NAZI ET HOMOSEXUALITE
Imbrications historiques et retour du refoulé

CULTE DE ZEUS AU COEUR DU REICH

LA THESE

La thèse du contrôle de l'organisation nazie par des homosexuels est un mythe répandu et durable selon lequel ceux-ci étaient nombreux, occupaient des positions importantes et formaient un réseau essentiel au sein du parti nazinote. Les historiens considèrent le mythe comme n'ayant aucun fondement.


HITLER ET MUHAMAD

Mein Kampf est le livre qui, répandu en Allemagne à plus d'un million d'exemplaires, a eu sur l'orientation soudaine de tout un peuple une influence telle, qu'il faut, pour en trouver l'analogie, remonter au Coran. La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée.




La raison de cette amour pour l'islam est simple, c'est la religion parfaite pour dominer un peuple tout en gardant les secrets pour l'élite homosexuel et pédophile. La vénération et la soumission à un maître (Allah avatar de Zeus) est donc à la base du REICH des NAZIS. Il est possible que le HAIT des NAZIS a été un hommage au SOLEIL NOIR et lié à l'ancien culte d'ATON (culte solaire de la journée) qui donnera le concept de ZEUS plus tard.

Cette religion est aussi est aussi très pratique et séduisante pour un soldat, les arabo-musulmans conditionnés dès la naissance à l’asservissement n’ont de respect que pour leurs maîtres qui les guident le fouet à la main. Malgré la coopération et l'association de certains Arabes avec les nazis, Adolf Hitler les considérait comme une race inférieure mais l'islam est le nazisme sont des soeurs qui se tiennent par la main au dessus de 14 siècles.

Le système des nazis copie celui des Jésuites et des mafias, il s'inspire aussi des religions avec ZEUS dans son nid d'aigle, le maître du zodiaque. Voilà pourquoi nous trouvons un aigle au-dessus d'un cercle dans l'occultisme nazi, la croix gammée n'est autre que la rotation des ourses autour de l'axe polaire, au centre du cercle. Comme l'Empereur gay Constantin à son époque, les nazis chassent les homosexuels du peuple pour faire perdurer une race avec des hommes et des femmes, par contre dans son élite dirigeante nous trouvons beaucoup d'homosexuels chez les nazis.


HITLER ET LA PEDALE PAS TRES DOUCE

LE DONJON MASTER DU REICH

Thierry Meyssan analyse une certaine conception nazie de l’homosexualité. La deuxième partie de cet article révèle les complicités qui ont permis, depuis des années, aux représentants en France de l’extrême droite pédophile d’échapper aux poursuites judiciaires.

Source : Voltairenet.org

Une mythologie naïve présente les nazis et les gays comme des ennemis irréductibles et assure que le IIIe Reich tenta d’éliminer l’homosexualité. Pourtant, même sans connaissances particulières, chacun devine que la réalité est plus complexe. Il suffit d’observer l’art nazi pour en percevoir la dimension homosexuelle et en ressentir un trouble.

Cette réalité peut se limiter à une fascination esthétique comme celle de Jean Cocteau recevant en grande pompe Arno Brecker dans la France occupée. Dans un aspect moins connu, car aujourd’hui profondément refoulé, on peut aussi discerner des liens essentiels entre l’idéologie nationale-socialiste et une conception particulière de l’homosexualité. Les crimes du IIIe Reich à l’encontre de certains homosexuels apparaissent alors comme une lutte meurtrière au sein de la minorité gay divisée en conceptions du monde et de la sexualité antagonistes.




Le parti nazi, le NSDAP, n’était à l’origine qu’un groupe gay d’extrême droite se réunissant dans une taverne de Münich autour d’Ernst Röhm. Adolf Hitler, dont l’activité sexuelle reste énigmatique mais qui était probablement bisexuel, semble avoir été le premier non-gay à y adhérer. Au commencement de son engagement politique, Hitler prononce des éloges de l’homosexualité comme contestation païenne de la morale bourgeoise. Ainsi, en 1932, il décrit la SA comme " une communauté virile à but politique, une association de guerriers sauvages ".

