LA CONSPIRATION DE LA TERRE PLATE

IIn nomine sancte et individue Trinitatis, Patris et Filii et Spiritus sancti, amen, Frater. Amen

Une théorie du complot d'Abelard Reuchlin raconte que les membres de la famille Piso sont les véritables
auteurs du Nouveau Testament. Toutefois, cette thèse n'est pas partagée par la communauté scientifique.

Un des livres les plus reconnus qui a été publié en Amérique depuis dix ans est un livre d'histoire intitulé The Discoverers (Les Explorateurs) par Daniel Boorstin, ancien président de la Bibliothèque du Congrès des États-Unis à Washington. Concernant l'histoire de la perception que l'homme avait de la géographie du monde, il affirme ceci :

En Europe, un grand phénomène d'amnésie académique a affligé le continent de 300 ans après J.C à 1300 ans après J.C. Durant ces siècles, la foi Chrétienne et ses dogmes ont supprimé l'image pratique du monde qui avait été si lentement, si soigneusement et si scrupuleusement dépeinte par les anciens géographes. Boorstin démontre comment les Grecs connaissaient le fait que la terre était une sphère et comment ils avaient calculé sa circonférence de très près en s'aidant des documents Egytiens qui'ls avaient.

Il a appelé le temps qui suivait l'amnésie académique , la grande interruption et il ajoute que durant cette période d'ignorance, l'ancienne notion que la terre était plate à été réintroduite par des versets bibliques. Il cite comme autorité de l'église Cosmas Indicopleustes. Le récit historique de Boorstin est typique de plusieurs auteurs, cependant les faits démontrent qu'il en est autrement.




En 350 avant JC Socrate, était condamné par un tribunal partisan du boire la ciguë qui est un poison mortel à la suite de ses enseignements interdits. Tous ses élèves eurent mailles à partir à un moment ou à un autre avec les autorités grecques pour avoir eux-mêmes participés à ces enseignements païens.

Les premières véritables censures connues furent effectuées par un roi égyptien Aménophis IV qui vécut en 1500 avant JC. Faisant suite à une période trouble de laquelle naquit le nouvel Empire égyptien, faste et prospérité s’ensuivirent. Lorsque Aménophis IV prit possession du trône, il procéda rapidement à des réformes dites « religieuses » visant à promouvoir le culte du soleil en tant que Dieu unique. En l'an 5 de son règne, Akhenaton ordonne de marteler les temples, un martelage systématique de ce qui réfère aux anciennes croyances est entrepris, les images et les noms des dieux sont effacés tels Amon, Netjerou et Shou. Le monothéisme du nouveau roi causa beaucoup d’émoi à travers les prêtres du temple. À la mort d’ Aménophis IV, son nom est à son tour victime d’une campagne de martelage alors qu’il est effacé des murs de tous les temples.

Aménophis a t’il décidé qu’il en avait assez de contrer la jalousie et les incessantes guerres provoquées par la possession de cette science, nul n’en sait. Mais quelles que soient ses motivations, sa volonté n’était pas de faire disparaître cette ancienne science à tout jamais, son souhait était de faire disparaître cette ancienne science aux yeux du peuple. Ces connaissances étaient beaucoup trop importantes aux yeux de la royauté pour être simplement effacées de la surface de la terre. Ne serait-ce que la science médicale si importante pour vivre ou sauver un être cher ou la connaissance de la guerre si importante pour un royaume fort. La censure ne s’arrêta pas là bien au contraire. À une époque ou le maître du royaume était aussi maître de ses sujets, une telle volonté ne pouvait être ignorée. Aussi l’oracle magicien du peuple, cet avide de la magie ancienne n’avait d’autre choix que de se plier ou devenir paria.

Les siècles suivants virent l’apparition d’une magistrature chargée de mettre en force la loi réprimant ce contact avec ce qui devait s’appeler les croyances païennes. L’histoire nous enseigne que beaucoup choisirent de périr ou de s’exiler, n’acceptant pas de se plier à la mascarade de leur classe royale et préférant la vérité. Mais la soumission au Roi n’était pas un marché de dupe, si l’hurluberlu était réprimé, en revanche celui qui était doué bénéficiait d’avantages significatifs dans la hiérarchie, ne serait-ce que pour permettre à la classe royale de mieux comprendre ce savoir mystique ou encore de s’allier des gens qui possédait beaucoup d’influence sur leurs semblables.

