LA STATUE DE LA LIBERTE
Un monument symbolique et occulte

ISHTAR - INANNA - ASTARTE - APHRODITE - LIBERTAS - QUADESH

La Femme Ecarlate Grande Prostituée de Babylone

MISS LIBERTY

L'histoire de la Statue représente la liberté américaine de la domination coloniale britanique, c'est un cadeau de la France. Son nom de baptême de la statue est: " Liberty enlightening the World " ou " Liberté éclairant le Monde ". La statue de la Liberté possède une couronne avec sept pointes. Les 7 pointes se déploient sur un demi-cercle, une forme d'"arc en ciel" de 180° ou [60° + 60° + 60°] permettant de construire un " Sceau de Salomon " à 6 pointes.

Le nom de Salomon est lié à plusieurs reprises à celui d'Astarté dans les Ecritures. Les sept pointes de la couronne représentent les sept continents (dont Nemrod, roi de Babylone, éclairé par l'enseignement des anges déchus, connaissait l'existence. Chacune des 7 pointes correspond à l'illumination de chacun des sept continents par le Dieu Soleil.

Le nom de la statue " Liberté éclairant le monde " s'applique aussi à la liberté économique et la libre entreprise qui a permis au dollar de devenir l'étalon hégémonique mondial, la devise incontournable. C'est la plus grande statue du monde et elle ést aussi appelée la " Mère des Immigrants ". Si pour beaucoup elle représente la VIERGE ou la constellation de la VIERGE, ce qui reveint à la même chose, c'est à drire l'ancienne déesse egyptienne
SELKYS (du groupe des Isis), ce n'est pas l'avis de tous !


Frédéric Gustave BARTHOLDI est un homme du XIXè siècle, héritier du siècle des lumières. Il partageait l'esprit de rationalité et de raison scientifique de ses contemporains (Jules Verne) qui va de pair avec l'anticléricalisme qui débouchera sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat avec les lois de 1901,1903 et 1905.

Elle a été construite en 1876, un siècle après la création du sceau Américain de 1776 ( visible sur le billet de 1 dollar ). La statue repose sur un socle pyramidal à trois niveaux correspondant au trois degrés maçonniques: apprenti, compagnon, maître. Elle tient une table de la loi, celle des constitutionnalistes américains.


G. Bartholdi comptait lui donner " une coupe " et l'habiller de " pourpre " . (Apocalypse 17). La déesse de babylone ISHTAR était représentée avec une coupe ou avec une torche en main, une couronne sur la tête car elle était " reine des cieux ", chargée de bijoux et vêtue de pourpre et d'écarlate comme le relatent les versets Johanniques. La coupe existe et serait en Russie

II a même été question pour la Russie de la vendre. La statue a d'autres noms comme " EUROPE " et " LIBERTAS " (Libertas était vénérée par les esclaves).


La Statue de la Liberté a aussi été calquée sur le Colosse de Rhodes qui veillait sur le port de Mandraki en Grèce. L'échelle des deux monuments est le même. Le Colosse de Rhodes était une statue d'Hélios, le dieu Soleil, en bronze, elle est érigée sur l'île de Rhodes vers -292 avant notre ère.

Souvenir de la résistance victorieuse à Démétrios Ier Poliorcète (-305 à -304), érigée sur l'île de Rhodes vers -292, cette gigantesque effigie d'Hélios, dieu tutélaire de la ville de Rhodes, fut renversée en -227 ou -226 par un tremblement de terre. Cassée au niveau des genoux, elle s'effondra et tomba en morceaux. La statue brisée resta sur place jusqu'en 654. Il ne reste plus aujourd'hui la moindre trace du colosse. C'est la sixième des sept merveilles du monde antique.




Techniquement, le tremblement de terre exerça une torsion sur les genoux de la statue. L'amoncèlement de bois et de bronze ainsi constitué fut, dans un premier temps, laissé sur place car un oracle aurait défendu aux habitants de redresser la statue. D'après la Chronique de Michel le Syrien, le colosse fut définitivement détruit vers 654, par une expédition arabe, sous le commandement de Muawiya Ier, lieutenant du calife Othmân ibn Affân, qui emporta les vingt tonnes qui restaient du colosse (treize tonnes de bronze et sept tonnes de fer), pour les vendre à un marchand juif d'Émèse.


