UN COMPLOT MONDIAL
L'Aide de l'Occident et la Victoire des Russes

HITLER LE PANTIN

La plupart des hommes n'ont pas eu le moindre pressentiment des vrais buts de Hiller, de sa formation, des loges dont il était membre, de l'idéologie qu'il fit sienne. Ils ignoraient qui l'avait promu à cette position, qui le finançait et ne savaient rien des motifs cachés qui sous-tendaient cette Deuxième Guerre mondiale.

L'idéologie d'Hitler n'a rien à voir avec ce que nous désignons du nom de "réalité générale" ni avec ce qui est raconté dans les livres scolaires sur le troisième Reich. Hitler était un mystique, un occultiste jusqu'à la pointe des pieds, et il faut se situer dans cette optique pour comprendre ce qui se passa pendant le troisième Reich. Pour la plupart des historiens "matérialistes", les procès des criminels de guerre à Nurembers étaientun mélange de contes de Grimm et de contes à dormir debout. On a toujours pas le droit de discuter de cette période légalement en France, ce qui semble incroyable avec la divulgation de plusieurs archives dans les années 2000.


LES AMERICAINS COMPLICES

Quelques faits troublants sont documentés dans un excellent livre de l'historien Jacques Pauwels (1). Ses documents irréfutables prouvent qu'une grande partie des sociétés US ont carrément collaboré avec Hitler, et pas seulement au début de la guerre : Du Pont, Union Carbide, Westinghouse, General Electric, Goodrich, Singer, Kodak, ITT, JP Morgan, etc..

La grande nouveauté stratégique d'Hitler, ce fut la " Blitzkrieg ", la guerre-éclair : porter très vite ses troupes au cœur de l'adversaire. Pour cela, deux conditions indispensables : des camions et de l'essence. L'Allemagne n'ayant aucun des deux, c'est Esso qui a fourni l'essence, tandis que les camions provenaient des usines allemandes de Ford et General Motors.

Jacques Pauwels montre qu'une grande partie du patronat US était pro-Hitler dans les années 30 et 40. Cela n'a changé qu'au moment où les ventes des firmes US furent mises en danger par l'agressivité commerciale allemande en Amérique latine et ailleurs. Et par les occupations japonaises qui confiquaient tout le commerce en Asie. Les Etats-Unis jouaient double jeu. Ils souhaitaient que la guerre dure longtemps.

D'un côté, les énormes profits que leurs sociétés réalisaient en Allemagne étaient en croissance. De l'autre côté, ils s'enrichissaient en prêtant à la Grande-Bretagne qui supportait tout le poids financier de la guerre. Washington posait d'ailleurs comme condition que Londres abandonne ses colonies après la guerre. Ce qui fut fait. Les Etats-Unis ont réussi à profiter de la Deuxième Guerre mondiale pour affaiblir leurs rivaux et devenir la seule superpuissance capitaliste. Ce jeu cynique ne cessa que lorsque l'URSS vainquit Hitler. Alors seulement, les Etats-Unis se précipitèrent pour sauver leurs intérêts en Europe.

(1) PAUWELS, Jacques R. Le mythe de la bonne guerre : les États-Unis et la Seconde Guerre mondiale. Bruxelles : Aden éditions, 2012.


LE DEBARQUEMENT ET LES RUSSES

En 70 ans, le mythe de la libération de l’Europe par les Anglo-Saxons s’est imposé. Pourtant, rappelle le professeur Annie Lacroix-Riz, le projet de Washington et de Londres n’était pas prioritairement de lutter contre le nazisme, mais contre le communisme. Ce ne sont pas les troupes états-uniennes qui ont vaincu le Reich, mais avant tout les Soviétiques.

Selon Annie Lacroix-Riz, Professeur d’histoire contemporaine à l’université Paris VII-Denis Diderot, Le triomphe de la libération états-unienne de l’Europe est un mythe. La légende a progressé avec l’expansion états-unienne sur le continent européen planifiée à Washington depuis 1942 et mise en œuvre avec l’aide du Vatican, tuteur des zones catholiques et administrateur, avant, pendant et après la Deuxième Guerre mondiale de la « sphère d’influence “occidentale”.

L’hégémonie idéologique « occidentale » accompagnant ce Drang nach Osten a été secondée par le temps écoulé depuis la Deuxième Guerre mondiale. Avant la Débâcle, « l’opinion française » s’était fait « dindonn[er] par les campagnes “idéologiques” » transformant l’URSS en loup et le Reich en agneau.

