastie pharaonique a la particularité d'être uniquement nubienne, originaire du royaume de NAPATA. Ces rois sont de grands adorateurs du dieu " Amon de Napata ". Leur origine les fera surnommer pharaons noirs, pharaons éthiopiens ou encore pharaons koushites, les rois de cette dynastie vont contrôler la Basse Nubie et la Haute-Égypte. On peut alors considérer cette période comme l'apogée du royaume de NAPATA dont la dynastie réclame l'héritage de l'Égypte. En effet, devant l'anarchie qui y règne, Piyé (Piânkhy), puis après lui ses successeurs, interviennent et montent sur le trône d'Égypte fondant la XXVe dynastie. Leur royaume s'étend alors de la VIe cataracte aux environs de Khartoum jusqu'à la Méditerranée.

Ces Pharaons déjà colonisés par les Egyptiens respectent scrupuleusement les coutumes et les institutions, s’affirmant pleinement Egyptiens. Des scènes traditionnelles de triomphe royal montre le roi koushite maîtrisant des Nubiens. S'ouvre alors une période particulière de sept décennies où, militairement vaincue par son adversaire, l'Egypte s'impose à lui culturellement.


DEBACLE ET FIN DE L'EGYPTE

La prise de pouvoir sur le Nord des Pharaons noirs marquera aussi la fin de l'Egypte. En 672, le royaume de Saïs, grâce aux Assyriens, va renaître, mais il resta vassal des Kouchites. La dynastie Nubienne fut finalement balayée par le fait du nouvel envahisseur Assyriens.

Sous TANOUTAMON, l'Empereur d'Assyrie, Assurbanipal (669-631 ou 626) lança un corps d’armée contre l'Égypte, TANOUTAMON incapable de se défendre se réfugia à Thèbes. Les Assyriens le poursuivirent et en 663, Thèbes fut entièrement ravagée et tous les trésors dans les temples furent pillés. Le gouverneur de Saïs, profita de cette déroute de TANOUTAMON pour prendre, en 656, le contrôle de la région.

Il réussit à expulser les Assyriens grâce à des mercenaires Lydiens et Grecs et refit l'unité du pays. ATLANARSA succéda à TANOUTAMON mais uniquement dans sa capitale nubienne de NAPATA. Ce fut la fin des Pharaons Noirs en Egypte.

En NUBIE, pendant les longs siecles les Kushites etaient en guerre contre Rome. L'Empire Koushite cessa d’exister totalement en 350 quand Méroé, le centre de pouvoir de KOUSH, tomba après les nombreux assaults des Romains.


ATON EST GRAND

Le deuxième objectif de cette manipulation est de cachée l'origine des religions à la masse ignorante. Avec les Pharaons noirs, le culte Egyptien déjà importé plus au Sud existe toujours, ils alliaient la culture égyptienne et d’autres cultures africaines. C'est plus tard avec le pharaon AKHENATON que la civilisation Egytienne va subir un véritable bouleversement religieux.

Avant de se faire virer d'Egypte, AKHENATON reprendra uniquement le culte de la journée avec le soleil au Zenith pour seul et unique religion. On sait aujourd'hui que le Pharaon AKHENATON  était de race noir et que pendant cette période se déroule un changement important en Egypte. Tout a été déplacé et caché, l'histoire biblique se déroule dans cette partie du monde, il est fortement possible que la ville de THEBES était la véritable JERUSALEM et que la Haute-Egypte (au Sud) s'appelait la JUDEE.

Voir : Akhenaton et le Culte d'Aton


KOUSH ET HYKSOS

Collaboration avec les Envahisseurs de l'Egypte

Des relations diplomatiques entre KERMA et les envahisseurs asiatiques HYKSÔS (sémites) du delta du Nil sont prouvées et attestent que les deux puissances cherchèrent à passer alliance afin de contrer la montée en puissance d'une dynastie rivale située à Thèbes. Kamosé reprit alors l'avantage sur le royaume de KERMA repoussant sa frontière au sud d'Éléphantine. Son successeur Ahmôsis Ier poursuivit cette conquête des territoires du Soudan.


QUADESH LA PROSTITUEE

QADESH est une déesse de la mythologie égyptienne importée de Syrie représentée coiffée d'un disque lunaire, et souvent sur un lion le bras plié, avec dans les mains des fleurs de lotus et des serpents. Elle est entourée du Dieu phallique OSIRIS-MIN, dont elle est l'épouse et RESHEP le sémite, un Dieu importé venu du pays des Cananéens. Le nom QADESH vient de la racine sémitique q-d-sh de l'hébreu, qui signifie « sacré » ou « séparé ». QADESH en hebreu signifie " saint " et " consacré " mais aussi " prostituée ".


La déesse Sémitique Ishtar - Kadesh guerrière et érotique entourée d'Osiris-Min et de Reshep le Sémite

Cette Déesse importée en Egypte a de nombreux noms dans l'histoire, elle est la Déesse de l'amour VENUS et un avatar de LILITH, sous sa forme phénicienne et syro-palestinienne (babylone) son nom est ASTARTE. Les figures sont identiques mais le sens est détourné en plusieurs étapes. D'origine proche-orientale, cette déesse étrangère représentée de face sur les stèles est introduite en Egypte au Nouvel Empire. Elle est représentée par une femme parfois à cheval ou sur un char, c' est aussi une déesse de la guerre.

Voir : Lilith la Lune Noire

Le culte lié à la nature et à la renaissance solaire est mal compris, OSIRIS-MIN qui est aussi l'OSIRIS NOIR devient exclusivement phallique et Dieu sexuel, alors qui'l est censé représenter le LIMON NOIR en bordure du Nil et la fertilité de tout ce qui existe sur Terre.


KOUSH ET LES JUIFS

C'est sur cette terre en Éthiopie que les descendants de Salomon et la Reine de Saba auraient vécu. CANDACE était dans la lignée des reines éthiopiennes et des leaders militaires, l’une d’elle était une descandante de KOUSH.

La première CANDACE, a dirigé une armée dont les guerriers montaient des éléphants. Elle a stoppé l’invasion d’Alexandre Le Grand en Éthiopie en -332. En 30 avant notre ère, CANDACE AMANIRENAS a vaincus une invasion de Patronius, un gouverneur Romain en Égypte et saccage la ville de Cyrène.

En 937, la reine juive de Falasha JUDITH a attaqué Axoum, la capitale sacrée de l'Éthiopie, tuant tous les habitants de cette ville y compris les descendants de Salomon et la Reine de Saba. Les Falachas ou Falashas également appelé Beta Israel ou Bétä Esraél, étaient des habitants de l'Éthiopie, maintenant qualifiés en Israël de « juifs éthiopiens ».

L’origine des Beta Israel est obscure, car ils ne sont pas mentionnés dans les textes avant le XIIIe siècle, ils se considèrent comme les descendants des Hébreux mais n’ont pas une perception claire et unique du lien entre eux-mêmes et leurs ancêtres supposés.



SOURCES ET LIENS






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