LES SCYTHES
Les Invasions des peuplades Nomades en Europe

Les Khazars : Un empire juif aux portes de Byzance (VIIeme-Xeme siècle)

LES CIMMERIENS

Un Peuple Celte du Bout du Monde

Nous sommes dans la protohistoire, les Cimmériens étaient un peuple cavalier nomade initialement signalé dans la steppe pontique, au nord du Pont Euxin (aujourd'hui la mer Noire), comme ce sera aussi le cas, après eux des SCYTHES et les autres qui viennent après. C'est un peuple indo-européen de l'Antiquité, installé en Tauride, et sur le pourtour de la mer d'Azov, avant de se disséminer aux VIIIe et VIIe siècles av. J.-C. sur tout le pourtour du Pont Euxin, en Asie mineure, dans les Balkans et dans le bassin du Danube.

Ils sont connus en grec ancien comme Kimmérioi qui pourrait provenir de « bout, bord, marge, rivage », leur nom signifierait « ceux du bout / bord du monde ». Mais les tablettes assyriennes mentionnent un peuple du nom de Gimirraya : il s'agit peut-être des mêmes. Si l'origine des Cimmériens n'est pas encore totalement élucidée, leurs habitudes funéraires semblent les ranger plutôt du côté des CELTES.




Dans l'Antiquité, la Chersonèse (« presqu'île » en grec) désigne la CRIMEE. Les Cimmériens s'y sont installés vraisemblablement dès 1200 av. J.-C., dans le territoire qu'Hérodote appelle le « Bosphore cimmérien ». Vraisemblablement en raison du climat de la période, les Grecs de l'Antiquité les disaient « Peuples de la Nuit »10. Homère écrit que leur pays est « couvert de nuées et de brumes » que « les rayons du soleil ne percent jamais ».

Vers 700 av. J.-C., les peuples de la steppe subissent une crise climatique de cette période dite Subatlantique, et les Cimmériens sont soumis à la pression des voisins SCYTHES. Autour de la CRIMEE, les CIMMERIENS et les SCYTHES étaient en guerre. La noblesse cimmérienne tente de leur résister, mais le peuple finit par se disperser, une partie se dirigeant vers le centre de l'Europe et colonise l’Allemagne et l’Italie de l’Ouest, une autre vers l'Anatolie (Turquie) et l'Iran.

Après la mort du roi des Cimmériens Lygdamis, vers 620 av. J.-C., ce peuple se montre moins belliqueux. Selon les auteurs grecs, le roi de Lydie (en Turquie) Alyatte II mit un terme définitif à la menace cimmérienne vers 610 av. J.-C.. Ces vagues migratoires finissent par anéantir les anciens empires mésopotamiens et égyptiens. Un monde nouveau émerge.

Dans la littérature, le personnage de fiction nommé Conan est identifié comme « cimmérien », dont une adaptation est portée à l'écran dans les années 1980. L'univers dépeint par Howard est une époque antédiluvienne qu'il dénomme Âge Hyborien, où les Cimmériens sont présentés comme descendants des ATLANTES et ancêtres des peuples CELTES.


L'EMPIRE DES SCYTHES

Le peuple des SCYTHES , est un ensemble de peuples indo-européens d'Eurasie en grande partie nomades et parlant des langues iraniennes. Ces personnes vivaient principalement dans la région connue sous le nom de SCYTHIE, qui comprend aujourd'hui les steppes eurasiennes du Kazakhstan, les steppes russes des régions de Sibérie, d'Oural, de Volga et du Sud, et l'est de l'Ukraine . Ils s’adonnaient à une forme de chamanisme primitif, telle que pratiquée par leurs voisins de la steppe. Les SCYTHES sont parmi les premiers peuples à maîtriser la guerre à cheval.




Apparentés aux SCYTHES, à l’est sont installés les SARMATES, les MASSAGETES et les SAKAS. Les SCYTHES sont difficiles à contenir, ce sont des envahisseurs et ils franchissent souvent les frontières des empires sur leurs routes. Vers 520, Cyrus le Grand (dit Cyrus II), roi des Perses est vaincu par Tomyris la reine des MASSAGETES, selon Hérodote, il est tué lors d'une bataille qui a lieu sur l'Oxus (un fleuve d'Asie centrale).

Les SARMATES ou SAUROMATES (protohistoriques) est un ancien peuple cavalier scythique de nomades, ils prennent posséssion d'une partie de l'Europe de l'Ouest dans la steppe pontique après une invasion, et remplacent les CIMMERIENS. Certains universitaires suggèrent qu'ils auraient pu être tantôt des THRACES, des SLAVES,, des GERMAINS ou encore des DACES (issus d'un substrat celtique).


