HOLOCAUSTE ET SHOAH
Un Génocide en Europe

QUAND ZEUS TUE SES ADEPTES

La conversion forcée des juifs au judaïsme libéral

L’HOLOCAUSTE est le sacrifice par le feu d’un animal après immolation. Pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chthoniens, il l'est aussi dans la tradition israélite. Utilisé dès le XIXe siècle dans les langues française et anglaise pour désigner le meurtre à grande échelle d’un groupe social ou ethnique, il devient l'un des termes employés après la Seconde Guerre mondiale pour tenter de caractériser le massacre systématique et ciblé des Juifs par l’Allemagne nazie, le mot « génocide » n’ayant pas encore été inventé et celui de SHOAH n’étant pas encore accepté.

Cependant, pour la tradition juive, un HOLOCAUSTE est un sacrifice offert à Dieu pour lui être agréable avec de la chair animale brûlée et fait uniquement sur l’autel du Temple de Jérusalem construit en l’an 70. Depuis, on évoque un HOLOCAUSTE à chaque fois qu'on va sacrifier une population pour une autre, ou remplacer un système par un autre, convertir un peuple ou encore modifier une religion.


LA COLONISATION DE MADAGASCAR

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a prononcé un discours au Congrès sioniste, le 20 octobre 2015, ou il explique que Hitler ne voulait pas exterminer les juifs, mais seulement les expulser. Selon Netanyahu, c'est le mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini, qui lui a soufflé l'idée de la Solution finale.

"'Si vous les expulsez, ils viendront tous ici [en Palestine]. 'Alors que devrais-je faire d'eux?' demanda Hitler. Il répondit : 'Brûlez-les'", raconte le Premier ministre israélien, évoquant une rencontre entre les deux hommes à Berlin. Benjamin Netanyahu a raconté cette anecdote alors qu'il tenait un discours portant sur les dix grands mensonges que doit combattre Israël aujourd'hui. Il était en train d'expliquer que le mufti Haj Amin al-Husseini affirmait déjà, à l'époque, qu'Israël voulait détruire la mosquée al-Aqsa, pour mobiliser le monde arabe contre les Juifs au Moyen-Orient.




Il est prouvé aujourd'hui que les nazis voulaient déporter les juif sur l'île de Madagascar pour créer un état juif ! Il fallait quand même demander l'autorisation à la France et comme les alliés contrôlaient les mers, le " Plan Madagascar " deviendra difficile à mettre en place.

Le Plan Madagascar sera définitivement abandonné en décembre 1940. En janvier 1941, Göring et Himmler mettent au point le plan Heydrich, qui doit permettre l’établissement d’un nouveau territoire au sein de l’Union soviétique, une fois la guerre remportée contre cette dernière. L’enlisement du conflit ne le permettra pas et comme les nazis voulaient règler le problème juifs en Europe, l'expulsion des juifs vers la Pologne continuera, aboutissant à la Solution finale.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_Madagascar


RAFLE DU VEL D'HIV ET COLLABORATION

Ce n'est absolument pas a France qui organisa cette rafle ! La rafle du Vel d'Hiv est demandée par Eichmann et organisée par Danneker et Oberg et elle a été préparée de longue date. Depuis la Conférence de Wannsee, en janvier 1942, Eichmann organise les convois de déportation dans toute l'Europe. Il sollicite les représentants nazis dans les territoires occupés pour exécuter des rafles et organiser des convois vers Auschwitz.

En France, c'est le SS Obersturmführer Danneker, le chef du service juif du SD en France occupée de fin 1940 à juillet 1942, qui est chargé d'organiser la rafle. Il est sous les ordres du général Oberg, chef des SS et de la police allemande en France. Eichmann est venu les voir à Paris et déclare : « Le rythme prévu jusqu'ici de trois transports hebdomadaires contenant chacun 1000 Juifs devra être intensifié rapidement, en vue de libérer totalement et le plus vite possible la France de ses Juifs. » (Compte-rendu rédigé par Eichmann, à l'issue de sa visite de 48 heures à Paris, 1er juillet 1942).


Main dans la main, un policier français et un SS

Pour cela, il négocie avec la police française qui accepte de collaborer et d'organiser seule la rafle. Les policiers Jean Leguay (délégué de la Police de Vichy en zone occupée) et René Bousquet (secrétaire général de la Police française) négocient avec Dannecker. Ils mettront la police française à la disposition des Allemands pour faire la rafle. Ainsi, le 10 juillet 1942, Dannecker télexe à Eichmann que la rafle sera conduite par la police française du 16 au 18 juillet et que l'on peut s'attendre à ce qu'il reste environ 4 000 enfants après les arrestations.

