Toutefois, à partir de 1975,
lURSS a ouvert de nouvelles recherches de
Magnétohydrodynamique (MHD). Il sagissait
détudier la croute terrestre et de
prévoir les séismes. Les Soviétiques
étudièrent la possibilité de provoquer
de petits séismes pour en éviter un grand. Ces
recherches furent bientôt militarisées. Elles
aboutirent à la construction de Pamir, la machine
à tremblement de terre. Lors du
démantèlement de lURSS, des responsables
de ce programme décidèrent par appât du
gain de passer aux Etats-Unis, mais leur recherche
étant inachevée le Pentagone refusa de payer.
En 1995, alors que la Russie était gouvernée
par Boris Eltsine et loligarque Viktor Tchernomyrdine,
lUS Air Force recruta les chercheurs et leur
laboratoire à Nijni Novgorod. Ils y construisirent
une machine beaucoup plus puissante, Pamir 3, qui fut
testée avec succès. Le Pentagone achèta
alors les hommes et le matériel et les transporta aux
USA, où ils furent intégrés au
programme HAARP.
Voir : Le
projet HAARP
Rien ne distingue un
séisme provoqué dun séisme
naturel, cependant on ne sait provoquer que des
séismes superficiels, comme celui dHaïti.
Ce qui suscite le trouble, cest que la réaction
des Etats-Unis. Alors que les médias atlantistes se
contentent de relayer la polémique sur les violations
de la souveraineté haïtienne, les médias
latinos-américains sinterrogent sur la
rapidité du déploiement des GIs :
dès le premier jour, plus de 10 000 soldats et
contractants sont arrivés à Haïti. Cet
exploit logistique sexplique simplement. Ces hommes
étaient déjà
pré-positionnés dans le cadre dun
entraînement militaire. Sous lautorité du
commandant en second du SouthCom, le général
P. K. Keen, ils participaient à la simulation
dune opération humanitaire, à
Haïti, après un ouragan. Keen et son
équipe étaient arrivés quelques jours
auparavant.
Au moment précis du tremblement de terre, ils se
trouvaient tous à labri, à
lambassade US qui est construite selon les normes
anti-sismiques, à lexception de deux hommes qui
se trouvaient à lhôtel Montana et qui
auraient été blessés. Le
général Keen a donné de nombreuses
interviews à la presse états-unienne, qui a
multiplié les reportages et émissions à
propos des opérations de secours. Il a souvent fait
mention de sa présence à Port-au-Prince durant
le séisme, mais jamais des motifs de cette
présence. Parmi les objectifs de lexercice
militaire figurait le test dun nouveau logiciel
permettant de coordonner les efforts humanitaires des ONG et
des armées. Dans les minutes qui ont suivi la
catastrophe, ce logiciel a été mis en ligne et
280 ONG sy sont inscrites. Il est légitime de
se demander si ces coïncidences sont ou non
leffet du hasard.
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