Les Sarmates, des Scythes de la steppe pontique

Les SARMATES sont signalés à l'origine entre les fleuves Tanaïs et Daïkos (actuellement le Don et l'Oural). Le nom de SAUROMATES, employé par Hérodote, pourrait provenir du grec SAUROS, le « LEZARD » par allusion à leurs armures à écailles, mais cette interprétation est contestée. À l'époque romaine, la célèbre cavalerie lourde SARMATE témoigne de l'importance de la culture guerrière de ce peuple. Ils se distinguent, notamment des CELTES, par leur goût pour la chair, le sang de cheval et pour le lait de jument.

En -339, Philippe II de Macédoine parvient à lvaincre le roi SCYTHE Athéas lors d’une bataille . A partir du 3ème siècle avant notre ère, les SCYTHES se mêlent aux SARMATES, puis ils seront noyés aux GOTHS suite aux grandes migrations du 4ème et 5ème siècle après notre ère. La culture SCYTHE disparait, quant aux SAKAS, ils migrent au 1er siècle avant notre ère, en Inde où ils vont prospérer en royaumes.


Les Sarmates auxiliaires de Rome
(bas-relief de la colonne de Trajan représentant un épisode de la guerre des Daces)

L'historien Oleg Troubatchev rapproche le nom SARMATES du mythe des AMAZONES, cette théorie semble être bancale et une mystification, bien que chez les SCYTHES, le rôle des femmes est important d’après Hérodote, les femmes SARMATES suivaient leurs maris à la chasse et à la guerre, et s'habillaient comme eux. Il a vraiment existé des divinités féminines montrant leurs seins et cela un peu partout (symbole féminin, ou de fertilité), mais on a jamais retrouvé la trace de ces femmes guerrières avec un sein à l'air.

L'histoire des SARMATES est connue indirectement par les historiens grecs puis romains contemporains et grâce à de nombreux témoignages archéologiques ou toponymiques. La SARMATIE comprenait ainsi une grande partie des contrées de la SCYTIE, nom donné aux actuelles Ukraine et Russie méridionale au temps de l'expédition perse de Darius Ier en 513 avant notre ère. Selon Lucien de Samosate, le fleuve Tanaïs (le Don) délimitait les territoires des SCYTHES de l'Est et des SAUROMATES.


Les Ostrogoths et les Wisigoths en Europe, Ier-Ve siècles.

Dans la période romaine, certains groupes de SARMATES obtiennent de Rome le statut de fédérés (alliés dans l'empire) pour protéger les camps de la voie Agrippa sur l'axe Rome-Boulogne-sur-Mer. Entre 200 et 300, une partie des SARMATES est soumise par les GOTHS qui arrivent par le Nord de l'Europe dont le le Royaume se prolonge jusque vers le début du VIIIe siècle. Au IVe siècle, les principaux groupes SARMATES sont alors les Roxolans et les Iazyges de Pannonie, à la frontière romaine, et les Alains d'Ukraine et de Russie méridionale, voisins des OSTROGOTHS (de la Pologne jusqu'à la Mer Noire) et des TAÏFALES (un ensemble de tribus germaniques).

Sur le plan militaire, les GOTHS furent influencés par le mode de combat des SARMATES, ce seraient l'origine de la cavalerie lourde. En 376, les SARMATES de la mer Noire s'allient aux HUNS pour détruire le Royaume des GOTHS, puis participent aux invasions hunniques du Ve siècle en Europe occidentale. À la fin du IVe siècle, sous la pression des HUNS, certains groupes de SARMATES participent aux migrations et s'installent un peu partout sur le territoire romain.


Empire d'Attila et Empire romain vers 450 de notre ère.

Durant la phase ultime de son règne, (vers 330), l'empereur Constantin consolide les limes, le long du Rhin et du Danube et obtient d'importants succès militaires qui le mènent à contrôler d'importantes parties des territoires anciennement romains abandonnés sous Gallien et Aurélien de l'Alémanie à la SARMATIE et à la GOTHIE, mais il ne contrôle pas toute la SARMATIE toujours entre les mains des nomades de la steppe.

Les SCYTHES tardifs, et après eux les SARMATES et les ALAINS, manifesteront une grande aptitude à la sédentarisation et même à la vie urbaine, par choix ou (plus souvent) sous la pression des circonstances. Le fameux « or des Scythes », mais aussi les objets en matériaux périssables découverts dans les « kourganes gelés » de l’Altaï, permettent de se représenter le luxe dont bénéficiaient les aristocraties tribales, et le relatif confort de la vie quotidienne.

Au milieu du Ier millénaire avant notre ère, les SCYTHES d’Ukraine et du Caucase ne sont que la partie la plus occidentale d’un grand ensemble « scythique », iranophone et nomade, qui occupe les steppes entre Don et Oural, et de vastes territoires en Sibérie et en Asie centrale. La relative unité linguistique et culturelle de ces populations ne s’accom­pagne d’aucune solidarité politique, et les tribus sont agitées par de fréquents mouvements migratoires dus à des guerres ou à la modification des conditions écologiques. Ces mouvements peuvent se répercuter de proche en proche dans tout ce monde nomade très fluide.