Si pour le reste du Nouvel Empire égyptien la censure fut appliquée par décret royal, elle le fut aussi au temps de la Rome Antique qui était aussi une monarchie. Si les richesses étaient l’un des objectifs des conquêtes romaines, l’accumulation de ce savoir en était la principale raison et puisqu’ils leurs facilitaient les conquêtes et la boucle était bouclée.

Durant les 500 années précédant JC, des poches d’individus ayant conservé des bribes de science se manifestèrent à nouveau. Alexandre le Grand effectua un grand ratissage de l’ancienne science dans le monde et plaça le tout dans une grande bibliothèque du savoir ancien que l'on connait comme étant " La Grande Bibliothèque d’Alexandrie ", un haut lieu du savoir possédant plus de 700,000 volumes.

Pythagore de Samos, Thales, Socrate, Hippocrate, Democritos, Platon, Aristote, Erathostenes, Aristarchos, Ptolémée. Tous ces hommes qui nous ont laissé les premiers témoignages connus de la science sont grecs et ils nous ont tous laissés des enseignements de grandes valeurs encore en usage aujourd’hui. Tous vivaient à l’époque de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie Le roi de la Rome Antique était le seul à avoir accès aux reliques antiques. Les choses changèrent en 510 avant JC lorsque le dernier roi fut jeté dehors lors d’une révolution qui mena à l’établissement de la république romaine.

La tâche religieuse attribuée précédemment au roi fut transférée à un poste nouvellement crée appelé « REX SACRORUM », ce qui signifie « Roi des choses sacrées » et était nommé par le pontifex maximus, chef prêtre de la religion de l’état romain. Le pontifex maximus qui signifie « le constructeur de pont », avait récupéré la plupart des tâches religieuses incombant au roi et comme lui, il était le seul à avoir accès au reliquaire sacré. Le dernier à tenir le rôle de pontifex maximus fut Jules César et Aemilius Lepidus. Au 5ème siècle, le titre de Rex Sacrorum fut transféré au Pape qui l’utilise depuis.

La capture du savoir ancien et des richesses était les objectifs des conquêtes romaines. Très rapidement, ils se rendirent compte que cet ancien savoir n’était pas aussi facile à récupérer que les richesses. Alors que les souverains n’hésitaient pas à recouvrir d’or les toits de leurs palais, les reliques de l’ancienne connaissance qui avaient été sacralisées par les legs sur plusieurs générations étaient irremplaçables et étaient gardées à l’abri. Puisque les peuples conquis n’étaient pas aussi « volontaire » à remettre à l’occupant ce qui constituait un trésor ancestral, les romains n’avait d’autre solution que d’occuper les terres conquises afin de ratisser convenablement ce qu’il y avait à ratisser
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Au milieu du premier siècle de notre ère, alors des Tibère, Caligula, Claude et Néron se succèdent à la tête de l’emporium, les populations juives composant plus de 10% de la population romaine devenaient un problème croissant avec leurs éthiques et leurs moralités incompatibles à l’Empire romain. D’autant que la tradition juive, expression d’une profondeur non équivoque, transportait beaucoup de ces connaissances ancestrales à l’intérieur même des préceptes de sa religion, faisant des références beaucoup plus directes et irritantes pour ceux qui ne souhaitaient pas voir ce sujet étalé. Les plus irrités parmis ceux-ci faisaient parti d’une puissante famille de l’aristocratie romaine les « Calpurnius Piso ». Cette irritation n’avait rien à voir avec la protection du peuple ou la protection de l’exclusivité romaine de ce savoir, mais bien leur propre exclusivité.

C’est à ce moment que cette famille formenta les bases de ce qui devait être l’arnaque de la Terre Plate.


LA FAMILLE PISON

La famille PISO (ou Pison) descend de Philippe II de Macédoine (359-336 AV JC). Philippe était le père de deux fils, Alexandre le Grand et de Lagos. La lignée De Piso descend de Lagos à travers les nombreux Rois de la dynastie des Ptolémées (rois originaire de grèce en Égypte et descendant d'Alexandre le Grand) en y incluant la reine Cléopâtre, cette dernière et Marc-Antoine son amant vont perdre la guerre contre Rome, notament à cause d'une trahison du Roi HERODE de la province de JUDA (Egyptienne à l'époque).