CACA, VESTA ET HESTIA

La Déesse du feu

Il y a plusieurs déesses du feu, CACA (ou Caeca) est une déesse romaine du foyer et du feu. Elle a progressivement cédé sa place face au culte grandissant de VESTA (latin). Son frère CACUS (ou Caecus), fils de Vulcain, crachant feu et fumée, vole huit bœufs du troupeau de Géryon, sous la garde de Hercule après son dixième travail. Chez les grecs, VESTA est la déesse HESTIA, l'attribut principal d'HESTIA est le feu sacré (du foyer), que l'on retrouve dans les demeures et les autels des cités.

Avant les conversions au judaïsme et à l'orthodoxie, les SCYTHES pratiquaient la sorcellerie et le chamanisme, comme les HUNS plus tard, ils adoraient le feu ainsi qu’une déesse-mère, c'est la déesse HESTIA ((Deutéronome 18:10-12), puis ils prennent également ZEUS (Jupiter le père) et GE (Gaia pour la Terre). La présence d’HESTIA chez les SCYTHES et les SARMATES est pour le moins paradoxale, puisqu’elle incarne précisément l’espace sédentaire de la maison et du foyer domestique, l’élément de continuité et d’enracinement de la souche familiale. HESTIA parfois assimilé à une Vierge elle représente la femme au foyer.




Lorsqu’elle était représentée, c’était en habit de matrone, vêtue de la stola, tenant de la main droite un flambeau ou une lampe, ou une patère, vase à deux anses, appelé capeduncula, quelquefois aussi un palladium ou une petite Victoire. Parfois, au lieu de la patère, elle tient une haste, javelot sans fer, ou une corne d’abondance. Elle est parfois représentée avec l'âne et la torche. C'est aussi ldéesse de la pudeur, de la famille avec le foyer familial comme civique, l'âne et la torche. et un culte du phallus. Avec sa TORCHE à la main comme la Statue de la Liberté car quand des hommes allaient fonder une colonie, ils emportaient le feu sacré avec eux.

HESTIA est aussi la Déesse des migrants (pour un nouveau foyer) et des esclaves, elle est très proche de la reine de Babylone que l'on pourrait assimiler à ISHTAR / ASTARTE (Vénus) d'origine sémitique et de Mésopotamie, bien que cette déesse était aussi assimilée à la prostitution. HESTIA symbolisait la perpétuité de la famille ou de la cité mais, le feu d'HESTIA servait aussi aux sacrifices. Les fêtes en son honneur sont rares par toute la Grèce, le culte de VESTA chez les romains est beaucoup mieux connu et plus important, bien qu'il semble avoir existé un feu perpétuel antérieur, celui de CACA, également déesse romaine du foyer et du feu.

Dans la mythologie, HESTIA n'est pas toujours considéré comme faisant partie du canon Olympien ce qui explique qu'assez peu de mythes évoquent cette divinité modeste. Elle ne sortit jamais de l'Olympe et ne participa à aucun combat entre les dieux ou les hommes. ZEUS reconnaissant, lui accorda la première victime de chaque sacrifice public parce qu'elle avait su protéger la paix de l'Olympe. Elle fit le serment solennel, en touchant la tête du maître des dieux, qu'elle resterait vierge éternellement. A Delphes, HESTIA était l'objet d'un culte particulier, parce que cette ville était considérée comme le centre du monde, et son foyer était donc le foyer commun de la Grèce.




HESTIA n'est pas la Vierge Mère, la comparaison avec le monde indien permet de comprendre que le Feu a été conçu anciennement comme fils de mères et nourrices virginales. Ce sont ces figures qui expliquent la virginité d'HESTIA et le fait que des jeunes filles sont affectées à l'entretien du feu perpétuel de VESTA qui n'est qualifiée de Vierge que tardivement par assimilation à HESTIA. Comme le jeune homme GANYMEDE (avatar du verseau), on la trouve sur des représentations servant de l'eau au maître du foyer (ou du harem), c'est à dire à ZEUS. Elle est peut-être un avatar de ISIS (Aset), la jeune femme chez les égyptiens.