Des arrestations de juifs ont déjà été opérées, en 1941, à paris : l’opération cette fois-ci sera d’une tout autre ampleur et nécessitera une minutieuse préparation franco-allemande. René Bousquet, secrétaire général à la police, représente Pierre Laval aux réunions d’organisation avec les autorités allemandes. Également présents, de hauts responsables de la police parisienne, du ravitaillement et du commissariat aux questions juives. le 16 juin 1942, les partenaires se mettent d’accord : 22 000 juifs étrangers de 16 à 55 ans seront arrêtés par la police française dans la région parisienne et 10 000 en zone libre. Le 7 juillet, la date initiale du 13 juillet est repoussée aux 16 et 17 juillet pour éviter une concordance avec la fête nationale.




Les policiers, dès l'aube, frappent à la porte des appartements où on leur a dit d'arrêter les Juifs. Ils les conduisent ensuite vers des autobus. De là, ils sont emmenés au Vélodrome d'hiver. Heureusement, des fuites permettent à près de 9000 juifs d’échapper à cette arrestation.

Les documents déclassés prouvent que c'est l'occupant qui demande aux autorités de rafler les juifs, et cela dans toute l'Europe. C'est un mensonge de dire que la France a organisée la rafle du Vel d'Hiv, la police de Vichy n'est qu'un exécutant du pouvoir socialiste de l'époque et de Pierre Laval qui pensait être récompensé par les autorités d’occupation pour son oeuvre. Laval est mort fusillé le 15 octobre 1945.


Pierre Laval de la SFIO et le national socialiste et Adolf Hitler

Ces mensonges historiques ont pour but de cacher que chez les collaborateurs il y avait de nombreux communistes et surtout les socialistes, dont le traitre Laval qui se dépense sans compter pour obtenir des parlementaires réunis à Vichy qu'ils votent les pleins pouvoirs constitutionnels au vieux Maréchal Pétain le 10 juillet 1940. Dans l'ombre, nous trouvons aussi les loges maçoniques.

Laval quitte la SFIO (Section française de l'Internationale ouvrière), le parti socialiste de l'époque, et se fait réélire sous l'étiquette de socialiste indépendant en 1924, lors des élections qui voient la victoire du Cartel des Gauche. Le 10 juillet 1940 est soumise à l'Assemblée nationale (alors formée par la réunion de la Chambre des députés et du Sénat) une proposition de révision des lois constitutionnelles régissant la Troisième République, ayant pour objet d'attribuer les pleins pouvoirs constituants au maréchal Philippe Pétain, président du Conseil.


La France n'a pas organisée la rafle du Vel d'Hiv !

Au pouvoir avec les partis populistes ou fascistes, la SFIO est divisee en deux tendances, Juillet 1940 et le vote des pleins pouvoirs au Maréchal Pétain laisse la SFIO divisée entre ceux qui sont favorables au gouvernement de Vichy s'orientant vers la collaboration et ceux qui rejoignent les rangs de la Résistance, certains, comme André Philip, rejoignent la France libre à Londres.

Lorsque le Conseil national de la Résistance (CNR) est créé en 1943, la SFIO y est représentée en tant que telle, aux côtés de militants du PCF et de la droite gaulliste (autour des démocrates populaires centristes du PDP, parmi les nombreux démocrates chrétiens opposés à Vichy et depuis longtemps à la montée des fascismes en Europe).


Quand la gauche collaborait et que la droite résistait !

Le mentor de Laval était le socialiste et prix Nobel de la paix 1929 Aristide Briand, il lui légua son pacifisme dogmatique et son projet d’union fédérale européenne. Cela conduira Laval vers la collaboration avec le national-socialisme, première étape, selon lui, pour créer après la signature de la paix, cette « Europe des peuples » qui garantirait la paix sur tout le continent, un peu comme notre Europe actuelle, dont le drapeau zodiacal n'a strictement rien à envier au drapeau des nazis (la croix gammée représente les 4 saisons dans le Zodiaque).

Il y a eu des résistants de gauche et même des infiltrés dans le coeur du régime de Vichy, et cela bien avant l'invasion de la Russie et le retournement des forces communistes en France, mais ce n'était vraiment pas le cas de tous. Après la guerre, on a recyclé bon nombre de ces ordures, et pas qu'en France.




Le paradoxe français de Simon Epstein, historien français qui réside à Jérusalem, bouscule nombre d’idées reçues et de clichés sur les années 1920,1930 et 1940, qui pèsent fortement sur les grands débats de société contemporains. L’auteur pourfend la vision classique de la Résistance (supposée surtout de gauche) et démontre qu’elle trouve en grande partie ses origines dans la droite française, la droite républicaine mais aussi dans les mouvements nationalistes et démontre le parcours de nombreuses personnalités, plusieurs centaines, venues de la gauche, à travers la collaboration.

Epstein montre, au rebours de croyances largement répandues, comment une partie de la gauche antiraciste des années 1920 et 1930, mobilisée autour de la LICA (ancêtre de la LICRA), s’est massivement ralliée au pacifisme en 1938, avant de rejoindre le régime de Vichy ou les mouvements ultra collaborationnistes. A l’inverse, il souligne que la droite républicaine mais aussi les partis « nationaux » – Camelots du roi ou Jeunesse patriotes – ont joué un rôle décisif dans l’essor de la Résistance française à ses débuts.