En leur temps,les PISO sont bien reconnus comme de grands écrivains. Ils étaient membres de la société secrete et fermée du zoroastrisme, et les prêtres du temple de Zela dans le pays de Pontus sur la côte sud de la mer Noire. La famille aurait été trahie par JULES CESAR, à bien des égards. La plus grande partie de l'histoire du christianisme est fondé sur la vengeance prises par la famille PISO contre JULES CESAR, en remplaçant à la tête de la religion d'État romaine par une autre.




La famille PISO avait de nombreuses raisons de hair Julius Caesar. Il avait fait la guerre contre leur patrie, trahi son épouse CALPUNIA, qui était une PISO, comploté avec le peuple juif contre Alexandrie, qui est un autre bastion des PISO. En plus de tout cela, il a été populiste et allait à l'encontre des Royautés, et on le soupçonna que s'il devait devenir dictateur, il pourrait même abolir l'esclavage et à cette époque soixante pour cent de la population de l'Empire romain étaient des esclaves.

Le génie manichéen des PISO, affûté par des décennies d’intrigues et de manigances aristocratiques et politiques, pouvait encore s’apercevoir lorsque Arius Calpurnius Piso provoqua délibérément la révolte des peuples sémites (désormais les Juifs) en 66 de notre ère. Grâce à ce stratagème il pu détruire le temple de Jérusalem et prendre les reliques et textes sacrés. Gaius et Lucius Piso étaient tous les deux mariés avec la petite fille « d’Hérode le Grand ». Les attaques répétitives des extrémistes religieux Judéens soulevaient des insurrections contre les dirigeants « Hérodien » qui avaient des relations avec la femme des PISO.

Ils décidèrent donc de créer un nouveau livre de religion de type sémitique en s'inspirant des anciens textes, ce nouveau livre serait une méthode idéale de résoudre les insurrections et de raffermir le contrôle de la région. Dès 70 de notre ère, Arius Calpurnius Piso écrivait en séquence les évangiles de Mathieu, celui de Marc et celui de Luc avec l’aide de Pliny le jeune en s’assurant d’intégrer à cette fiction des relations avec des personnages réels de l’époque. Arius s’inséra lui-même en jouant non seulement le rôle du faux christ JESUS mais eut aussi un plaisir particulier à jouer celui de JOSEPH. Son souhait était ainsi de créer un nouveau héros oriental et sémitique, un sauveur. La christianité, le nouveau testament, l’église, Jésus, Jean le batiste, Joseph, Marie, Paul, les apôtres, les disciples, furent la création exclusive des Calpurnius PISO et n’ont aucune réalité historique.

Les PISO et leurs partenaires orthodoxes juifs et leurs descendants posséderaient l’exclusivité de cette science ancienne. Et puisque cette religion murerait les propos païens, ce petit groupe de gens sélect seraient donc les seuls à savoir qu’ils possèdent cette exclusivité, ce qui pourrait s’appeler de « l’exclusivité anonyme ». N’est-ce pas là le meilleur atout de toute guerre ? La destruction des temples païens arracha le cœur des petites cités romaines. Lorsque le voile de la Terre Plate se déploya, les fenêtres de verres et les planchers de mosaïque fine disparurent pour mille ans.

En 200 après JC, à la mort de Ptolémée et à la destruction de la bibliothèque d’Alexandrie par les chrétiens, la science s’arrêta subitement. Pendant le millénaire qui a suivi, il n’y eut aucun développement de la science dans les pays d’Europe. Dès le 3 ième siècle, l’organisation de la chrétienté devenait l’unique repositoire de l’ancienne science pour les pays à dominance chrétienne et juive. De plus l'organisation de la chrétienté devint responsable du nettoyage culturel à travers le monde par tous les moyens possibles. Avec la religion, état sans territoire, il devenait facile d’investir une contrée sous la raison de croyances pseudo mystiques, et pour peu que l’on grimpe dans la hiérarchie, les raisons devenaient rapidement des prétextes.

Le massif édifice du paganisme fut par la suite relié au Vatican par un passage secret au 6 ième siècle fournissant ainsi aux papes une façon facile de s’échapper. Lorsque que le manuscrit du nouveau testament fut finalement prêt en 535 après JC, 3 millions de versets furent réduits à 150.000, le reste fut acheminés aux bibliothèques de la Terre Plate. Au fil du temps la pression chrétienne auprès des princes et des rois d’Europe se résolut par mariage de famille interposée, jusqu’à ce que les PISO, MEDICIS et toutes les familles royales d’Europe aient un acointement génétique entres-elles.