Le revirement de son discours n’intervient que tardivement lorsque, sommé par l’aristocratie militaire, il est contraint de choisir la SS contre les SA. Il justifie même l’assassinat d’Ernst Röhm et de ses camarades, lors de " la nuit des longs couteaux ", par une condamnation véhémente de l’homosexualité qu’il présente dès lors comme une tare de dégénérescence. Néanmoins les gays restent nombreux dans l’appareil nazi et les références visuelles à l’homosexualité perdurent tout au long du IIIe Reich.

Ces contradictions ne sont pas compréhensibles tant que l’on considère la minorité gay comme une communauté homogène. À partir de l’année 1896, les homosexuels allemands s’organisent progressivement en deux pôles associatifs. Le premier, constitué autour d’Adolf Brand, est exclusivement masculin et clairement pédophile, c’est la " Gemeinschaft der Eigenen ". Il fait l’apologie de " la beauté et de la pureté de la race ", de l’élitisme et des confréries guerrières, et pratique le " outing " de personnalités. C’est lui qui publie les photographies de Wilhelm von Gloeden et les peintures de Fidus. Un second pôle, mixte celui-là, se constitue autour de Magnus Hirschfeld, c’est le " Wissenchaftlichhumanitäres Komitee ".

Sans remettre en cause les fonctions sociales des deux sexes, il présente " l’uranisme " non comme une pathologie mais comme un troisième sexe. Par voie de pétition, il réclame la dépénalisation et l’égalité en droits, au nom des principes humanistes de la philosophie des Lumières. Pendant la République de Weimar, la loi bismarckienne pénalisant l’homosexualité est peu appliquée et Berlin devient une " capitale de la nuit " où fleurissent les boîtes homosexuelles. Brand et Hirschfeld tentent plusieurs fois, en vain, de s’allier pour créer une fédération gay. En définitive, Brand lance une grande campagne contre Hirschfeld qu’il accuse d’être traître aux intérêts des homosexuels.

Il dénonce le " comité du Juif Hirschfeld " qui promeut " le féminisme " pour affaiblir " l’Éros germanique ". De son côté Hirschfeld dénonce la présence de chefs nazis dans l’association de Brand et appelle les gays à défendre la démocratie contre le
NSDAP. En réponse, Brand souligne le soutien apporté en 1931 par Hitler à Röhm, accusé de pédérastie par la presse social-démocrate, pour dénoncer les " amalgames " d’Hirschfeld et affirmer la place des gays dans le parti d’extrême droite.

Hitler a vécu dans des maisons de chambres et des hôtels connus pour accueillir des homos et notamment à l’Hôtel Mannheim, fréquenté par des homosexuels juifs bourgeois. Hitler était fiché à la police de Vienne comme un « pervers sexuel » et comme un individu qui s’adonnait à des « pratiques homosexuelles ». Son dossier militaire de la Première Guerre mondiale l’identifiait comme « pédéraste ». C’est ce qui expliquerait que, malgré sa bravoure et ses capacités de chef, il ne dépassa jamais le grade de caporal.

Hitler considérait comme une de ses possessions les plus précieuses une lettre d’amour manuscrite de Louis II de Bavière à son valet. Si on est certain qu’il aimait les adolescentes, on attribue généralement à Adolf Hitler des liaisons avec trois hommes : Ernst Röhm, Rudolf Hess, son secrétaire particulier, et Albert Forster, le gauleiter de Danzig que Hitler appelait affectueusement « Bubi », un sobriquet que les homosexuels allemands de l’époque réservaient à leur amant. Le chef des SA Ernst Röhm aurait d’ailleurs voulu faire chanter le Führer, ce qui expliquerait son assassinat et le massacre de tout l’état-major homosexuel des SA lors de la « Nuit des longs couteaux » en 1934.


HOMOSEXUALITE ET LES NAZIS

Ce n’est qu’à partir de 1937 que l’État allemand s’engage avec vigueur dans une campagne antihomosexuelle, mais pas pour tous. En 1933, les S.A. comptaient plus de 2 millions de membres et des pratiques homosexuelles qui se déroulaient ouvertement, voire étaient encouragées. Malgré la décapitation des S.A. en 1934, les pratiques homosexuelles se prolongèrent chez les S.S., notamment dans la Waffen SS. Himmler vit d’ailleurs son neveu et le frère de son propre adjudant, tous deux SS, poussés au suicide pour lesdites raisons. La contre-attaque fut donc féroce, mais son succès apparemment mitigé au sein de la Waffen-SS.