C'est ainsi que dans les années 1920-1930, des socialistes ou communistes basculent du culte des bons sentiments humanistes à l’engagement ultra-collaborationniste, comme par exemple : Marc Augier (Mouvement des auberges de jeunesse), Jean-Marie Marcel Capron (maire d’Alforville, PC), Jean-Marie Clamamus (maire de Bobigny, PC), Paul Perrin (député SFIO de la Seine), André Grisoni (radical-socialiste, maire de Courbevoie), Maurice Levillain (président du Conseil général de la Seine, SFIO), Barthélémy Montagnon, Paul Rives (SFIO), René Château (député radical-socialiste, membre de la Ligue des droits de l’homme), Claude Jamet (proche des communistes et des socialistes), Camille Planche (SFIO), Léon Emery (Ligue des droits de l’homme, Comité de vigilance antifasciste), George Dumoulin (CGT, SFIO), Maurice Ivan Sicard (venu de l’extrême gauche antifasciste), Pierre Thurotte (SFIO), Pierre Bonardi (LICA), Adrien Marquet (ex-SFIO, maire de Bordeaux), etc.

L’auteur cite divers intellectuels et écrivains, connus pour leur engagement humaniste et antiraciste dans les années 1920-1930, qui se sont ralliés au régime de Vichy, par pacifisme, et ont soutenu, à des degré divers, le principe de collaboration : Georges Blondel, René Laforgue, Marcelle Capy, Jean Cocteau, Jean Giono, Maurice Rostand, Marcel Aymé, Pierre Benoit, Jacques de Lacretelle, Marcel Jouhandeau, André Thérive, etc..

Les journalistes sont nombreux à avoir ainsi basculé de la défense des bons sentiments humanitaires et antiracistes à un soutien inconditionnel du régime du maréchal Pétain : Emile Roche et Pierre Dominique (La République ), Robert de Beauplan, Stéphane Lauzanne (rédacteur en chef du Matin), Léon Bailby (Le Jour), Alain Laubreaux (L’Oeuvre, journal de gauche avant l’occupation). Certains vont même prendre des positions pro-allemandes : Pierre-Antoine Cousteau (rédacteur en chef de Paris-Soir), Jean Luchaire (patron des Nouveaux Temps), homme de gauche dans les années 1920 et 1930, devenu hitlérien après l’occupation.


LA CONVERSION DU MOLOCH

L’HOLOCAUSTE est le sacrifice par le feu d’un animal après immolation. Pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chthoniens, il l'est aussi dans la tradition israélite. Utilisé dès le XIXe siècle dans les langues française et anglaise pour désigner le meurtre à grande échelle d’un groupe social ou ethnique, il devient l'un des termes employés après la Seconde Guerre mondiale pour tenter de caractériser le massacre systématique et ciblé des Juifs par l’Allemagne nazie, le mot « génocide » n’ayant pas encore été inventé et celui de SHOAH n’étant pas encore accepté.




Cependant, pour la tradition juive, un HOLOCAUSTE est un sacrifice offert à Dieu pour lui être agréable avec de la chair animale brûlée et fait uniquement sur l’autel du Temple de Jérusalem construit en l’an 70. Depuis, on évoque un HOLOCAUSTE à chaque fois qu'on va sacrifier une population pour une autre, ou remplacer un système par un autre.

On ne sait pas exactement qui inspira Hitler et ses amis, mais l'organisation de l'HOLOCAUSTE est calquée exactement sur le culte de BAAL (EL ou AL) le Dieu sémitique de Canan, il serait aussi le nom d'ALLAH et de plusieurs entités de mésopotamie en relation avec le ciel, c'est YAVE aka ZEUS. Il est fortement possible que le HEIL hitlérien est un salut à JUPITER et que le nom HITLER a été un pseudonyme en relation avec l'astre représenatnt Dieu.

Voir : Religion de Canan


LA MORALE JUIVE

On sait que les Nazis étaient des détraqués sexuels (pédophilies, rituels sataniques, etc.) et qu'ils voulaient se venger de la morale bourgeoise de l'époque qui interdisait cela, dont l'homosexualité. Les peuples ayant précédé Israël semblent avoir pratiqué la prostitution féminine et masculine rituelle au service de Baal ou Ba'al (Bel). Mais après la rédaction des lois juives ce n'est plus le cas.

La loi juive, s’appuyant sur les versets du Lévitique (18, 22 et 20, 13), considère les rapports sexuels entre hommes comme une abomination. Elle condamne les pratiques homosexuelles. Les différents courants du judaïsme contemporain interprètent cette loi avec plus ou moins de souplesse : condamnation sans appel pour les orthodoxes, acceptation de bénir les unions de même sexe et d’ordonner des rabbins dont l’homosexualité est publiquement connue pour le judaïsme libéral américain.

Entre ces deux extrêmes, le mouvement conservative ou massorti est en débat. La condamnation des pratiques homosexuelles est constante dans les courants du judaïsme religieux, à l’exception d’une fraction du mouvement libéral, lui-même très minoritaire.