Bien sur, aucun de ces gentilshommes ne souhaitait voir le « vulgare » capable d’interpréter quoique ce soit de la science ancienne si ce n’était pour leurs propres fins. Puisque la loi du silence prévalait, il n’y avait que le sang familial pour assurer un secret et là où il y avait du sang familial, le secret était assuré. Faut-il se surprendre du manque de scolarisation du peuple durant plusieurs siècles! Les siècles suivants furent marquants. Les cours royales s’articulèrent autour du roi, du ministre du culte, de l’astrologue, du médecin, du chevalier responsable de la guerre, le précepteur d’impôts et du chevalier noir responsable des tâches crapuleuses. Le Pape Grégoire le Grand devint l’un des plus important propriétaire d’esclave de l’Europe.

En l’an 500 jusqu’à l’an 1100 après JC, la science se développa avec rapidité à nouveau mais cette fois-ci dans les pays de l’Islam du moyen orient. Cet autre sursaut de la science fut brusquement stoppé par les croisades dont les chevaliers de la Terre Plate venaient récupérer la connaissance. En 1431, la fameuse sorcière Jeanne d’Arc fut brûlée sur le bûcher. Selon certaines estimations, les chrétiens auraient torturés, brûlés ou noyés 250.000 sorcières pratiquant des rituels païens Les hérétiques non repentants subissaient un sort peu enviable. Devant être exécutés devant la foule leurs bourreaux leur brûlaient le visage en présence de la cour royale. Ceux qui s’échappaient étaient brûlés en effigies. En 1252, le Pape Innocent IV démarra l’Inquisition contre les hérétiques en Italie.

L’inquisition était le racket d’extorsion le plus élaboré jamais imaginé. Non seulement il permettait aux Papes et aux Rois de mettre la main sur les bribes de ce savoir ancien ici et là, mais aussi détruire leurs porteurs et par la même occasion prendre possession de ses biens. Sous la menace de la prison, la sévérité des amendes était sans limite. Des milliers de « sorcières » ont été torturées et brûlées vivantes par les soldats de la Terre Plate au 15 ième et 16 ième siècle en Espagne, en Suisse, en Allemagne, en France. La torture par un inquisiteur demeura légale jusqu’à son abolition en 1816. Les Inquisiteurs étaient reconnus comme étant au-dessus de la Loi et leur autorité ou leurs décisions ne pouvant être remise en question.

Le terme Moyen-Âge tire son origine d’un nom composé qui fut forgé durant la Renaissance et qui signifiait « le moment ou l’homme n’a pas accompli de progrès », pour désigner la période qui s’étendait entre l’âge d’or antique et sa redécouverte, celle qui fut le siège de l’inquisition. Même s’il est généralement reconnu que cette période débuta en 500 après JC avec la chute de l’empire romain, compte tenu du peu d’information qui nous est parvenu de cette période, il serait beaucoup plus adéquat de réajuster cette date à la période d’Aménophis IV. Quoiqu’il en soit, après être passé par les croisades qui visaient à ramasser cette ancienne science sur le territoire de l’Islam, le Moyen-Âge se termina avec le début de la Renaissance et l’invention de la presse de Gutenberg, le voyage de Christophe Colomb et les inventions de Leonardo Da Vinci.


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Jusqu’à ce jour, l’élite royale de la Terre Plate s’était contentée de percevoir des impôts et de ramener au reliquaire toute référence à la connaissance ancienne, non sans oublier de nettoyer adéquatement ceux qui étaient susceptibles de transmettre la science païenne. Toutefois, les choses changèrent avec la poussée scientifique de l’Islam. Cette redécouverte fut durement réprimée par les brigades de la Terre Plate avec les Croisades. Période qui vit le jour des Templiers et des leurs descendants les Francs-maçons, période de la découverte du Saint Graal. Puis, les presses de Gutenberg démocratisaient le savoir. Il était temps d’ouvrir la valve du développement scientifique et de tramer des nouveaux héros qui porteraient le flambeau de la découverte pour l’organisation de la Terre Plate.

