LES MURS DE LA VILLE
Un Symbole de la Mère

CAMELOT ET LA VILLE

Les symboles et les thèmes des rêves, des légendes, des contes et des mythes s'adressent à ce que l'âme comprend, même si l'esprit conscient ne fonctionne pas. Par exemple, la légende du ROI ARTHUR bénéficie d'une ville fortifiée. On pourrait être tenté de penser que les murs de CAMELOT ne sont rien de plus qu'un détail accessoire. Alors que faire si Camelot a été entouré par des murs. Beaucoup de villes anciennes ont été enrichis par des murs. Mais tout a un sens. Nos symboles sont des indices aux mystères sacrés.

Si nous regardons la ville fortifiée comme un indice important, nous trouvons la signification sous-jacente de l'histoire d'Arthur dans sa version applicable aux âmes de ceux qui ont vécu dans le lieu et le temps où elle fut écrite. Karl Jung voit la ville comme un symbole de la mère et du principe féminin en général. C'est une femme qui abrite ses habitants comme s'ils étaient ses enfants.

Dans l'Ancien Testament de la Bible, les villes sont souvent appelées des femmes, et au Moyen-Age, la ville était une manière de représenter la
VIERGE MARIE dans l'art et l'architecture. Les murs des villes encerclées ont été considérées comme ayant des pouvoirs magiques pour protéger les citoyens de la même manière que l'utérus d'une mère protège son enfant ou les branches d'un arbre protége un bébé ours.

La ville fortifiée n'est pas un détail simple accessoire dans l'histoire du
ROI ARTHUR, et il a fini de la seule manière qu'il le pouvait. La destruction des murs de protection de CAMELOT était inévitable. Pas même le roi le plus sage et le plus bienveillant pourra jamais imaginer sauver une civilisation qui systématiquement va démolir ses racines spirituelles féminines.




ETOUFFER LA VILLE

La Ville est un Ogre qui mange ses Enfants

Pourrir une ville volontairement en construisant des immeubles et des tours sans âmes et volontaire. C'est une façon de détacher la personne de la MERE. Cités, Echangeurs, lotissements, zones commerciales, alignements de ronds-points… Depuis les années 60, la ville s’est mise à dévorer la campagne. C'est le résultat de choix politiques et économiques.

En France, pendant vingt ans, la politique des grands ensembles fait des ravages jusqu'en 1973. Puis arrive le rêve de tous les Français, le pavillon avec des parcelles de même taille, des maisons posées sur leur béton. Le pavillon va prendre encore plus de place et détruire encore plus la nature, le quadrillage de bitume pas cher et abondant transforme maintenant les campagnes en dortoirs.

Des forces occultes sont donc à l'oeuvre pour pourrir l'image de la femme, l'image de la MERE et transformer la PARADIS de la TERRE en ENFER. La " ZONE ", c'est volontaire, la MISERE est volontaire !







SOURCES ET LIENS

Jean Raffa





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