LA THESE DU COMPLOT

La seconde guerre mondiale serait organisée dans un plan afin de préparer le Nouvel ordre Mondial. Selon les révisionnistes, les victimes des camps l'ont surtout été par maladies et manque de nourriture engendré par les bombardements massif par les alliés des voies d'approvisionnement des camps. Ils ne nient pas que les juifs ont souffert des plus grandes souffrances mais s'opposent farouchement à toute idée d'extermination par chambre à gaz.

La dernière guerre mondiale et son histoire comporte de nombreuses zones d'ombre avec des manipulations que nous ne pouvons pas expliquer ni essayer de comprendre. En France la Loi Gayssot interdit de remettre en cause la thèse officiel, même à titre informatif et même si elle est neutre et sans prise de position sur le sujet, c'est à dire que l'histoire de cette période est figée et que les historiens ne peuvent plus travailler sur l'histoire.

Cette guerre idéologique perdure pour la création d'une nouvelle MATRICE qui devait être en place pour l'âge du VERSEAU et donc pour le Nouvel Ordre Mondial, ce serait la raison de l'obscurantisme et de la censure, nous sommes dans un plan de Dieu dont la construction et la fin remonte à plus de 2000 ans !

Voir : Âge du Verseau

Le conflit mondial est une guerre idéologique et de RELIGION, elle se base sur des anciennes croyances, comme le prouve l'occultisme des Nazis. Personne n'évoque un conplot islamique, on parlera toujours des Juifs, pourtant les sémites sont aussi des islamistes, les sémites ne sont pas un peuple ni une race, mais les habitants du croissant fertile.

De nombreuses loges sont aussi islamistes, SULTAN est un titre de maçon comme REX ou IMPERATOR des avatars de SATAN, etc.. Tout dépend donc de la loge. Beaucoup de dignitaires Nazis étaient des maçons, dont HITLER. Les sociétés THULLE ou VRIL sont des sociétés occultes.

Avant dêtre un holocauste, la concentration des juifs dans les camps est organisée comme un système avec des gardiens de prisons (capo) et des travailleurs, les abeilles de notre système dans la joie du travail. Il est clair que c'est une humiliation contre les juifs et leur croyances dans le Dieu de l'argent MAMMON (argent roi). Cela a aussi été un facteur de purification de l'Allemagne désormais dans le groupe atlantiste de l'OTAN.

Ce plan serait donc une vengeance occulte dont le but était de détruire les KHAZARS Turco-mongoles (à l'origine des musulmans) après un holocauste occulté de Russie sur les populations Chétiennes et une tentative de prise de pouvoir en Russie, cela en accord avec des agences juives, c'est le plan de CHAOS de Pike, un juif et Templier américain.

Tout semble donc être un plan de conversion du judaïsme afin de créer l'état d'Israel sous contrôle des
KHAZARS qui ne sont absolument pas des Hébreux (vsémites) de la région, très minoritaires dans le nouveau pays. Cette colonie est une base avancée pour la préparation de la dernière guerre en Orient.


HAAVARA LE PACT GERMANO-SIONISTE

L'accord Haavara, Heskem Haavara, littéralement « accord de transfert » est un accord signé le 25 août 1933 après trois mois de négociations entre la Fédération sioniste d'Allemagne, la Banque anglo-palestinienne (sous les ordres de l'Agence juive, une agence exécutive officielle en terre palestinienne) et les autorités économiques du régime de l'Allemagne nazie.

L'accord a été conçu pour faciliter l'émigration des Juifs allemands vers la Palestine. Aidant les Juifs à émigrer, il les force à abandonner la plupart de leurs possessions à l'État allemand avant le départ. Ces actifs, selon l'accord, pouvaient être obtenus plus tard, en les transférant en Palestine comme biens d'exportation allemands. Les accords fonctionneront jusqu'en 1942.

Hanotea, une société sioniste de plantation d'agrumes, fit la demande en mai 1933 de pouvoir de transferer de capitaux en provenance d'Allemagne vers la Palestine. Hanotea, faisant partie du mouvement sioniste, servit ainsi à aider l'immigration des juifs allemands en Palestine. Dans un accord concocté avec le gouvernement allemand, Hanotea devait prendre l'argent des immigrants potentiels, et utiliser cet argent ensuite pour acheter des marchandises allemandes.

Ces biens, en même temps que les immigrés, étaient alors livrés à la Palestine. En Palestine, des importateurs devaient alors acheter les biens des immigrés, afin de liquider leurs investissements. Cet arrangement fonctionna avec succès et a ainsi ouvert la voie à l'Accord Haavara. A la base de l'Accord Hanotea était un sioniste polonais, Sam Cohen. Celui-ci représenta les intérêts sionistes dans la négociation directe avec l'Etat allemand à partir de mars 1933.