Leonardo DaVinci en fut un des premiers. Alchimiste, astrologue et peintre exceptionnel, l’histoire le retiendra toujours comme étant un artiste d’un grand talent. Un tel talent ne passait pas inaperçu aux yeux de « Laurent de Médicis le magnifique », descendant de la famille Calpurnius Piso. Il le prit donc sous son aile et lui ouvrit accès aux reliquaires de la science ancienne dans le but de les exploiter grâce aux grands talents de DaVinci.

Ceci ne se fit pas sans manière puisque du même souffle il le fit grand maître du prieur de Sion, une de ces organisations occultes bastion du savoir occulte et païens. Cette époque de Renaissance allait devoir être dirigée et pour ce faire Da Vinci serait d’un grand secours.


Talentueux en tout, il a inventé à la fois l’hélicoptère, les principales composantes d’un avion, le parachute, le sous-marin, les appareils de respiration sous-marine, les flotteurs de survie, les palmes de natations, un mécanisme de pompe, de turbine, de mesure de température de la vapeur, de creusage de puits à l’eau, de pont levis, de canaux, d’instrument de mise à niveau et de terrassement, de rétrochargeuse, de système de poulie, d’éclairage de rues, de rôtisserie à convection, de scie mécanique, de tour à bois au pied, de compas, de lentille de contact, fusil multi baril, d’arbalète géante, arbalètes multiples.

Il proposa aussi quelques théories scientifiques très à point, comme celle que la terre tourne autour du Soleil, celle que la lumière de la lune était en réalité une réflexion de celle du Soleil, il expliqua pourquoi des morceaux de coquilles provenant de la mer étaient retrouvés sur le dessus des montagnes. Il créa aussi le premier livre d’anatomie humaine, la Mona Lisa, le Dernier Souper, l’Adoration des Trois Rois, Le Baptême du Christ.

Voir: Invention des Religions


Vinci avait pu voir ces reliques étonnantes et incompréhensibles d’un âge ancien et ces armes effrayantes du reliquaire privé des Medecis et récupéré durant les dernières croisades. Et tous ces livres écrits dans des langages incompréhensibles avec des images semblables à des vues sur un autre monde. Bien évidemment que ce savoir ancien avait déjà été traduit à quelques reprises par les prêtres de la génération précédente et qu’en plus ils avaient laissé de la documentation sur des réalisations adaptées aux moyens de l’époque. Mais il ne fut sûrement pas chose facile pour Da Vinci d’arriver à débusquer des « inventions » d’époques, exploitables explicables, reproductibles, de façon à en cacher les origines. Il va sans dire que Laurent de Medecis dit Laurent le Magnifique bénéficiera d’un magistral pourcentage sur les différentes réalisations ainsi qu’un privilège à toute épreuve sur tout développement.

Durant ce temps, Hernan Cortez le conquistadore espagnole se dirigeait vers la nouvelle amérique, chargé par la Terre Plate d’enrichir le royaume et de faire le nettoyage de ceux qui portait le savoir ancien. Et il y avait beaucoup de gens qui portait le savoir ancien et nettoyage fut fait puisque 12.000.000 d’autochtones furent éradiqués sur les deux continents en 2 siècles seulement. Aussitôt l’implantation militaire complétée, les Jésuites, ces dignes alliés de la Terre Plate, particulièrement doués pour les manipulations machiavéliques, se dépêchaient d’envahir la région tout en faisant un inventaire très précis du matériel païen avant que les soldats ne saisissent tout, en rassurant l’histoire que les manuels étaient bien détruit par le feu.

Puisque généralement les temples Mayas ou Aztecs ou Indiens d’amérique soulignaient les îlots de survie du dernier déluge, les Jésuites urgeaient la construction de nouveaux temples en utilisant les lieus et les matériaux des temples païens. Ils colmataient les brèches et passages donnant accès aux sous-sols, détruisant ou enterrant tout ce qui pouvait donner des indices sur ce savoir. Lorsque la population locale devenait trop irritée de voir le passé sacré de leurs ancêtres être ainsi piétiné, on éliminait des couches de la population, maillon essentiel à la transmission de la connaissance de ces sociétés.

Bien sur l’organisation de la Terre Plate devrait aussi s’adapter à la Renaissance. Puisque l’orthodoxie religieuse ne possédait plus d’autorité sur le savoir à travers la chrétienté, cette autorité devrait se manifester autrement. Si la Renaissance devait avoir l’air d’une franche ouverture sur la libéralisation et la démocratisation du savoir, elle ne devra être en réalité que la mise en route d’un stratagème permettant d’écouler anonymement un distillat du savoir des anciens, tout en conservant une autorité différente de la chrétienté.