Source : http://www.histoiredumonde.net/Scythes.html




Les SCYTHES tardifs, et après eux les SARMATES et les ALAINS, manifesteront une grande aptitude à la sédentarisation et même à la vie urbaine, par choix ou (plus souvent) sous la pression des circonstances. Le fameux « or des Scythes », mais aussi les objets en matériaux périssables découverts dans les « kourganes gelés » de l’Altaï, permettent de se représenter le luxe dont bénéficiaient les aristocraties tribales, et le relatif confort de la vie quotidienne.

Au milieu du Ier millénaire avant notre ère, les SCYTHES d’Ukraine et du Caucase ne sont que la partie la plus occidentale d’un grand ensemble « scythique », iranophone et nomade, qui occupe les steppes entre Don et Oural, et de vastes territoires en Sibérie et en Asie centrale. La relative unité linguistique et culturelle de ces populations ne s’accom­pagne d’aucune solidarité politique, et les tribus sont agitées par de fréquents mouvements migratoires dus à des guerres ou à la modification des conditions écologiques. Ces mouvements peuvent se répercuter de proche en proche dans tout ce monde nomade très fluide.

Source : http://www.histoiredumonde.net/Scythes.html

Au VIIeme siècle de notre ère, les SCYTHES (ou Saka) fondent le puissant Etat KHAZARS. Alliés aux Byzantins, ils aident ces derniers à détruite l'empire sassanide avant de lutter contre les armées arabes, qu'ils bloquent au Sud du Caucase. Puis Au VIIIeme siècle, les élites militaires de l'empire se convertissent au judaïsme, sans doute pour des raisons à la fois culturelles et géopolitiques afin de se distinguer des deux grands empires avec lesquels les KHAZARS commercent ou font la guerre, le califat abbasside et l'empire byzantin.


BLONDS AUX YEUX BLEUS

Avec la sédentarisation et un brassage éthnique important, il n'était pas rare de trouver des SCYTHES roux et des blonds. Zhang Qian, un envoyé et explorateur de la dynastie des Han, décrit les SAI (Scythes) comme étant blonds avec les yeux bleus. A la fin du IIe siècle, le théologien chrétien Clément d'Alexandrie écrit que les SCYTHES sont blonds.

L'historien romain du IVe siècle Ammien Marcellin écrit que les ALAINS, un peuple étroitement lié aux SCYTHES, sont grands, blonds et aux yeux clairs. Au IVe siècle l'évêque Grégoire de Nysse écrit que les SCYTHES ont le teint clair et les cheveux blonds. L'auteur romain Pline l'Ancien au Ier siècle caractérise les Serres, identifiés comme Iraniens (Scythes) ou Tokhariens, aux cheveux roux et aux yeux bleus.


LES SCYTHES ET LES GUERRES

Au VIIe siècle av. J.-C., les SCYTHES traversent le Caucase et attaquent fréquemment le Moyen-Orient avec les Cimmériens, jouant un rôle important dans les développements politiques de la région. Vers 650 / 630, les SCYTHES ont brièvement dominé les Mèdes du plateau iranien occidental. Après avoir perdu le contrôle de la Médie, ils continuent à intervenir dans les affaires du Moyen-Orient, jouant un rôle de premier plan dans la destruction de l'empire assyrien dans le sac de Ninive en 612. Les SCYTHES s'engagent ensuite dans de fréquents conflits avec l'Empire achéménide et subissent une défaite majeure face au royaume de Macédoine au IVe siècle av. J.-C. Ils sont par la suite progressivement conquis par les SARMATES, un peuple iranien apparenté vivant plus à l'Est.

À la fin du IIe siècle av. J.-C., leur capitale Neapolis SCYTHES en Crimée est prise par Mithridate VI et leurs territoires incorporés au royaume du Bosphore. À cette époque, ils ont été largement hellénisés. Au IIIe siècle apr. J.-C., les Sarmates et les derniers vestiges des SCYTHES passent sous la domination des Alains puis sont submergés par les Goths. Au début du Moyen Âge, les Scythes et les Sarmates ont été largement assimilés et absorbés par les premiers Slaves. Les SCYTHES ont joué un rôle déterminant dans l'ethnogenèse des Ossètes, dont on pense qu'ils descendent des Alains.

L'armée perse compte de nombreux SCYTHES d'Asie centrale (Saces), durant les guerres médiques contre les Grecs, où ils se distinguent aux batailles de Marathon et de Platées. Au IVe siècle av. J.-C., un roi scythe, Ateas, rassemble sous son autorité de vastes territoires scythes d'Europe entre le Danube et la mer d'Azov, et effectue une tentative d'expansion vers l'ouest, peut-être liée à une pression exercée à l'est par les Sarmates, autre peuple scythe du Kazakhstan occidental. En 339 av. J.-C., à l'âge de 90 ans, il est tué par les Macédoniens, sous Philippe II de Macédoine, lors d'une bataille sur le Danube.

