De source sure, après chaque
ouverture réelle d'un silo, un ovni le survolait dans
les 48 heures. Un immense vaisseau porteur plafonnait
à une altitude de quelques milliers de mètre
et larguait des sphèroïdes d'observation
rapprochée. Un projet avait même vu le jour
pour tenter d'observer ce phénomène. Les
nombreux témoignages sur le plateau d'Albion
proviennent tous plus ou moins des mêmes sources, ils
ont été recueillis par Jimmy Grieu.
Un instituteur à la retraite se promène
à travers le chantier
Au début des années 1970s, un soir,
après l'arrêt des travaux de la journée,
un instituteur à la retraite se promene à
travers le chantier lorsqu'il tomba nez à nez avec un
être de petite taille, à la tête
volumineuse, à la peau grise, qui le fixe
brièvement de ses grands yeux obliques avant de
disparaître. Médusé, sans cacher la peur
qu'il avait éprouvé, le retraité narre
son histoire à une autre personne.
Témoignage d'un appelé affecté
à Albion en 1981
« J'étais dans les commandos de l'air
3ème compagnie. A l'époque, notre mission
était bien entendu la défense de la base de St
Christol dont je faisais partie. Le plateau d'Albion
disposait avant sont désarmement de 18 Zones de
Lancement de missiles atomique, de 2 Poste de Commandement
de Tirs et un en construction à l'époque...
Les commandos étaient chargés d'effectuer des
patrouilles régulièrement sur les
différentes zones, dont la destination nous
était donnée au dernier moment par radio en
message codé lorsque nous quittions la base. Nous
devions effectuer ces patrouilles environ toutes les 2
heures. la patrouille qui rentrait devait réveiller
la relève qui prenait une mission vers d'autres
zones. Un matin, je me suis réveillé vers 6 h
et j'ai cru avoir raté ma patrouille qui était
prévue vers 2 h et m'être rendormi.
Après renseignements auprès du sous officier
de semaine, il n'en était rien. La patrouille
précédente avait déclenché
l'alerte dans la nuit, signalant un objet non
identifié en stationnement au-dessus de la ZL n°
? Dès lors, la gendarmerie mobile de la base et
l'équipe d'intervention des commandos ainsi que le
général de la base s'étaient rendus sur
les lieux. L'alerte avait été donnée
comme il se doit à la hiérarchie. Le
surlendemain, un tout petit article dans le journal "le
Provençal" précisait en quelques lignes
brèves cet événement mais sans plus.
C'était un sujet de discussions sur la base pendant
quelques jours puis plus rien. Personne n'avait
d'élément complémentaire. Cela restait
donc une énigme. Quand je racontais çà
dans mon entourage et au cours de discussions relatives aux
phénomènes, je passais pour un
demeuré.
10 ans plus tard, en 1991, alors que je regardais une
émission télévisée sur les
phénomènes extra-terrestres, j'apprenais que
ce fameux jour en 1981, les contrôleurs aériens
avaient repéré par radar un ovni venant
d'Espagne et se dirigeant vers les Pays de l'Est. 2 Mirages
2000 décollaient de la base d'Istres pour prendre en
chasse l'objet lorsqu'il est entré dans l'espace
aérien français. Cet ovni a donc
été repéré et observé par
plusieurs dizaines de personnes et non des moindres :
contrôleurs aériens, commandos, gendarmes
mobiles, station météo et certains
gradés de la base dont le général.
L'ovni quant à lui avait disparu, ne laissant
à l'aviation aucune chance de pouvoir le rejoindre.
Tout ceci à priori, s'est déroulé
très rapidement. Néanmoins nous avons eu des
informations réelles de ce qui s'est passé 10
ans après l'événement... De plus,
à cette époque, j'habitais dans un village du
Vaucluse, ou il nous est arrivé mon père et
moi-même, de pouvoir observer à deux reprises
des formes lumineuses passer à très grande
vitesse dans le ciel et à courtes distances, mais
nous n'en avions jamais parlé à personne pour
les raisons que vous savez... »
Un appelé Maître Chien à la fin des
années 80 (témoignage enregistré le 10
octobre 1990)
« J'ai été témoin de faits
troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis
vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement
étrangers à la base prennent le contrôle
de celle-ci pendant plus ou moins 48 h. Ils arrivent en
convoi spécial, camions et voitures de couleur noire,
leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont
très grands avec une peau de couleur très
blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces
hommes ne se mélangent jamais avec les autres
militaires de la base et ils prennent le contrôle
total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par
camions spéciaux et on ne peut que les apercevoir que
la nuit.
