« Au début de
l'ère spatiale et à l'époque des
expéditions lunaires, les modules habités
envoyés vers la Lune étaient toujours
escortés d'un astronef extranéen (entendez :
dorigine extraterrestre). Le 20 Novembre 1990, une
chaîne de télévision nationale a
annoncé quun objet de forme ronde, de couleur
rouge rayonnante et séparé de la navette
spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long
de sa dernière mission militaire. Ce fut la
première et dernière reconnaissance publique
de la chose.
Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même
filmé la base lunaire surnommée LUNA. Les
photographies officielles de la NASA révèlent
des structures en forme de dômes, de spirales, de
larges structures circulaires qui ressemblent à des
silos, de même que d'immenses véhicules miniers
en forme de T qui tracent sur la surface de la Lune des
marques semblables à des cicatrices laissées
sur la peau par des points de suture. On y voit aussi divers
types d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres
beaucoup plus petits.
Il s'agit dune base
américano-soviéto-aliénigène. Le
prétendu programme spatial de la NASA baptisé
Apollo ne fut en réalité qu'un leurre
excessivement coûteux, destiné à
détourner lattention de lhumanité,
et la solution 3 n'est pas de la science-fiction.
(En 1957 se tint un symposium réunissant les plus
grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci
arrivèrent à la conclusion que, vers l'an
2000, en raison de l'accroissement de la population et
à cause de l'exploitation de l'environnement, notre
planète ne pourrait éviter la destruction sans
une intervention divine ou extranéenne).
Le président Eisenhower émit un
décret-loi secret ordonnant à la
Société Jason d'étudier ce
scénario et de lui soumettre ses recommandations. En
guise de recommandations, la Commission Jason
présenta trois solutions alternatives appelées
« Solutions 1, 2, et 3. »
Solution
1: Percer la
stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions
nucléaires, d'immenses brèches à
travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient
s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer
les mentalités à moins exploiter
l'environnement et à davantage le protéger.
Des trois solutions, c'était la moins susceptible de
réussir, d'une part, en raison des tendances
inhérentes de la nature humaine et, d'autre part,
à cause des dommages supplémentaires que des
explosions nucléaires ajouteraient à
l'environnement. Lexistence dun trou dans la
couche dozone tendrait cependant à
étayer lhypothèse que la solution 1
pourrait avoir été essayée. Ceci
nest en tout cas quune conjecture.
Solution
2: Construire un
vaste réseau souterrain de villes et de corridors
dans lequel une élite de toutes les cultures et de
toutes les sphères d'activités serait
appelée à survivre pour perpétuer
l'espèce humaine.
Quant au reste de l'humanité, elle serait
laissée à elle-même à la surface
du globe. Nous savons que ces installations ont
été construites et sont prêtes et en
attente des personnes à choisir.
Solution
3: Exploiter la
technologie planétaire et extranéenne afin
qu'un petit nombre d'élus puissent quitter la Terre
et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos.
(Note de Milton W. Cooper à propos de la solution 3
extraite de son livre : Je confirme que des contingents
d'esclaves ont déjà été
expédiés, dans le cadre de ce projet, en
qualité de main-d'uvre. La destination
première est la Lune - de son nom de code Adam - et
la seconde est Mars - de son nom de code Eve. Jai en
ma possession des photographies officielles de la NASA de
lune des bases lunaires. Je pense que la colonie sur
Mars est déjà aussi une
réalité.) .
Les astronautes des missions Apollo ont appris tout cela
à leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont
éprouvé n'a pas été sans
affecter leur vie, comme en témoigne leur
comportement par la suite. Ils ont de plus été
contraints de se soumettre à la dure
réalité de la conspiration du silence : on
leur a ordonné de taire ce qu'ils avaient vu, et on
les a avertis quen cas de non respect de cet ordre,
ils s'exposaient à la procédure dite
«expéditive». Lun des astronautes a
tout de même osé collaborer avec des
producteurs TV britanniques, à loccasion
dun documentaire diffusé dans le cadre
dun programme intitulé « Rapports
scientifiques », et admis que la Solution 3
était bien une réalité.
Les quartiers généraux de la conspiration
internationale qui vise à mettre en place la Solution
3 sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant
est constitué de 3 comités constitués
de 13 membres chacun ; ces 3 comités
réunissent donc un total de 39 membres qui
constituent le comité exécutif du corps connu
sous le nom de groupe Bilderberg.
Depuis que nous avons commencé à pactiser avec
les aliénigènes, nous avons acquis une
technologie qui va bien au-delà de nos rêves
les plus fous. Nous possédons et faisons voler
actuellement au Nevada des engins de type
anti-gravitationnel alimentés à
lénergie nucléaire. Nos pilotes ont
déjà fait des voyages interplanétaires
dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et
dautres planètes. On nous ment au sujet de la
vraie nature de la Lune, des planètes Mars et
Vénus, et de létat réel de la
technologie que nous possédons aujourdhui,
à ce moment même.
Il existe des régions sur la Lune où se
développe une vie végétale. Les plantes
y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi
des saisons sur la Lune contrairement à ce que
lon pense généralement. Il y a
même des lacs artificiels ainsi que des étangs
sur sa surface, et des nuages ont été
observés et filmés dans son atmosphère.
La pression atmosphérique lunaire étant
beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes
doivent s'y adapter selon une technique de
dépressurisation analogue à celle des
plongeurs en profondeur. Cette pression est néanmoins
suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de
revêtir une combinaison spatiale. Ils peuvent se
déplacer à sa surface et marcher munis
simplement d'une bouteille d'oxygène.
J'ai en ma possession des photographies originales de la
NASA à ce sujet. Quelques unes ont été
publiées dans le livre de Fred Steckling
intitulé We discovered Alien Bases on the Moon et
dans Someone Else is on the Moon.
En 1969, une confrontation a opposé les
Soviétiques et les Américains sur la base
lunaire. Les Soviétiques ont essayé de prendre
le contrôle de la base et ont pris les scientifiques
américains et le personnel en otages. Nous avons
réussi restaurer lordre, mais au prix de 66
morts ! À la suite de cet incident, les
Soviétiques ont suspendu leur participation au
programme pendant une période de 2 ans. Il y a eu
finalement réconciliation et nous avons
recommencé à travailler ensemble. »
Extrait traduit de "Behold a pale horse", écrit en
1989-1990 par Milton William Cooper et publié aux
Editions Light Technology
P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336 U.S.A.
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