Certains historiens pensent qu'elle est liée à des rituels et à un culte du phallus. En effet, cette prétendue virginité se concilie mal avec le qualificatif de « mère » qui est attribué à VESTA. De plus, la présence d'un phallus dans l'aedes Vestae constitue une difficulté supplémentaire. Enfin, VESTA a pour attribut l'âne qui est l'animal de PRIARPE et des SATYRES chez les romains, mais ce sens il représente l'animal qui la sauva de PRIARPE, il est dit qu'un âne braya bruyament mettant en fuite le penaud. HESTIA résista donc à toutes les avances amoureuses et ZEUS lui promis de rester toujours vierge.

Le membre viril (fascinus) dont la représentation était conservée au temple de VESTA est également un symbole du Feu divin. Il représente la tarière servant à produire le feu dans le foyer du foret à feu. Cette présence du Feu divin explique l'obligation de chasteté faite aux Vestales. Le Feu est décrit comme un mari jaloux, car mères et nourrices du Feu, elles en sont également les épouses. Il en est de même pour HESTIA et VESTA qui ne sont pas des Feux divins mais les épouses d'un ancien dieu Feu disparu.


QUADESH

La déesse égyptienne QADESH (ou Qetesh), avait été importée de Syrie, durant le Nouvel Empire. Le fait qu’elle soit représentée de face semble montrer que c'est une déesse d'origine étrangère. Le nom QADESH vient de la racine sémitique q-d-sh de l'hébreu, qui signifie « sacré » ou « séparé ». Le mot sacré, s’oppose à profane et signifie « qui appartient à un domaine séparé, inviolable, privilégié par son contact avec la divinité et inspirant crainte et respect ». Le nom QADESH en hebreu est KADES en français, ce qui signifie " saint "et "consacré " mais aussi " prostituée ", elle est ROUSSE et sa planète est la LUNE ROUSSE.

En Syrie la ville a été longtemps sous l'influence des Egyptiens, la bataille de Qadesh (ou Kadech) a eu lieu aux environs de 1274 av. J.-C. et qui a opposé deux des plus grandes puissances du Moyen-Orient : l'empire hittite de Muwatalli, dont le centre était en Anatolie centrale, et le Nouvel Empire égyptien de Ramsès II. QADESH est la grande déesse de la fécondité de la ville du même nom à l'extrême sud du royaume de Juda, on dit qu'elle serait la parèdre du Dieu sémitique YAHWEH. On retrouve son nom dans les écritures oùelle est bien identifiée comme prostituée et débauchée (Deutéronome 23 : 17, 1 Rois 14 : 24, Job 36 : 14).

Après sa métamorphose en terre de canaan, ele revient en Egypte sous sa nouvelle forme de prostituée, on la représente de face pour bien souligner que c'est une Déesse étrangère. En Egypte, QADESH est la partie masculine du dieu AHA avatar du Dieu des accouchements, BES est représenté avec le phallus en érection, il est aussi une divinité de la sexualité et de la grossesse. Il est possible que la déesse BESET ne soit qu'une représentation des déesses ANAT et ASTARTE fusionnées. BESET est la contrepartie féminine du Dieu BES, bien qu'elle se présente parfois comme sa mère. Comme BES, elle est représentée de face, avec un faciès léonin et une crinière, elle tient souvent des serpents dans les mains.

Voir : Lilith la Lune Noire


ISHTAR ET LIBERTAS

La Femme Ecarlate Putain de Temple

Nous savons que cette déesse existait en raison des archives des anciens. Nous savons de Libertas étant appelée la mère des prostituées par le célèbre historien romain (et sénateur) Cicéron. Il indique qu'elle était aussi une déesse des Grecs avant même début de la civilisation romaine. Cicéron décrit cette déesse et son temple sur le chemin de l'Aventin, à Rome.

Elle a été représentée sur des pièces de monnaie romaines en portant une casquette de liberté et ayant une couronne avec une lance ou parfois une épée. Ces images de pièces de monnaie ne sont pas les seules représentations. Parfois, elle était bien vêtu et à d'autres moments séduisante nu dans des sculptures et des peintures.


ISHTAR était à cause de ces titres et de ce pouvoir d'être une déesse personnelle pour ceux qui l'invoquaient pour des requêtes précises, la déesse des immigrants qui se rendaient à Babylone.