Au IIIe siècle av. J.-C., les Sarmates, un peuple scythique donc, repoussent les Scythes de la mer Noire en Crimée et les remplacent dans la majeure partie des steppes européennes. Sédentarisés et hellénisés, les anciens Scythes de la mer Noire constituent sous l'autorité du roi Scilurus un royaume réduit entre le bas Dniepr et le Nord de la Crimée. La cité grecque d'Olbia du Pont, l'un des plus importants ports d'échange de la Scythie vers la Méditerranée, est intégrée comme vassale de ce royaume mixte gréco-scythe dont la capitale était Neapolis. Les Scythes de la mer Noire ont constitué une ethnie distincte jusqu'au IIIe siècle de l'ère chrétienne.

Des historiens pensent que ce sont des luttes entre clans qui les ont menés au déclin, on imagine aussi dans les Ossètes du Caucase des descendants des SCYTHES. Quoi qu’il en soit, ce peuple mystérieux du passé a marqué l’Histoire de son nom, dominateur et barbare, il est devenu synonyme de cruauté, ils sont androphages (mangeurs d’hommes en grec) des plus sauvages, et ce ne sont pas les seuls à pratiquer cette magie, l'élite égyptienne était également cannibale.


ASHKENAZE ET KHAZARS

Les Khazars : Un empire juif aux portes de Byzance (VIIeme-Xeme siècle)

Le nom ASHKENAZE est tiré de la Bible hébraïque désigne également la SCYTHIE. Dans la Table des peuples, ASHKENAZE est l’un des descendants de Japhet, lui-même fils de Noé. Le Talmud de Babylone identifie Gomer, le père d'ASHKENAZE, à Germania. Dans ce contexte, il s'agit cependant d'une région située au nord de la Syrie, cependant selon le talmudiste Rachi le nom désigne la langue allemande.

Selon une théorie soutenue au XVIIIe siècle par le pasteur James Anderson dans son ouvrage Royal Genealogies, le personnage biblique ASHKENAZE fonde le royaume de Germanie sur la côte occidentale de la Mer Noire, c'est à dire en SCYTHIE. On a découvert un sceau de l'étoile de David lors des fouilles sur des sites kHAZARS, cependant, plutôt que d’avoir été fabriqués par des Juifs, ceux-ci semblent être des disques solaires chamaniques SCYTHES.


Des guerriers scythes
D'après une représentation sur un vase en or du kourgane de Koul-Oba (Crimée).

Le terme hébreu ASHKENAZE (ou les Ashkenazims) est mentionné en Jérémie 51:27, il venait du nom persan des SCYTHES c'est à dire ASHKOUZA ou encore de l'assyrien ASHGOUZAI, terme qui s’appliquait également aux SCYTHES et SKUTHAI chez les Grecs. Des tablettes cunéiformes font état d’une alliance conclue entre ce peuple et les Mannaï à l’occasion d’une révolte fomentée contre l’Assyrie au VIIe siècle avant notre ère. Juste avant que Jérémie ne commence à prophétiser, les SCYTHES auraient traversé le pays de Juda pour se rendre en Égypte et pour en revenir, sans causer aucun dommage.

Ils sont peut-être les ancêtres des envahisseurs asiatiques HYKSOS qui ont dirigé une partie de l'Égypte pendant la Deuxième Période intermédiaire juste après le Moyen Empire égyptien, ils formaient autrefois un groupe pluriethnique vivant dans l'Asie de l'Ouest, ce sont les HYKSOS qui introduisent les chevaux en Egypte et surtout le char de combat que vont utiliser plus tards les Egyptiens dans leurs campagnes. De cette époque, les HYKSOS on peut-être importé des divinités égyptiennes que l'on retoruvera plus tard dans le culte primitif chez les SCYTHES et autres peuplades d'Asie.


Localisation génétique des Scythes

Les chercheurs généticiens ont comparé deux modèles génétiques d'ascendance juive européenne représentant une origine mixte khazare-européenne-moyen-orientale et unique du Moyen-Orient. Les populations contemporaines ont été utilisées comme substituts des anciens KHAZARS et Judéens, et leur parenté avec les juifs européens a été comparée sur un ensemble complet d'analyses génétiques.

Les résultats appuient l'hypothèse khazarienne décrivant une grande ascendance du Proche-Orient et du Caucase ainsi que des ascendances d'Europe du Sud, du Moyen-Orient et d'Europe de l'Est, en accord avec des études récentes et des traditions orales et écrites. Le génome des Juifs européens est une tapisserie d'anciennes populations comprenant des KHAZARS judaïsés, des Juifs gréco-romains, des Juifs mésopotamiens et des Judéens et que leur structure de population s'est formée dans le Caucase et les rives de la Volga avec des racines s'étendant jusqu'à Canaan et les rives du Jourdain.