Après l'invasion de la Pologne et le commencement de la Seconde Guerre mondiale au début de septembre 1939, la poursuite pratique de l'accord Haavara devint impossible. En 1940, des représentants de l'underground du groupe sioniste Léhi a rencontré von Hentig afin de proposer directement une coopération militaire avec les nazis pour la poursuite du transfert des Juifs d'Europe vers la Palestine. Cette proposition, toutefois, n'a pas produit de résultats. Sur 500 000 Juifs Allemands et 200 000 Juifs Autrichiens : seulement 50 000 émigrent en Palestine conformément à cet accord.

Selon le juif Josef Ginsburg, qui lui-même est le fils d’un rabbin orthodoxe. Les Gentils et les Juifs sages connaissent le " serment juif " ou " prière Kol Nidre ", que tous les Juifs pieux disent chaque année pour les absoudre de dire la vérité dans l’année à venir. Mais selon lui, il y a un moyen de faire dire à un Juif religieux la vérité : " Tout d’abord, tous les symboles chrétiens doivent être effacés de la pièce. Ensuite, une bible hébraïque et un rabbin doivent être présents. Le Juif doit revêtir une kippa et prêter un serment rabbinique qui supprime le serment anti-serment Kol Nidre. " Après cette procédure, Josef Ginsburg a affirmé que » 99,5% de toutes les histoires sur l’holocauste deviennent silence de vérité.

Source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_Haavara
Jean-Claude Valla, Le Pacte germano-sioniste, La Librairie nationale, 2001
Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l'argent, Éditions Fayard, p.607
Eliahu Ben Elissar, La Diplomatie du IIIe Reich et les Juifs 1933-1939, Julliard, 1969


DEPORTATIONS DES HOMOSEXUELS

Une manipulation du lobby gay

En 2011, une vidéo diffusée sur internet par le député du Nord Christian Vanneste (UMP) qui a qualifié de "légende" la déportation d'homosexuels en France durant la Seconde Guerre mondiale, change la thèse officiel malgrès la Loi Gayssot qui interdit de remettre en question l'histoire de la Shoa !

Christian Vanneste s'est exprimé dans une vidéo diffusée sur internet en plein débat sur le mariage homosexuel. Interrogé au sujet de sondages, le député du Nord répond que ce résultat est le fruit d'un " bourrage de crânes " dû au fait que les homosexuels sont surreprésentés dans le monde médiatique, ce qui leur permet de faire progresser leurs idées avec un "art consommé de la déformation systématique des faits".

Qualifiant l'homosexualité de " refus de l'autre ", Christian Vanneste cite à titre d'exemple la fameuse légende de la déportation des homosexuels. "En Allemagne, il y a eu une répression des homosexuels et la déportation qui a conduit à peu près à 30.000 déportés. Et il n'y en a pas eu ailleurs (...) Il n'y a pas eu de déportation homosexuelle en France", dit-il.

Des chiffres et des affirmations qui vont à l'encontre de toutes les études faites sur le sujet. Selon les chiffres officiels, parus dans une étude (PDF) menée par Arnaud Boulligny pour la Fondation pour la mémoire de la déportation (FMD), soixante-trois Français ont été arrêtés pour motif d'homosexualité. Un chiffre repris par Mickaël Bertrand, dans son ouvrage paru en 2011, La déportation pour motif d'homosexualité en France. "Ce sont des chiffres non exhaustifs, les études sont en cours", précise-t-on toutefois à la FMD.

Alors que les militants gay tentent d'obtenir une reconnaissance officielle des triangles roses par les autorités françaises, il est plus qu'utile de procéder à une mise au point sur les faits historiques en rappelant notamment qu'à l'exception des territoires annexés par l'Allemagne (Alsace-Lorraine) il n'y a pas eu de déportation homosexuelle en France.

On voit ainsi se développer un phénomène malsain de concurrence des victimes visant à disputer aux juifs l’héritage historique de l’extermination nazie dans le but de s’attribuer une part de la « dette imprescriptible de la France à l’égard des juifs » évoquée récemment par l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin. Comme le rappelait récemment l’historien Pierre Vidal-Naquet, « dire que Vichy a déporté les homosexuels n’est peut-être pas du révisionnisme, mais c’est un mensonge.».

Source :
http://rivarol.over-blog.com/article-vichy-et-les-homosexuels-99375034.html
http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/02/15/deportation-d-homosexuels-les-propos-de-m-vanneste-contredits-par-plusieurs-etudes_1643786_1471069.html



Impossible d'aller plus loin avec la Shoa car c'est vraiment un sujet hyper sensible avec beaucoup de
désinformations. La Shoa est figée dans l'histoire par la Loi Gayssot du 13 juillet 1990.


HOLOCAUSTE DES CHRETIENS DE RUSSIE

Un holocauste occulté en Russie

Les chrétiens de l'URSS (Orthodoxes, Catholiques, Protestants, Uniates, etc.) sont liquidés en 15 ans (1922-1937) en plus des assassinats ciblés qui commencèrent dès le coup d'état d'octobre 1917 et d'une vague de persécution contre l'Eglise orthodoxée demandée par Lénine en 1922.