Parce qu'elle était la déesse principale vénérée à Babylone,
ISHTAR était la déesse des prostituées et un temple lui était dédié à ce titre. Sa couronne avec sept pointes est aussi en correspondance avec ISHTAR.

Elle est la sœur de Shamash, dieu de la lumière, et en même temps d'Ereshkigal, la divinité du monde infernal. Elle était adorée à Ourouk la capitale où son culte supplantera celui de son père Anou, Fille de Sîn, elle a pour emblème une étoile; aussi une déesse guerrière, debout sur un ou deux lions, elle porte le carquois; d'une main elle tient une arme courbe et de l'autre un sceptre.


Son temple à Babylone s'appelait l'Etourkalama, la " maison qui est la bergerie du pays ". Les cérémonies qui s'y déroulaient avaient une forte connotation érotique et semblaient plutôt liées à la prostitution sous ses formes sacrée et profane, elle est une représention de la LUNE NOIRE, une invention fantaisiste.

ISHTAR est aussi un avatar de la déesse ASTARTE chez les anciens hébreus et en version grecque de l'Ancien Testament (la Septante). Puis, ASTARTE a été changé en APHRODITE. Le terme hébreu ASTARTE était une translittération du dialecte babylonien (akkadien) de la déesse ISHTAR . On la retouve dans le dialecte sumérien comme Inanna ou NINANNA, signifiant la Reine du Ciel ou Dame du Ciel. En Canaan cette divinité a été appelé ASTAROTH. Les Hittites appelaient SHAUSHKA. Les Phéniciens sur Cypress initialement parlait d'elle comme ASTARTE..

Chez les Egyptiens, NEITH contribua au mythe Osirien, jugeant le combat mythique d’HORUS contre SETH, elle proposa de nommer HORUS roi du monde végétal, et SETH roi du monde désertique. Pour rester juste et ne pas favoriser HORUS, elle proposa de donner au dieu SETH deux déesses ANAT (Alat) et ASTARTE, les déesses sémitiques. ANAT a été importée en Egypte à partir des régions asiatiques (Canaan, Syrie), elle y était la compagne du dieu BAAL et ASTARTE est une figure de la prostituuée ISHTAR / LILITH. Cette légende récente raconte l'histoire du monde et la création de nouvelles figures fantaisistes à partir des anciens Dieux créateurs.

A l'origine, c'est une forme de Déesse NEITH - ISIS des Egyptiens (Aset), également associée à la planète Vénus. En mésopotamie elle est restée ISHTAR jusqu'à ce que les Grecs changent son nom pour APHRODITE. Plus tard, les Romains parlait d'elle en latin, d'abord comme LIBERTAS et plus tard comme Vénus quand ils ont accepté les doctrines de liberté




Alors que la Déesse Mère Egyptienne NEITH - ISIS est assexuée, il semble que l'attrait d'ISHTAR était sa doctrine de saint sexe ou le salut par les relations sexuelles avec une prêtresse du temple ou le prêtre comme un moyen de purification et de sainteté. Bien sûr, cela impliquait de payer la prêtresse ou un prêtre, cela était officiellement sanctionné. Cette Déesse est inventée en même temps que l'argent et la finance.

On a donc introduit la prostitution avec
ISHTAR dans le concept de la race humaine. C'est pourquoi elle a été appelée la mère des prostituées. Les prostituées étaient considérées comme des parias, ISHTAR elle était aussi appelée la Mère des exilés. Ce fut plus tard assimilé à l'immigration. Alors ISHTAR (Libertas) a été connu comme la mère des prostituées, la Mère des exilés et la Mère des immigrants à travers non seulement Babylone, mais aussi plus tard en Assyrie, en Égypte en Grèce et à Rome.

Elle a été assimilée à peu près à la même puissance que le chef dieu de Babylone, le UTU dieu du soleil, aussi connu comme SHAMESH. Des années plus tard, les divinités masculines prennent toutes la place des déesses, et ils gagnent en popularité. Le culte est détruit mais
ISHTAR  la prostituée reste puisqu'elle est le fruit de BABYLONE.