KHAZARS ET LES JUIFS

L’histoire des Juifs en Galicie (Galitzianer yide en yiddisch) est celle des Juifs ASHKENAZES originaires de Galicie, région qui s’étend aujourd’hui de la Pologne méridionale à l’Ukraine occidentale. Sa capitale était la ville de Leopolis, autrement appelée Lemberg (en allemand) ou Lwów (nom polonais): l’actuelle Lviv (ukrainien).

La théorie de l'origine KHAZARE / SCYTHES des Juifs ashkénazes connaît un regain d'intérêt avec la publication du livre " Comment le peuple juif fut inventé " de l'historien israélien Shlomo Sand, qui reprend les idées de Koestler pour étayer sa propre thèse selon laquelle la diaspora juive serait le fruit de conversions successives. Les KHAZARS seraient donc les déscendants des SARMATES, c'est à dire les SCYTHES de SARMATIE et à l'origine des juifs en Europe après une conversion.




En janvier 2013, paraît dans la revue britannique Genome Biology and Evolution une étude conduite par Eran Elhaik, généticien à l’Université Johns-Hopkins, qui va dans le sens de l'« hypothèse khazare ». En juin 2014, Shaul Stampfer, professeur à l'Université hébraïque de Jérusalem, publie un article concluant que la conversion d'un groupe de KHAZARS conduit par un roi est une légende dépourvue de base factuelle.

Avec de nouvelles et étonnantes découvertes archéologiques et génétiques, des théories étonnantes indiquent qu'en fait, MAGOG est située dans le sud de la Russie, dans le Caucase, et GOG est le nom du grand souverain du royaume de KHAZARIE. D'origine turco-mongole, le royaume réussit à construire au Moyen Âge un empire puissant dans les steppes de la Russie du Sud dans le Caucase et de l'Ukraine actuelle, avant de s'étendre dans toutes les directions, puis ils est stabilisé dans le Sud de l'Ukraine. L'empire qui dura près de trois siècles, sera détruit par les invasions nordiques et russes.




Les KHAZARS  n'étaient donc pas des juifs à l'origine et encore moins des sémites, le judaïsme s'affirma définitivement comme la religion officielle de la Khazarie avec l'arrivée au pouvoir du descendant de Boulan, Obadiah, qui devint le premier roi, le bek des KHAZARS.

Alors que le peuple pratiquait un culte de base ridicule, on raconte que le roi KHASAR et son cercle rapproché d’oligarques continuèrent à pratiquer secretement l’ancienne magie noire PERSE et de BABEL avec des cérémonies occultes reposant sur le culte du phallus, le sacrifice rituel d’enfants par égorgement, puis d’actes de cannibalisme en buvant le sang et en dévorant le cœur de l’enfant égorgé.

Voir : Invention du judaîsme

Les KHAZARS disparurent totalement après la destruction de leur État par le prince russe Sviatoslav à la fin du X e siècle, ne laissant derrière eux que de faibles traces de leur existence. Les Slaves, se convertiront au Christianisme avant la fin Xè siècle, c’est à cette période que le peuple KHAZAR disparaîtra, anéanti par les Slaves lors de guerres. Leurs villes s'évanouirent, leur culture disparut, leur nom même ne survécut pas longtemps.


TATARS ET VIKINGS

Après un âge noir en Europe, les Vikings Varègues arrivent par le Nord et vont conquérir ces terres jusqu'à la Mer Noire et les contrées avoisinant la mer Caspienne, principalement pour établir des routes commerciales avec la Grèce et Byzance, c'est le commencement des empires de Russie (la Rus' de Kiev fut officiellement fondée par Oleg le Sage aux alentours de l’an 880).




La religion musulmane s'installe avec les Ottomans et la créattion du " Khanat de Crimée " (le nom originel était Qirim Yurtu) de 1441 à 1783. Allié aux Ottomans, les TATARS de Crimée forment une population d’origine Turque vivant dans la péninsule de Crimée et l’actuelle Ukraine. De Khazarie, au VIIIe siècle, ces peuples païens nomades seront assimilés à l'empire Ottoman que récupère la Russie (dont les ukrainiens) vers la fin du XVIIIe siècle.

Le " Khanat de Crimée " tomba sous le pouvoir de l’Empire russe en 1783, ce territoire du Sud au bord de la Mer Noire devient la " nouvelle Russie " ou " Novorossia " en russe, une subdivision territoriale de l'Empire russe, la Novorossia englobait des régions conquises par l'armée russe de Catherine II sur l'empire Ottoman, lors des guerres russo-turques de 1768 à 1774.