Le Wandervogel, mouvement de jeunesse berlinoise apparu à la fin du XIXe siècle. Karl Fischer et Hans Blüher en furent théoriciens et animateurs. Ce scoutisme prônait, bien avant 1968, une révolution spontanéiste : aucun clan structuré, mais des bandes qui se font et défont en errant à leur guise sans règlement ni maître à penser et, surtout, loin des autorités et des valeurs chrétiennes – celles des parents et des personnes âgées qui sont conspués. Leur manière de saluer allait faire florès : le bras tendu levé.

Les Freikorps, milices paramilitaires de contrôle et de répression. L’un des chefs les plus en vue était Gerhard Rossbach. Cet homosexuel dominant, pervers et violent, imita le costume des faisceaux italiens et instaura le port de chemises brunes comme signe distinctif de sa troupe. Son adjudant, Edmund Heines, excellait dans l’organisation d’orgie avec de jeunes garçons. Un de ses frères spirituels, Ernst Roehm, allait faire carrière grâce au soutien apporté à Aldof Hitler dans le Parti Travailleur Allemand (Deutsche Arbeiterpartei) dont ce dernier devint le chef en 1921. Hitler – qui était entouré de plusieurs homosexuels depuis sa période viennoise – rebaptisa le mouvement en Parti ouvrier allemand national et socialiste et sa sécurité fut dévolue à Roehm.

Les Hitler Jugend réunissaient des jeunes de six à dix-huit ans, voire vingt-et-un, autour de la pédagogie de Mein Kampf fondée sur l’endurcissement physique. Dirigé par Baldur von Schirach (que certains affirment bisexuel(6), dans un décorum esthétisant et à la cruauté tolérée : un système de domination-assujettissement fonctionnait avec la promesse « sang et honneur » et la perspective de monter en grade ; le tout dans une atmosphère que traduit bien le Carmina Burana de Carl Orff.

Bryan Fischer, directeur de l’analyse des enjeux au sein de l’American Family Association le clamait dans le vide ou sous les moqueries des organisations gays. Le parti national-socialiste des travailleurs allemands était à l’origine un club social gay dominé par un ex-prostitué bisexuel nommé Adolf, seuls des homosexuels pouvaient accéder au poste d’officier dans les SA. Un des principaux lieutenants de Hitler à l’époque, Julius Streicher, était un pédophile sadique bisexuel et un tortionnaire. Lui aussi se déplaçait toujours avec un fouet. Comme Röhm, Streicher était un violeur d’enfants. Les deux étaient des amis intimes de Hitler. Streicher éditait des revues pornographiques dans lesquelles paraissaient régulièrement des récits impliquant des meurtres rituels d’enfants et des viols de femmes.

C'est à tort que l’on oppose systèmatiquement nazisme et homosexualité en évoquant les "Triangles roses". La réalité est beaucoup plus complexe. Le fondateur du parti nazi, le NSDAP, n’est pas Adolf Hitler, mais Ernst Röhm. Celui-ci était publiquement homosexuel. Dans le contexte de l’opposition de la Reichswehr, et de la rivalité entre SA et SS, Adolf Hitler sacrifia les SA. Il les fit assassiner lors de "la nuit des longs couteaux". Pour justifier son crime, Hitler évoqua la sexualité " dégénérée " de Röhm.

Par la suite, une campagne de castration puis d’extermination des homosexuels fut menée dans le grand Reich. Mais simultanément l’imaginaire nazi ne cessa de développer une esthétique homosexuelle, comme pour sublimer ces meurtres originels. Elle est particulièrement évidente dans la propagande des jeunesses hitlériennes, et dans la statuaire d’Arno Brecker. Michaël Kühnen (1956-1991), leader historique et Führer auto-proclamé du renouveau du nazisme en Europe, a interprété l’échec du III° Reich en fonction de "l’erreur" de la "nuit des longs couteaux". Il a reconstruit les avatars du NSDAP sur la ressurection des SA. Il était donc fondé à réconcilier homosexualité et nazisme.