L’orthodoxie religieuse devint une orthodoxie scientifique.

Sous le couvert d’élitisme, le doué, celui qui avait soif de connaissances et qui était autrefois enrôlé dans une organisation religieuse à deux facettes, la facette populaire et la vraie, se retrouvait maintenant dans une organisation scientifique à deux facettes la populaire et la vraie.Le distillat du savoir ancien assurait aux brigades de la Terre Plate des places de choix aux Panthéons de ces nouvelles organisations leurs permettant une influence outrageuse. La grogne populaire devait être maintenue à un niveau tolérable.

Si dans le passé, le « vulgare » échangeait beaucoup sur le parvis de l’église, ce n’était plus désormais le cas. Une crainte certaine quant à la soi-disant impartialité de l’église et l’amélioration des moyens de communications et l’instruction populaire amenait une contrepartie à l’histoire écrite. Pour que l’histoire puisse continuer de représenter cette image « cousue de fils d’or », il devait y avoir un certain recul de la classe dirigeante de la Terre Plate d’avec les opérations. L’inquisition devait se poursuivre certes, mais dans le secret ou par l’utilisation de la manipulation populaire. Ce qui aurait pour résultat de cesser de ternir par la même occasion l’image de la monarchie et la chrétienté.

Ces problèmes trouvèrent leurs solutions avec la création d’une organisation chargée de réaliser ces tâches sous le parrainage étroit de la très puissante famille Rothschild, membre en règle de la Terre Plate et appelée «
ILLUMINATI ». L’avantage des Illuminati était significatif. Ils pouvaient se préoccuper de la logistique de coordination des conquêtes et du contrôle des pays à la place des cours royales. Ils auront donc plus de facilité à infiltrer les derniers refuges secrets de ces sciences ancestrales comme la société secrète des Francs-maçons ou celle des Templiers ainsi que beaucoup de « religions » natives qui devait suivre des plans couvrant parfois plusieurs décennies visant à régir l’opinion populaire.

Par leurs implications à la mise en place du système financier international, ils pourraient prendre plus facilement le contrôle sur les bénéfices reliés à l’exploitation de ces connaissances et sur les divers médiums d’informations qui manipulent l’opinion populaire. Ils seraient plus à même de conduire ces nouveaux groupes « mafieux » qu’étaient devenus les chevaliers noirs sans impliquer les chevaliers de la Terre Plate. Le territoire suisse devint le nouveau repositoire des richesses de la Terre Plate. Les différents reliquaires royaux ou privés seraient plus faciles à protéger.

Dorénavant, les guerres feraient le tour de leur territoire. Tant pour l’or que les reliques anciennes, ses lois pleines de trous étaient construites pour permettre l’introduction rapide et anonyme au pays et assurer la nouvelle propriété des anciens vestiges ou richesse. Que l’argent provienne de groupe mafieux siciliens ou qu’ils proviennent des dons non imposables reçu par l’église, des taxes ou qu’ils proviennent des multiples entreprises de l’organisation de la Terre Plate, il n’y avait qu’un seul canal possible. Puisque les religions n'ont pas à déclarer leurs revenues dans la majorité des pays du monde, et que la banque du Vatican est une banque suisse, toute aumône devient immédiatement une taxe non sollicité à l’organisation de la Terre Plate.

Pendant que l’exploitation du troupeau battait son plein avec la colonialisation, la science se développait en accord avec les volontés des chevaliers de la Terre Plate. Avec les places d’influences que les chevaliers possédaient des à l’intérieur des sphères de décision académiques, ils leurs étaient faciles de déterminer ce qui ne pouvait atteindre le grand public. DaVinci, Copernic, Galileo, Paracelse, Descartes, Kepler, Newton, Halley, Ampère, Darwin, Lavoisier, Montgolfier, Edison, Curie, Einstein, Mendeleïev, Nobel, Pasteur, Tesla, Von Braun, Oppenheimer. Ces personnages de renom de notre histoire ainsi que beaucoup d’autres encore se frottèrent à un moment ou à un autre sur cette science provenant du passé ou à l’organisation de la Terre Plate.