Tout a commencé par un plan tenu secret pendant 70 ans, celui de Lénine transmis le 19 mars 1922 aux membres du Politbureau dont voici un extrait: "Maintenant et seulement maintenant, alors que le peuple souffre de la famine, qu'il y a des centaines, si ce n'est des milliers de cadavres dans les rues, nous pouvons (et par conséquent devons) poursuivre notre accaparement des propriétés de l'Eglise avec toute la dureté, et sans hésiter à écraser la moindre opposition."

Dans ce document de plusieurs pages rendus accessibles en 1992, Lénine reconnaît que la famine est due à sa propre politique, puisqu'en 1922, la guerre civile est finie depuis de nombreux mois et que pour s'en sortir, il doit continuer à voler les biens de l'Eglise, après avoir pris ceux de la noblesse et de la bourgeoisie. Quand il n'y aura plus rien à voler, il faudra agrandir sans cesse le goulag pour exploiter le travail gratuit de millions de victimes. Ainsi s'accomplit l'objectif de Marx d'abolir le salariat, ce qui revient à faire des ouvriers, des esclaves tout en leur promettant le paradis !

En ce qui concerne l'Eglise orthodoxe, l'opération déclenchée par Lénine avec l'Armée rouge et la GPU pour accaparer ses biens entraîne la mort de 600 évêques, de dizaines de milliers de prêtres ou de moines et des centaines de milliers de laïcs. Plus de 60'000 églises, couvents et autres biens ecclésiastiques sont pillés, incendiés, démolis ou transformés en dépôt, écurie, etc. Le célèbre couvent des Solovki devient un grand camp de concentration, et incidemment le symbole du nouveau régime: un lieu de compassion devient celui de la haine.

Les exactions contre les catholiques et les protestants suivront vers 1935 et feront, en tout plusieurs millions de victimes chrétiennes. A partir de la collectivisation forcée commençée en 1928, les nombreuses victimes seront désormais cataloguées comme koulak, même s'il s'agit de chrétiens. Le génocide contre les Chrétiens est dissimulé sous un génocide de classe, la liquidation d'individus sous le simple effet de leur appartenance à une classe sociale.

Durant les années 1930, la liquidation des Chrétiens se poursuit, mélangée à d'autres opérations secrètes éliminant ceux qui ne se conforment pas au moule de l'«homme nouveau soviétique". Pourtant des protestants tentèrent, en vain, d'appeler à l'aide gouvernements et la Société des Nations.

Parmi les principaux bourreaux, Lazare Kanagovitch, bras droit de Staline, commencera le génocide des chrétiens qui sera achevé en 1937 par Genrikh Iagoda, chef du NKVD, tous deux juifs. Quand aux exactions contre les juifs, elles ne commenceront que vers l950.

Personne ne dénonce ce génocide des chrétiens, dès le milieu des années 20, le Joint et d'autres organisations juives commencent des tractations avec l'URSS dans le but de créer un état juif. Prévu d'abord en Crimée, il sera ultérieurement créé dans le Birobidjan (extrême orient). Il y a un silence de mort sur cette période de l'histoire !

L'évaluation des victimes s'avère d'autant plus difficile que les liquidations des chrétiens se mêlent à celles des Socialistes-révolutionnaires, puis des " saboteurs ", ensuite des trotzkistes, précédant celles des soi-disant agents de l'impéralisme américain, des fascistes, des titistes, puis de nouveau des agents de l'impéralisme américain, etc..La répression religieuse était également nécessaire car elle faisait ombre au culte de la personnalité qui devait diviniser Lénine, puis Staline.

Malgré tout, les exécutions, les fusillades, les morts en déportation, les morts par les famines provoquée par le régime aboutissent à un chiffre compris entre 10 et 15 millions, malheureusement plus proche des 15 millions, ce macabre bilan est pour les seules années 1930: collectivisation 1929-30, la grande famine de 1932-33 et la grande terreur de 1937-38, sans compter la répression habituelle.

La répression religieuse était également nécessaire car elle faisait ombre au culte de la personnalité. qui devait diviniser Lénine, puis Staline. Il ne faudrait pas oublier que musulmans, bouddhistes et chamanistes furent également liquidés. Toute opposition à la dictature du PCUS, réelle ou virtuelle, était étouffée dans l'oeuf. C'est la liquidation prônée par le Manifeste communiste de 1848, le sommet de la haine sociale pour construire un monde qui s'avèrera inhumain.

Source
http://www.fonjallaz.net/Film-Amen/Pages_Amen/APage14.html
http://www.kweeper.com/danch666/sentence/77027


GENOCIDE ASSYRIEN

En 2007, l'Association internationale des spécialistes des génocides (International Association of Genocide Scholars) est parvenu à un consensus selon lequel « la campagne ottomane contre les minorités chrétiennes de l'Empire entre 1914 et 1923 constituait un génocide contre les Arméniens, les Assyriens et les Grecs pontiques d'Anatolie.