UKRAINE

Les régions où se développa la nationalité ukrainienne à partir des xiiie-xive siècles ont fait partie de l'État de KIEV (ixe-xiie siècles) dont l'ensemble des territoires formait la ROUS, la « terre russe ». Ces régions constituent après le démembrement de l'État de KIEV au xiie siècle les principautés de KIEV, de Galicie et de Volhynie sur la rive droite du Dniepr, celles de Pereïaslav, Tchernigov et Novgorod-Severski sur la rive gauche.

A partir du milieu du xie siècle les attaques incessantes des POLOVTSES (ou Coumans), un peuple turcophone semi-nomade, poussent les habitants des régions de KIEV et de Pereïaslav à abandonner leurs terres et à gagner le Nord-Est (régions de Rostov-Souzdal), ou à chercher refuge dans les forêts de Polésie (dans la Grande-Pologne) et de Volhynie (Nord-Ouest de l'actuelle Ukraine), dans le bassin du Boug, en Galicie et sur les pentes des Carpates.




Dans ces régions marginales, trois courants colonisateurs se rencontrent, celui des Slaves de l'Est que l'afflux des réfugiés vient renforcer, celui des Polonais et celui des Hongrois, maîtres du versant méridional des Carpates et qui s'emparent au xie siècle de la Transcarpatie (qui portera le nom d'Ukraine subcarpatique). La Galicie, réunie à la Volhynie en 1199, recueille une bonne partie de l'élite de la société kievienne et connaît un grand essor.

La région de KIEV est définitivement ruinée par les dévastations de la conquête mongole (1238-1240). En marge des territoires contrôlés par les Mongols, la Galicie, qui reconnaît leur suzeraineté, devient un foyer de civilisation slave et orthodoxe, ukrainien déjà par la langue parlée, ouvert aux influences occidentales qui pénètrent par la Pologne et la Hongrie.

Les territoires ukrainiens du Sud, ravagés et dépeuplés, sont annexés par le grand-duché de Lituanie dans les années 1350-1360, tandis que la Galicie-Volhynie est conquise par la Pologne (1348-1366). L'Ukraine occidentale est dès lors soumise à un processus de polonisation qui conduira à la disparition des catégories supérieures du peuple ukrainien. L'Ukraine orientale subit aussi l'influence polonaise après l'union des couronnes de Lituanie et de Pologne (Krewo, 1385).

Les populations du grand-duché de Lituanie recherchent la protection de la Moscovie et de la Pologne contre les raids des Tatars de Crimée à partir du milieu du xve siècle. L'État moscovite annexe en 1500-1503 la majeure partie de la région de Tchernigov, tandis que les possessions ukrainiennes du grand-duché de Lituanie sont rattachées à la Couronne de Pologne par l'Union de Lublin (1569).

Ainsi la majeure partie de l'Ukraine dépend-elle d'un État catholique. Le métropolite orthodoxe de KIEV et une partie du clergé ukrainien reconnaissent l'autorité du pape par l'Union de Brest (1596). La noblesse polonaise colonise les terres ukrainiennes, sur lesquelles s'établissent plus tard des communautés juives.

À l'issue de plusieurs guerres entre cosaques et Polonais (1625-1637 ; 1648-1654), l'hetman Bogdan Khmelnitski se place sous la protection du tsar de Moscou (traité de Pereïaslav, 1654), suivant ainsi les tendances de la population à s'écarter de la Pologne. Désormais la population non cosaque de l'Ukraine orientale dépend de l'administration russe.

En 1667, le traité d'Androussovo entérine le partage de l'Ukraine entre la Pologne et la Russie. L'Ukraine de la rive droite du Dniepr subit les attaques des Ottomans, qui occupent la Podolie de 1672 à 1699 et conservent la Bucovine du Nord jusqu'en 1774. Elle se dépeuple au profit de l'Ukraine orientale où l'administration russe maintient la paix.

À l'issue des partages de la Pologne de 1793 et de 1795, l'Ukraine est partagée entre l'Empire russe, qui annexe la rive droite du Dniepr, la Podolie et la Volhynie, et l'Empire autrichien, dont dépendent la Galicie, la Bucovine et l'Ukraine subcarpartique.


HESTIA ET LE FEU

Avant une conversion au judaïsme, les SCYTHES pratiquaient la sorcellerie et le chamanisme, comme les HUNS plus tard, ils adoraient le feu ainsi qu’une déesse-mère, la déesse HESTIA ((Deutéronome 18:10-12), puis ils prennent aussi ZEUS (Jupiter le père) et GE (Gaia pour la Terre).

La présence d’HESTIA (en latin Vesta) chez les SCYTHES et les SARMATES est pour le moins paradoxale, puisqu’elle incarne précisément l’espace sédentaire de la maison et du foyer domestique, l’élément de continuité et d’enracinement de la souche familiale. HESTIA parfois assimilé à une Vierge elle représente la femme au foyer. L'attribut principal d'HESTIA est le feu sacré (du foyer), que l'on retrouve dans les demeures et les autels des cités.