A Canan, le Dieu le plus important à l'époque de la nation d'Israël était
BAAL le MOLOCH. Il a également été appelé Marduk / Mardok / Merodach / Bel, etc.. BAAL a été identifié avec la planète Mars et a été appelé le dieu de la guerre. Son nom signifie " Seigneur de l'air " pour ses pouvoirs supérieurs et de la suprématie de l'air. Il a été affirmé que lui-même ainsi que ISHTAR et toutes les autres divinités ont été des vols et des copies de l'Egypte ancienne et de leurs étoiles dans le ciel.

NEITH - ISIS, la déesse mère, est transformée en putain par babylone avec l'invention de l'argent. ISHTAR a introduit le concept de l'enlèvement des péchés par la pratique et le rite « saint » des relations sexuelles avec une prêtresse ou un prêtre. Cette action impliquerait le versement d'argent pour la prêtresse ou un prêtre dans le cadre du processus de nettoyage. Il était une offrande d'action de grâces pour la purification.

Elle était aussi connue comme la déesse de l'amour à cause de sa sexualité et de sa promotion de tous les types de perversion sexuelle au nom de la liberté, mais c'est une hérésie si l'on compare avec son origine et le culte des anciens Egyptiens. Sa devise était " si elle se sent bien, faites-le ". Il s'agit de la première instance de la prostitution dans l'histoire humaine.


ALAT - ANAT

Elle est plus proche de LILITH (la prostutuée) que de la reine des cieux mais on peut aussi y voir la figure de la déesse Syrienne ALAT (parèdre de ALAH) est un avatar de HATHOR / ISIS. La Déesse ALAT n'est pas LIBERTAS / ISHTAR mais plus proche de L'Aphrodite céleste, le contraire de l'Aphrodite / Astarté de Canaan.

Al-Lat ou al-Lat était une déesse de la fécondité et de la féminité vénérée en Arabie à l'époque préislamique. Son nom serait une contraction de al ilahat, déesse. Elle avait sa statue dans la Kaaba où elle était censée résider. Hérodote cite al-Lat comme étant l'équivalent d'Ourania (L'Aphrodite céleste).

Al-Lat, Manat et Uzza semblent avoir été les trois divinités objets du culte le plus intense à La Mecque. Ces trois déesses sont citées dans le Coran dans la sourate L'étoile4, cette citation est à l'origine de l'épisode des versets sataniques, les Mecquois ayant cru que Mahomet leur recommandait d'adorer ces trois divinités. Il est dit dans le Livre des idoles que les Arabes les considéraient comme les « filles du dieu » (Allah dans le texte). On peut supposer que ce dieu était Houbal, divinité principale de la Kaaba.

Ba`alat Gebal, 'Madame de Byblos', était la déesse de la ville de Byblos, parfois connu des Grecs As Baaltis. Elle a été généralement identifiée avec la déesse de pan-sémitique ` Ashtar et ainsi égalisé avec la déesse grecque Aphrodite. Cependant Sanchuniathon l'égalise avec la déesse grecque Dione et la présente en tant que soeur de ` Ashtart (Aphrodite) et Rhea (qui est probablement Asherah), chacun des trois étant épouses de EL. Il dit qu'elle ennuient des filles au EL et cela c'était le EL qui a donné la ville de Byblos à Baaltis qui s'appelle également Dione (Diane).

Ba`alat Gebal a été distingué en iconographie du ` Ashtart ou d'autres aspects de Ashtart ou des déesses semblables avec des grandes plumes droites dans ses cheveux. Le temple de Ba`al Gebal dans Byblus a été construit autour 2700 AV JC. Ba`alat Gebal est alors un avatar de la déesse égyptienne
HATHOR (la mère).

À l'ère islamique, al-Lat est mentionnée dans le Coran (sourate 53:20), et le Livre des Idoles (Kitab al-Asnam) de Hicham ibn al-Kalbi selon qui Banu ?Attab ibn Malik du clan des Thaqif en avait la charge et lui avait fait construire un édifice. Elle était vénérée par tous les Arabes, y compris la tribu des Quraysh. Des enfants étaient prénommés Zayd-al-Lat ou Taym-al-Lat. Son temple fut détruit et brûlé sur l'ordre de Mahomet.



SOURCES ET LIENS




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