Les estimations sur le nombre total de morts varient. Certains rapports citent le nombre de 270 000 morts2, bien que les estimations récentes aient révisé ce chiffre au nombre plus réaliste de 500 000 à 750 000 morts représentant environ 70 % de la population assyrienne de l'époque.


COMPLOT CONTRE LA POLOGNE

Détruire la Pologne

Le conflit mondial est une guerre idéologique et de RELIGION, elle se base sur des anciennes croyances, comme le prouve l'occultisme des Nazis. Personne n'évoque un conplot islamique, on parlera toujours des Juifs. Pourtant les sémites sont aussi des islamistes, les sémites ne sont pas un peuple mais les habitants du croissant fertile.

De nombreuses loges sont aussi islamistes, SULTAN est un titre maçon comme REX ou IMPERATOR. Voltaire était en adoration avec l'islam, car cette religion est parfaite pour l'esclavage de masse. Hitler était dingue de ALDEBARAN (constellation du TAUREAU), qui est un symbole illuministe de l'Orient.

Cette théorie pourrait expliquer l'acharnement contre la POLOGNE, puisque c'est avec l'aide de l'armée polonaise que la bataille de Vienne du 12 septembre 1683, mit fin au second siège de Vienne par les Turcs. Cette défaite décisive des Ottomans fut le point de départ d'une campagne militaire de 16 ans qui devait permettre aux Habsbourg de reprendre les territoires de Hongrie-Croatie et de mettre fin à la menace ottomane en Europe centrale.

Parti en mars, le roi de Pologne a investi la ville le 14 juillet. L'hiver précédent, les pouvoirs autrichiens et polonais avaient conclu un traité d'assistance mutuelle en cas d'attaque ottomane. Le roi polonais honora ses obligations à la lettre. À 4 h du matin du 12 septembre, l'armée autrichienne à l'aile gauche, l'allemande au centre, avancent sur l'ennemi. Le Grand Vizir Kara Mustafa lance alors une contre-attaque avec le gros de ses troupes. L'infanterie polonaise contre-attaque à l'aile droite et, après douze heures de combat, se rend maître du terrain. Ce fut le point de départ d'une « guerre de libération ».

Le père Isakowicz-Zaleski, historien et ancien opposant au régime communiste, se bat depuis des années pour faire reconnaître le caractère génocidaire des massacres commis par la résistance nationaliste ukrainienne, l’UPA, à l’encontre des Polonais de Volhynie et de Galicie occidentale (l’Ukraine occidentale actuelle) dans les années 1943-45. En Pologne, le génocide est avant toute chose présenté comme étant un génocide du peuple et des chrétiens de Pologne.

Cet épisode passé sous silence par l’historiographie soviétique est généralement méconnu des Ukrainiens d’aujourd’hui. L’Institut de la Mémoire nationale (IPN) polonais considère le massacre du village de Parosla Pierwsza comme le premier d’une longue série de massacres organisée et planifiée à caractère génocidaire. De nombreux villages ont été "nettoyés" de leurs habitants polonais.

Le défunt président polonais Lech Kaczynski disait que la République Populaire de Pologne avait été bâtie sur le mensonge de KATYN et qu’il fallait bâtir la Pologne démocratique sur la vérité. Le mensonge communiste s’est effondré dans cette partie du monde avec la chute du Mur de Berlin en 1989-90, mais beaucoup reste à faire dans la région pour renouer avec une vérité masquée pendant près de cinquante ans.

Churchill s'opposa à toute enquête concernant le génocide de KATYN. Durant les quelques années qui suivirent la fin de la guerre, le gouvernement américain mena une large enquête dont le rapport final, publié en 1952, en pleine guerre froide, conclut à la culpabilité des Soviétiques. Mais à aucun moment le rapport ne mentionne le message codé, envoyé par Stewart et Van Vliet. Celui-ci constitue une des preuves écrites les plus évidentes que Washington avait pleinement conscience de la vraie nature du stalinisme, et ce depuis longtemps, souligne Allen Paul, chercheur expert sur le massacre de Katyn.

D'autres preuves cruciales sont désormais consultables dans les archives américaines. Depuis, Moscou publie également des informations secrètes au compte-gouttes. Mais certains documents, dont ceux relatifs à une nouvelle enquête menée en Russie dans les années 1990, sont encore inaccessibles, au grand dam des activistes des droits de l'homme qui demandent une totale transparence.


COMPLOT DES KHAZARS

Les Mongoles Talmudiques en Europe et la Tribu Numero 13 des Elohims cosmiques

II y a environ mille ans, un État Khazar disparaissait de la scène historique. Au premier siècle AV JC, les Khazars, partis de leur de l'Asie, ont envahi l’Europe orientale. La surface du royaume au Xe siècle était encore bien plus grand que celle d’aucune autre nation. Les Khazars n’étaient pas des « Sémites ». Mais une nation Asiatique, de type mongoloïde.