Dès que les lois permettant aux entreprises d’avoir plus d’un propriétaire unique, la Banque Royale d’Angleterre fut en mesure de devenir partenaire dans la vingtaine d’imprimeries qui existaient en Angleterre à cette époque. L’incessant harcèlement de la royauté contre des imprimeurs subversifs cessa, magiquement. Les imprimés subversifs cessèrent tout comme cessa la grogne du peuple. Notre société était née.


LES LYDIENS

Après la chute de l'empire phrygien, les Lydiens repoussent les Cimmériens au VI e siècle av. J. -C. : c'est le début de l'empire lydien, qui culminera avec le règne de Crésus. La Lydie est un ancien pays d'Asie Mineure dans l'acyuelle Turquie, proche de la mer Égée, dont la capitale était Sardes. Elle était connue par Homère sous le nom de Méonie et est parfois citée dans les légendes d'Héraclès et Omphale, d'Arachné, ou de Tantale et de Pélops (ancêtres des Atrides).

Les guerres de conquête de Crésus se retournent contre lui, et la Lydie est conquise par le perse Cyrus le Grand (546 avant notre ère) lors d'une contre-attaque. Annexée à l'Empire perse, elle devient la satrapie de Sardes. Selon Hérodote « toutes les filles, dans le pays des Lydiens, se livrent à la prostitution : elles y gagnent leur dot, et continuent ce commerce jusqu'à ce qu'elles se marient. Elles ont le droit de choisir leur époux. ».

La Boétie (Discours de la servitude volontaire) raconte :

« Xénophon, historien grave et du premier rang entre les Grecs, a fait un livre auquel il fait parler Simonide avec Hiéron, tyran de Syracuse, des misères du tyran. Ce livre est plein de bonnes et graves remontrances, et qui ont aussi bonne grâce, à mon avis, qu’il est possible. Que plût à Dieu que les tyrans qui ont jamais été l’eussent mis devant les yeux et s’en fussent servi de miroir ! Je ne puis pas croire qu’ils n’eussent reconnu leurs verrues et eu quelque honte de leurs taches. En ce traité il conte la peine en quoi sont les tyrans, qui sont contraints, faisant mal à tous, se craindre de tous.

Entre autres choses, il dit cela, que les mauvais rois se servent d’étrangers à la guerre et les soudoient, ne s’osant fier de mettre à leurs gens, à qui ils ont fait tort, les armes en main. (Il y a bien eu de bons rois qui ont eu à leur solde des nations étrangères, comme les Français mêmes, et plus encore d’autrefois qu’aujourd’hui, mais à une autre intention, pour garder des leurs, n’estimant rien le dommage de l’argent pour épargner les hommes. C’est ce que disait Scipion, ce crois-je, le grand Africain, qu’il aimerait mieux avoir sauvé un citoyen que défait cent ennemis.) Mais, certes, cela est bien assuré, que le tyran ne pense jamais que la puissance lui soit assurée, sinon quand il est venu à ce point qu’il n’a sous lui homme qui vaille : donc à bon droit lui dire on cela, que Thrason en Térence se vante avoir reproché au maître des éléphants :

Pour cela si brave vous êtes
Que vous avez charge des bêtes

Mais cette ruse de tyrans d’abêtir leurs sujets ne se peut pas connaître plus clairement que Cyrus fit envers les Lydiens, après qu’il se fut emparé de Sardis, la maîtresse ville de Lydie, et qu’il eut pris à merci Crésus, ce tant riche roi, et l’eut amené quand et soi : on lui apporta nouvelles que les Sardains s’étaient révoltés ; il les eut bientôt réduits sous sa main ; mais, ne voulant pas ni mettre à sac une tant belle ville, ni être toujours en peine d’y tenir une armée pour la garder, il s’avisa d’un grand expédient pour s’en assurer : il y établit des bordeaux, des tavernes et jeux publics, et fit publier une ordonnance que les habitants eussent à en faire état. Il se trouva si bien de cette garnison que jamais depuis contre les Lydiens il ne fallut tirer un coup d’épée.