Le déficit de sympathie enregistré dans ce morceau initial de la sphère d’influence états-unienne se maintint entre la Libération de Paris et la fin de la guerre en Europe, comme l’attestent les sondages de l’Ifop d’après-Libération, parisien (« du 28 août au 2 septembre 1944 ») et de mai 1945, national (déjà cité) [36]. Il fut après-guerre, on l’a dit, d’abord progressivement, puis brutalement comblé. Il n’est donc plus grand monde pour rappeler qu’après la bataille des Ardennes (décembre 1944-janvier 1945), seuls combats importants livrés par les Anglo-Saxons contre des troupes allemandes (9 000 morts états-uniens) [37], le haut-commandement de la Wehrmacht négocia fébrilement sa reddition « aux armées anglo-américaines et le report des forces à l’Est » ;

- que, fin mars 1945, « 26 divisions allemandes demeuraient sur le front occidental », à seule fin d’évacuation « vers l’Ouest » par les ports du Nord, « contre 170 divisions sur le front de l’Est », qui combattirent farouchement jusqu’au 9 mai (date de la libération de Prague) [38] ;

- que le libérateur états-unien, qui avait doublé à la faveur de la guerre son revenu national, avait sur les fronts du Pacifique et d’Europe perdu 290 000 soldats de décembre 1941 à août 1945 [39] : soit l’effectif soviétique tombé dans les dernières semaines de la chute de Berlin, et 1 % du total des morts soviétiques de la « Grande guerre patriotique », près de 30 millions sur les 50 totaux.

Du 6 juin 1944 au 9 mai 1945, Washington acheva de mettre en place tout ou presque pour rétablir le « cordon sanitaire » que les rivaux impérialistes anglais et français avaient édifié en 1919 ; et pour transformer en bête noire le pays le plus chéri des peuples d’Europe (français inclus). La légende de la « Guerre froide » mériterait les mêmes correctifs que celle de l’exclusive libération états-unienne de l’Europe.

http://www.voltairenet.org/article184071.html?utm_medium=twitter&utm_source=twitterfeed


ASHKENAZI ET JESUITES

Selon plusieurs auteurs le mouvement NAZI serait lié aux KHAZARS qui sont des Turcs musulmans dont la conversion a été forcée quand leur Empire s'est écroulé en Russie et aux ASHKENAZE allemands. Le mot NAZI viendrait de ASHKENAZE, l'origine japhétique (indo-européenne ou aryenne) des ASHKENAZES font d'eux un peuple ethniquement distinct des Sémites et des Hamites. Le Royaume se situait sur un territoire correspondant approximativement à celui de la Germanie antique.

Les origines des ASHKENAZES sont obscures, il y a de nombreuses théories sur ce peuple. Les ASHKENAZES seraient des Cimmériens, l'origine du peuple n'est pas claire et on pense qui'ls viennent du royaume assyriens . Le premier enregistrement historique des Cimmériens apparaît dans les annales royales assyriennes annales de l'année 714 av.JC. Ils étaient un ancien peuple indo-européen vivant au nord du Caucase et de la mer d'Azov dès 1300 avant JC. Ils sont chassés vers le sud par les Scythes en Anatolie au cours de la 8ème siècle. Linguistiquement, ils sont généralement considérés comme proche du Perse et de l'Iran, ou peut-être de Thrace avec une classe dirigeante iranienne.

Des études ADN révélent que les Juifs ASHKENAZES sont originaires du Moyen-Orient au cours de l'âge du bronze (entre 2500 avant JC et 700 avant JC), ils arrivent plus tard en Europe. L'ADN est parfois similaire à celui des Palestiniens. Une autre étude récente, basée sur des génomes entiers, a constaté qu'un mélange de ascendances européennes variait de 30 à 60 pour cent parmi les populations ashkénazes et séfarades, avec les Italiens du Nord. Les ASHKENAZES sont des Romains !

Les Jésuites auraient enseigné les mystères à JOSEPH STALINE, ADOLPH HITLER et a des membres de l'organisation juive mondiale dont le rabbin sioniste RABBI NATHAN MILEIKOWSKY origfinaire de Kreva, Lithuanie (aujourd'hui situé en Biélorussie). Son fils Benzion est aussi un militant sioniste, il a transmis la tradition familiale à ses enfants dont BENJAMIN NETANYAHOU le premier ministre Israélien. Son nom a été changé pour faire plus local, NETANYAHOU (le boucher de Gaza) affiche désormais des origines Sumeriennes.

Après l'assassinat de Haim Arlosoroff en 1933, MILEIKOWSKY a été affilié à un mouvement révisionniste, il a participé à la mise en place d'un comité public, dirigé par le rabbin Abraham Isaac Kook qui protégeait les accusés de l'assassinat de Arlosoroff - à savoir, Zvi Rosenblatt et Abraham Stavsky. MILEIKOWSKY a indiqué qu'ils n'étaient pas les coupable et que leur exécution pourrait conduire à une guerre civile qui pourrait nuire à l'entreprise sioniste.

Il n'y a aucune preuve de cela, mais il semblerait que le PAPE NOIR (Jésuites) serait largement impliqué dans la construction de l'entité sioniste depuis le début, certainement une couverture pour réaliser autre chose de plus secret.



SOURCES ET LIENS 






© 2002/2014 - SecreteBase - Tous droits réservés