Les Khazars étaient des païens, lorsqu’ils envahirent l’Europe orientale. Leur pratique religieuse était un mélange du culte phallique, et d’autres formes de cultes idolâtriques maintenus en Khazarie jusqu’au VIIe siècle. Les excès sexuels que pratiquaient les Khazars pour « célébrer » leurs cultes religieux les amenèrent à un degré de dégénérescence morale que leur roi ne pouvait plus tolérer.

Au VIIe siècle, le roi Bulan décida d’abolir la pratique du culte phallique, ainsi que celle des autres cultes idolâtriques, et choisit le culte religieux connu à l’époque sous le nom de « talmudisme » comme future religion d’état, aujourd’hui connu et pratiqué sous le nom de « judaïsme ». Cet événement est attesté par de nombreux documents. L’idéologie du Talmud devint la source de toutes les attitudes politiques, culturelles, économiques et sociales, d’un bout à l’autre du royaume Khazar.

Les Russes Varègues prirent la ville de Kiev et s’y installèrent jusqu’à ce qu’ils aient achevé la conquête de tout le royaume Khazar. Les Russes avaient conquis tout le territoire occupé par les Khazars. Un grand nombre de membres de la famille royale émigrèrent en Espagne et certains fuirent en Hongrie, mais toute la masse du peuple demeura sur sa terre natale.

Dans l'introduction de son ouvrage " L'Étrange Défaite " écrit en 1940, l'historien français Marc Bloch avait déjà affirmé que les Juifs avaient des origines « méditerranéennes, turco-khazars et slaves ». En 1954, le chercheur britannique Douglas Morton Dunlop publia une Histoire des Juifs khazars qui développait l'idée d'une connexion khazare, mais qu'il présentait, faute de preuves directes, comme une simple hypothèse.

C'est le livre d'Arthur Koestler, La Treizième Tribu, en 1976, qui a popularisé auprès du grand public l'idée selon laquelle les Ashkénazes descendraient des Khazars. Cette thèse a été repoussée par certains historiens. La théorie a connu un regain d'intérêt avec la publication du livre Comment le peuple juif fut inventé de l'historien israélien Shlomo Sand qui reprend les idées de Koestler pour étayer sa thèse selon laquelle la diaspora juive serait le fruit de conversions successives. Un autre historien français, Marc Ferro, reprend l'idée d'une origine khazare et la présente comme l'un des « tabous de l'histoire ».

En 2011, l'historien Moshe Gil, spécialiste des interactions entre juifs et musulmans, publie une étude détaillée de l'ensemble des sources primaires arabes évoquant, ou non, une conversion des Khazars au judaïsme ; toutes les traditions sur le sujet découlent de ces sources, les premières et principales à parler des Khazars : aussi ce corpus séminal revêt-il une importance particulière. Selon Moshe Gil, il n'est pas possible de fonder sur ces sources la conversion des Khazars au judaïsme.

Source : Wikipedia



ALBERT EINSTEIN LE CERVEAU

Einstein admet que les Israéliens « doivent se battre pour leurs droits ». Parce qu’il prône le désarmement, il est aux États-Unis la cible des maccarthystes, comme il était en Allemagne la cible des nazis. Il en vient donc à considérer Israël comme sa patrie. Mais en 1952 il refuse la proposition de David Ben Gourion, qui voulait faire de lui le nouveau président de l’État d’Israël : « Si j’avais été président il m’aurait fallu dire parfois au peuple israélien des choses qu’il n’a pas enve d’entendre ».

En fin de compte, l’erreur d’Einstein aura été de ne pas analyser le problème en terme de classes. Si la bourgeoisie juive allemande méprisait les Juifs de l’Est, ce n’est pas parce qu’elle avait perdu sa « conscience juive » mais parce qu’elle trouvait son intérêt dans l’exploitation de ce sous-prolétariat.

La bourgeoisie juive divisait les travailleurs entre Allemands et étrangers pour mieux régner. Une autre erreur aura été de faire des concessions à l’antisémitisme. Après la Shoah, beaucoup de Juifs ont commis les mêmes erreurs, et c’est bien compréhensible. Aujourd’hui encore, la montée de l’antisémitisme dans le monde provoque un nouvel afflux de Juifs vers Israël, où ils remplissent les colonies, toujours à cause de ces erreurs. Des erreurs tragiques que les Palestiniens et même les Israéliens n’ont pas fini de payer.

Il y a donc bien une guerre entre les Juifs du haut et les Juifs du bas, ils ne pratiquent pas le même Judaïsme et il y a donc deux babylones, les juifs de l'origine avec toute la gnose qui ne colle pas avec le Nouveau Monde et les Juifs / Israelien qui ne sont qu'une forme de Franc-Maçons hédonistes pratiquant le culte du sexe et de l'argent, puisqu'ils n'ont plus de Dieu !


Les Bouquetins et l'Edelweiss à l'entrée du Kehlseteinhaus dans les Alpes


SOURCES ET LIENS 

Hitler médium de Satan






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