Lorsqu’elle était représentée, c’était en habit de matrone, vêtue de la stola, tenant de la main droite un flambeau ou une lampe, ou une patère, vase à deux anses, appelé capeduncula, quelquefois aussi un palladium ou une petite Victoire. Parfois, au lieu de la patère, elle tient une haste, javelot sans fer, ou une corne d’abondance. Elle est parfois représentée avec l'âne et la torche. C'est aussi ldéesse de la pudeur, de la famille avec le foyer familial comme civique, l'âne et la torche. et un culte du phallus. Avec sa TORCHE à la main comme la Statue de la Liberté car quand des hommes allaient fonder une colonie, ils emportaient le feu sacré avec eux.

HESTIA est aussi la Déesse des migrants (pour un nouveau foyer) et des esclaves, elle est très proche de la reine de Babylone que l'on pourrait assimiler à ISHTAR / ASTARTE (Vénus) d'origine sémitique et de Mésopotamie, bien que cette déesse était aussi assimilée à la prostitution. HESTIA symbolisait la perpétuité de la famille ou de la cité mais, le feu d'HESTIA servait aussi aux sacrifices. Les fêtes en son honneur sont rares par toute la Grèce, le culte de VESTA chez les romains est beaucoup mieux connu et plus important, bien qu'il semble avoir existé un feu perpétuel antérieur, celui de CACA, également déesse romaine du foyer et du feu.

Dans la mythologie, HESTIA n'est pas toujours considéré comme faisant partie du canon Olympien ce qui explique qu'assez peu de mythes évoquent cette divinité modeste. Elle ne sortit jamais de l'Olympe et ne participa à aucun combat entre les dieux ou les hommes. ZEUS reconnaissant, lui accorda la première victime de chaque sacrifice public parce qu'elle avait su protéger la paix de l'Olympe. Elle fit le serment solennel, en touchant la tête du maître des dieux, qu'elle resterait vierge éternellement. A Delphes, HESTIA était l'objet d'un culte particulier, parce que cette ville était considérée comme le centre du monde, et son foyer était donc le foyer commun de la Grèce.




HESTIA n'est pas la Vierge Mère, la comparaison avec le monde indien permet de comprendre que le Feu a été conçu anciennement comme fils de mères et nourrices virginales. Ce sont ces figures qui expliquent la virginité d'HESTIA et le fait que des jeunes filles sont affectées à l'entretien du feu perpétuel de VESTA qui n'est qualifiée de Vierge que tardivement par assimilation à HESTIA. Comme le jeune homme GANYMEDE (avatar du verseau), on la trouve sur des représentations servant de l'eau au maître du foyer (ou du harem), c'est à dire à ZEUS. Elle est peut-être un avatar de ISIS (Aset), la jeune femme chez les égyptiens.

Certains historiens pensent qu'elle est liée à des rituels et à un culte du phallus. En effet, cette prétendue virginité se concilie mal avec le qualificatif de « mère » qui est attribué à VESTA. De plus, la présence d'un phallus dans l'aedes Vestae constitue une difficulté supplémentaire. Enfin, VESTA a pour attribut l'âne qui est l'animal de PRIARPE et des SATYRES chez les romains, mais ce sens il représente l'animal qui la sauva de PRIARPE, il est dit qu'un âne braya bruyament mettant en fuite le penaud. HESTIA résista donc à toutes les avances amoureuses et ZEUS lui promis de rester toujours vierge.

Le membre viril (fascinus) dont la représentation était conservée au temple de VESTA est également un symbole du Feu divin. Il représente la tarière servant à produire le feu dans le foyer du foret à feu. Cette présence du Feu divin explique l'obligation de chasteté faite aux Vestales. Le Feu est décrit comme un mari jaloux, car mères et nourrices du Feu, elles en sont également les épouses. Il en est de même pour HESTIA et VESTA qui ne sont pas des Feux divins mais les épouses d'un ancien dieu Feu disparu.


GOG ET MAGOG

Certains sont d’avis que le " PAYS DE MAGOG " dont il est question dans les chapitres 38 et 39 du livre d’Ézékiel fait référence aux tribus SCYTHES. Nous ne savons pas comment ils disparaissent exactement, mais certains pensent que, ramollis par leur goût de l’opulence, ils sont tombés devant un nouveau peuple asiatique nomade, les SARMATES, aux Ier et IIe siècles avant notre ère, d'autres penses qu'ils sont les anciens peuple d'Asie désormais ASHKENAZ d'Ukraine et de Crimée, après une migration et la conversion au judaïsme par le roi des KHAZARS.




