QUOTAS ET DISCRIMINATION POSITIVE
La sécurité routière au service des Illuminati

Le con de service et la potiche, une honte pour la démocratie

UN SYSTEME RACISTE ET INSULTANT

La discrimination positive est une insulte, cela revient à dire que les groupes visés ne peuvent pas y arriver sans un système de quotas, alors on force le mélange babylonien en inventant des quotas et des emplois fictifs. Un phénomène qui a échoué dans plusieurs pays, car finalement les universitaires avaient du mal à trouver un véritable emploi dans le privé.


DISCRIMINATION POSITIVE

Avec l’abandon de la «discrimination positive» dans les universités américaines, le nombre d’étudiants issus de minorités est en chute libre. En 1991, la Californie comptait 36 % d’Hispaniques en âge d’entrer à l’université, et cette minorité représentait 23 % des effectifs de l’université de Berkeley. Vingt ans plus tard, et alors que la communauté avait grossi (49 % d’Hispaniques en âge d’entrer à l’université), le campus de Berkeley n’en comptait plus que 11 %. Soit une chute de 38 points. Entre les deux dates, un fait : en 1998, l’Etat a interdit toute discrimination positive dans les procédures d’admission universitaires.

Ces chiffres sont publiés, lundi 28 avril, par le site du New York Times, qui présente vingt graphiques consacrés à l’évolution de la présence des minorités dans plusieurs prestigieuses universités publiques états-uniennes depuis 1990. Point commun de tous ces lieux de savoir, ils sont situés dans cinq des huit Etats où l’appartenance à une minorité ne fait plus partie des critères d’admission dans l’enseignement supérieur public.

Autre exemple illustrant les effets négatifs de l’abandon de la discrimination positive, la proportion de Noirs inscrits à l’université de Californie, à Los Angeles, est passée de 8 % en 1997 — soit l’année juste avant l’interdiction dans cet Etat — à 2 % en 2011, alors que la population noire n’y a pas diminué entre ces deux dates.


DES QUOTAS POUR LES FEMMES

Le Comble de la Misogynie !

Le recours aux quotas électoraux de femmes est nettement plus répandu qu'on le croit en général. Un nombre croissant de pays applique actuellement différents types de quotas de femmes lors des élections: en réalité, la moitié des pays a aujourd'hui recours aux quotas électoraux pour l'élection du Parlement. Pouquoi elles sont toutes des connes ?

L'idée de base des mécanismes de quotas est de permettre aux femmes d'accéder à des fonctions politiques et de veiller à ce que l'élection de poignée de femmes ne serve pas simplement d'alibi dans la vie politique. Dans certains pays, les quotas s'appliquent aux minorités régionales, ethniques, linguistiques ou religieuses.

Presque tous les systèmes politiques appliquent des quotas géographiques sous une forme ou une autre pour garantir une représentation minimum dans les zones très peuplées et les îles, notamment. Toutefois, cette base de données se concentre sur les quotas de femmes, c.-à-d. les quotas qui s'appliquent aux femmes briguant une fonction élective. Il règne toutefois une certaine confusion à propos des différents systèmes de quotas mais les quotas ne sont pas démocratiques, peu importe la démocratie est déjà une illusion d'optique.


CE QUE CELA CHANGE VRAIMENT

Absolument rien ! Avec ces quotas on remplacera les frères des Loges souvent issu du chakra de l'anus (selon leurs croyances) et autres mafias par les soeurs, la camarades de couleur ou les arabes des loges de l'Orient, ils sont déjà à l'oeuvre en politique notament dans le lobby gay-lesbien.



SOURCES ET LIENS 





© 2002/2012- SecreteBase - Tous droits réservés