Un soir j'étais de garde avec mon chien et je suis
passé à proximité d'une grande salle en
sous-sol qui ne possédait que quelques petites
fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites
fenêtres mon chien est devenu très nerveux,
j'ai alors regardé par une de ces fenêtres et
là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit
était totale et personne ne pouvait m'apercevoir.
Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes
s'est retourné en direction de cette fenêtre -
comment a-t-il su que j'étais là, je ne le
sais pas - à ce moment là une peur
incompréhensible s'est emparée de moi et mon
chien est devenu complètement fou. J'ai tiré
mon chien et je suis parti très vite continuer mon
tour de garde.
Un autre soir étant encore de garde,
j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement
sécurisé des faisceaux de lampes torches comme
si quelqu'un cherchait quelque chose, la base était
depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum
d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette
anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon
chemin et que je n'avais rien vu.
Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de
garde j'ai consigné cette observation sur un
carnet.
Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire
que ceux que j'avais vu la nuit précédente
était certainement une hallucination. Par la suite en
rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait
été fracturé et mon carnet de note
ainsi que mon appareil photo avaient disparu.
Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des
photos de certaines choses anormales et il avait aussi
dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a
retrouvé mon ami sauvagement tabassé à
l'extérieur de la base et bien sûr son placard
avait été vidé complètement.
Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que
celle ci, en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ?
Ces blessures étaient tellement graves qu'un
hélicoptère est venu le chercher pour le
rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran
à Marseille.
Quand ces commandos étaient sur
la base, on avait interdit aux maîtres chiens
certaines zones, l'explication des officiers étaient
que "les chiens sont trop sensibles".
Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand
les commandos étaient sur place tous les soirs ils
hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la
tète contre les grilles de leurs cages et cette
situation était invivable. Au lever du jour tout
redevenait normal.
Le vétérinaire - appelé du contingent
et faisant des études pour devenir
vétérinaire - était très
étonné de la réaction
incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir
plus et a fait des prélèvements de salive et
de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a
ordonné de laisser tomber ces analyses.
Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade
et un autre vétérinaire totalement
étranger à la base est venu le chercher. J'ai
protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le
soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers
moi en me disant "c'est une affaire top secret". Par la
suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait
subi une autopsie. »
Hommes en noir (1991)
Le témoin travaille sur la base. Il confirme
qu'effectivement il arrive que des commandos investissent le
plateau d'Albion (la description des uniformes et des hommes
concorde avec les autres sources d'informations). Ces hommes
effectivement ne se déplacent que de nuit et prennent
leurs repas indépendamment des autres militaires avec
des rations qui leurs sont expédiées pour
être totalement indépendant.
Observation d'Ovnis (1991)
Un officier de réserve du plateau d'Albion affirme
que les pilotes d'hélicoptères de cette base
ont à plusieurs reprises vu des ovnis sur le site et
qu'il existe également un dossier top secret "ovni"
avec des photos de ces engins. Il affirme également
que des engins ont été observés
pratiquement au ras du sol.
Découvert spéléologique
Des spéléologues amateurs décident
d'explorer un gouffre à proximité du plateau
d'Albion. Ils progressent dans diverses galeries et puits,
et arrivés à un 3ème puits ils
décident de prendre un peu de repos. Un des
spéléologues Mr X décide de poursuivre
et descend dans le puits. Arrivé au fond de ce puits
il aperçoit une lumière bizarre, il avance et
s'aperçoit que cette galerie est en fait une
ouverture artificielle donnant dans une immense salle au sol
blanc, lisse comme un miroir et éclairé par
une lumière orange sans source apparente. Dans cette
salle se trouve 5 ou 6 fauteuils blancs et de formes
bizarres. Inquiet il décide de remonter vers ses
camarades pour leur faire part de sa découverte. Les
spéléologues décident donc de refaire
surface et de revenir avec appareils photos et caméra
vidéo. Quelques temps plus tard Mr X décide de
revenir explorer ce gouffre, mais arrivé au
3ème puits, celui ci avait été
totalement obstrué par une dalle de
béton.
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