Ces pauvres et misérables gens s’amusèrent à inventer toutes sortes de jeux, si bien que les Latins en ont tiré leur mot, et ce que nous appelons passe-temps, ils l’appellent ludi, comme s’ils voulaient dire Lydi. Tous les tyrans n’ont pas ainsi déclarés exprès qu’ils voulsissent efféminer leurs gens ; mais, pour vrai, ce que celui ordonna formellement et en effet, sous main ils l’ont pourchassé la plupart. À la vérité, c’est le naturel du mérite populaire, duquel le nombre est toujours plus grand dedans les villes, qu’il est soupçonneux à l’endroit de celui qui l’aime, et simple envers celui qui le trompe. Ne pensez pas qu’il y ait nul oiseau qui se prenne mieux à la pipée, ni poisson aucun qui, pour la friandise du ver, s’accroche plus tôt dans le haim que tous les peuples s’allèchent vitement à la servitude, par la moindre plume qu’on leur passe, comme l’on dit, devant la bouche ; et c’est chose merveilleuse qu’ils se laissent aller ainsi tôt, mais seulement qu’on les chatouille. Les théâtres, les jeux, les farces, les spectacles, les gladiateurs, les bêtes étranges, les médailles, les tableaux et autres telles drogueries, c’étaient aux peuples anciens les appâts de la servitude, le prix de leur liberté, les outils de la tyrannie.

Ce moyen, cette pratique, ces alléchements avaient les anciens tyrans, pour endormir leurs sujets sous le joug. Ainsi les peuples, assotis, trouvent beaux ces passe-temps, amusés d’un vain plaisir, qui leur passait devant les yeux, s’accoutumaient à servir aussi niaisement, mais plus mal, que les petits enfants qui, pour voir les luisantes images des livres enluminés, apprennent à lire. Les Romains tyrans s’avisèrent encore d’un autre point : de festoyer souvent les dizaines publiques, abusant cette canaille comme il fallait, qui se laisse aller, plus qu’à toute autre chose, au plaisir de la bouche : le plus avisé et entendu d’entre eux n’eut pas quitté son esculée de soupe pour recouvrer la liberté de la république de Platon. Les tyrans faisaient largesse d’un quart de blé, d’un sestier de vin et d’un sesterce ; et lors c’était pitié d’ouïr crier : Vive le roi ! »


LA REDECOUVERTE DE L'EGYPTE

Une Lumière dans la Nuit

Le 21 septembre 1799, poursuivant sa descente vers le Sud, l'armée de Napoléon Bonaparte est devant le Temple de DENDERAH. En le visitant, ils découvrent un magnifique planisphère représentant les constellations. Cette expédition est racontée dans le livre écrit par Sébastien Louis Saulnier et Claude Lelorrain, "Notice sur le voyage de M. Lelorrain en Égypte", Éditions Sétier, paru en 1822. Le disque Egyptien finit par être exposé au Musée du Louvre depuis le 20 ème Siècle après l'avoir été à la Bibliothèque Royale au 19 ème Siècle. Le Temple qui contenait le disque était ensablé durant des Siècles, ce qui explique sa conservation.




Le plafond sera découpé et ramené à Paris en 1821 où il est conservé. C'est aussi l'année du décès de Napoléon Bonaparte, mais l'empereur et les scientifiques avait déjà des croquis du ZODIAQUE. L’arrivée du ZODIAQUE à Paris fût un événement car il remet tout en question. Il est le précurseur de la Laïcité Française et de la Loi de séparation des Églises et de l’État en 1905.

C’est grâce à cette planisphère circulaire, que la France et d’autres pays ont pu devenir laïc puisque le socle du système et des religions sont sur ce disques, qui serait un simple horoscope romain. Tout est donc faux à partir du moment ou le système domine le monde avec au sommet le MAITRE ou DIEU.

L’élite de la Nation - composée principalement de francs-maçons - commence alors à changer, plusieurs loges s’inspirent de l'Égypte Ancienne. Il semble que Napoléon Bonaparte est été un Rosicrucien mais il meurt avant le grand décodage. Puis, en 1915 Harvey Spencer Lewis (1883-1939) fonde en Amérique l'ordre de l’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix (A.M.O.R.C), dont il fût aussi le premier Imperator. L'A.M.O.R.C. est totalement indépendant de la Franc-Maçonnerie et perpétue son héritage selon une méthode qui lui est propre. L'Ordre connaît un développement rapide, il est divisé en plusieurs groupes.

Finalement tout est caché, personne ne sait plus rien, ces chevaliers dans l'ombre n'appartiennent a aucune organisation, on ne sait pas qui ils sont.

Voir : Le Mystère du Zodiaque de Denderah



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