MAGOG apparaît 5 fois dans la Bible et 2 fois dans le Coran. Ce nom désigne soit une personne, soit une peuplade, soit une réalité géographique (pays ou ville) ou encore un système satanique. GOG serait donc un nom de personne ou de peuplade et MAGOG un nom de lieu. Le texte est énigmatique, mais les noms semblent liés à une bataille contre les Juifs qui annoncera la venue du Messie. Dans le livre d'Ézéchiel, les peuplades païennes MAGOG vivent « au nord du Monde », et représentent métaphoriquement les forces du Mal. Dans le livre de la Genèse et le premier livre des Chroniques, MAGOG désigne un des sept fils de Japhet, fils de Noé. Les fils de Japhet sont souvent associés avec l’Asie mineure.

Dans le livre d'Ézéchiel, GOG est prince de MAGOG, chef de Méshek et de Tubal. Il envahit ou prend le contrôle d'Israël et affronte la colère de Dieu. En référence au nouveau testament chrétien, on retrouve GOG et MAGOG dans l'Apocalypse de saint Jean : « Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, GOG et MAGOG, afin de les rassembler pour la guerre » (20:7). Le général et historien juif Flavius Josèphe en témoigne, il désigne alors des peuples païens coalisés contre le Peuple de Dieu.

GOG serait le prince des SCYTHES, des Mosques et des Tibaréniens. et MAGOG peut donc désigner les SCYTHES et autres peuplades établis en Asie, comme GOMER les établissements des Cimmériens dans cette même région qui serait la CRIMEE, avant de partir plus tard à cause du climat et des invasions. Dans ce cas, il se rapporte à la fin du monde et au combat cosmologique du bien et du mal. GOG et MAGOG (Gog et son pays) désigne alors les alliés du mal. GOG habitait la terre de MAGOG, et est appelé « prince de Rösh (Vulgate : caput; Septante : Rôs), de Mosoch et de Thuhal ». Lors de l'expansion de l'empire MONGOL au XIIIe siècle, les qaghans Guyuk et Möngke furent aussi assimilés à GOG et MAGOG.


Gog et Magog mangent les gens (Thomas de Kent / Bnf)

Ils sont aussi connus sous le nom de Yajouj et Majouj dans la religion islamique. Ce sont deux peuples apparaissant comme un signe apocalyptique de la sourate 18 (La caverne). À partir du VIIIe siècle avec la menace grandissante que représentaient les Turcs à l’est, divers écrits d’auteurs musulmans assimilèrent les Turcs aux GOG et MAGOG décrit dans le Coran. La localisation estessentielle pour les auteurs musulmans de l’époque médiévale. Certains localisent MAGOG à l’extrême nord dans les terres inhabitées.

Pour d'autres ils sont aux bouts des steppes à la frontière des KHAZARS en Transcaucasie (au sud de la chaîne du Grand Caucase constituant la Géorgie, l'Arménie et l'Azerbaïdjan). À partir du Xe siècle, la localisation de la barrière (les montagnes) à l’extrême Nord prévaut. GOG et MAGOG sont alors identités aux populations finno-ougriennes.

Al-Marwazi décrit ces peuples du nord comme agressifs et ignorants. Ce sont les Wîsû du nord de l’Europe qui informent les Bulgares de l’existence de ce peuple « ils vivent nus et sont séparés de nous par la mer sur la rive de laquelle ils habitent. Ils s’accouplent comme des bêtes ». Fadlan rapporte les propos recueillis chez les Bulgares de la Volga concernant un géant originaire de ce peuple.

En transposant les anciens textes avec notre époque moderne, GOG et MAGOG sont les adeptes de cet ancien culte caché au monde installé dans le coeur de notre système sous couverture des religions et des Nations, et leur Dieu est GOG, que l'on pourrait assimilé à JUPITER / ZEUS sous toutes ses formes.

La prophétie est également présente dans le Talmud Yeroushalmi (de Jérusalem). Méschekh est traduit comme Missia, et le Pené Moshé commente en disant qu'il s'agit de Moscou. Le Midrash (Méthode d'exégèse rabbinique) précise que GOG ou MAGOG possède une guématrie de 70, car les 70 peuples du monde se retourneront contre Israël. Selon un autre Midrash, les peuples du monde vont entrer en guerre les uns contre les autres avant de tous venir contre Israël car le Messie est sur Terre.

Moshé, à la fin de la Torah, donne également une prophétie : « Vous serez frappés par le mal à la fin des temps » et le Ba'al Hatourim relève que les initiales en hébreu de cette phrase forment le mot GOG. Cette guerre finale fera rentrer le monde dans l'ère messianique et le véritable peuple Juif sera sauvé pour ne plus être asservi, c'est à dire que le peuple juif sera purifié de ses mécréants en son sein et de ses convertis non sincères, qui vont disparaître. Ces mécréants sont les adeptes du Talmudisme babylonien et satanique.





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