C’est avec Michel Caignet et Jürgen Mosler que Michaël Kühnen fonda l’Europaïsche Bewegung (Mouvement européen), une organisation internationale néonazie implantée en Allemagne, Belgique, Danemark, France et Pays-Bas.

Michel Caignet a traduit en français les Lettres de prison, et l’opuscule Homosexualité et national-socialisme de Michaël Kühnen. Selon l’auteur, parce qu’ils sont rares les homosexuels actifs seraient destinés à former une élite guerrière au service de la horde. Les homosexuels passifs seraient, quant à eux, condamné, selon l’antique loi germanique, à être noyés dans les marais. (Ce qui implique que la sexualité des guerriers ne peut-être assouvie que par des masturbations mutuelles ou le viol des mâles étrangers). Néanmoins, le chef de la horde choisira comme bras droit un homosexuel passif, qu’il sauvera ainsi d’une mort certaine. Ce dernier ne pourra donc pas trahir son chef sans perdre la vie. Il sera chargé de l’exécution des basses oeuvres, et sera corvéable à merci, jusque et y compris pour l’assouvissement des besoins physiologiques du chef.

(c) Projet Ornicar, juillet/aout 1993


ASTARTE ET LE NID D'AIGLE

La bourgeoisie juive divisait les travailleurs entre Allemands et étrangers pour mieux régner. Une autre erreur aura été de faire des concessions à l’antisémitisme. Après la Shoah, beaucoup de Juifs ont commis les mêmes erreurs, et c’est bien compréhensible. Aujourd’hui encore, la montée de l’antisémitisme dans le monde provoque un nouvel afflux de Juifs vers Israël, où ils remplissent les colonies, toujours à cause de ces erreurs. Des erreurs tragiques que les Palestiniens et même les Israéliens n’ont pas fini de payer.


Bouquetin à l'entrée du Kehlseteinhaus dans les Alpes

La société secrète ELELWEISS était une loge féminine païenne pratiquant les rites odiniques dirigée par une prêtresse païenne mariée à un haut dignitaire du régime, elle serait l'épouse de Göring ou EVA BRAUN la compagne de Hitler, mais rien ne prouve cela. La Loge serait aussi active au Kehlsteinhaus , le nid d'aigle où le Fürer recevait les dignitaires importants de la journée, c'est souvent dans les vieilles photos en noir et blanc et des films que nous voyons Hitler et sa future épouse marchant le long de la terrasse extérieure. Il y a très peu de documents sur cette société secrète qui cacherait d'autres sociétés en Europe.

De la Société Edelweiss dont l'emblème était la croix gammée, avait des liens avec la Suède. Cette société n'a rien à voir avec les Pirates Edelweiss (Edelweisspiraten), un mouvement de la résistance allemande contre le nazisme. Goering vient de cette société, puis il passa tout naturellement à la Société de Thulé. Il n'était pas très porté sur l'occultisme, mais après les blessures reçues lors du putsch de novembre 1923, on lui donna de la morphine pour calmer ses douleurs et il prit goût à la drogue. Rosenberg (juif) était aussi à Thulé dont il devint l'un des maîtres à penser.

Voir : La soictété Thulé


Déesse sémitique Astarté - Quadesh - Lilith et les Boucs

On sait qu'EVA BRAUN était juive, Hitler était peut-être juif. Il y a de nombreux dignitaires Nazis qui étaient des juifs. Comment le Reich peut prendre comme symbole LILITH la putain de babylone tout en rayant de la carte le peuple juif ? Il y a donc bien une guerre entre les Juifs du haut et les Juifs du bas, ils ne pratiquent pas le même Judaïsme et il y a donc deux babylones, les juifs de ENKI le Verseau et les juifs de EL le Capricorne, l'ange contre le diable ! A l'Est rien de nouveau !

Voir : Lilith la Femme en Rouge



SOURCES ET LIENS 






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