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Les Dangers de la Nourriture Génétiquement Modifiée

Les organismes génétiquement modifiés (OGM) sont des micro-organismes, des plantes, ou des animaux, auxquels on a modifié le génome, c’est-à-dire l’ADN (support de l’information génétique formant les chromosomes). Cette modification consiste en général à ajouter (parfois retrancher) un gène d’un autre micro-organisme, végétal, ou animal, gène qui aura la vertu de conférer une nouvelle propriété à l’OGM. Deux exemples de propriétés d’OGM déjà cultivés : production d’un insecticide pour résister à un insecte ravageur, et résistance à un herbicide.


Peut-on avoir confiance dans les autorités de régulations européennes quand leurs dirigeants ont omis de déclarer leurs conflits d'intérêts et dès qu'ils régularisent leur activités, peuvent être réléus à la direction de l'AESA ? Une étude chinoise sur 10 ans montre que l'usage de coton OGM Bt encourage l'apparition de prédateurs résistants au Bt et donc à terme accroît l'usage d'insecticides.




Plusieurs études récentes confirment les craintes que la nourriture génétiquement modifiées (GM) abîme la santé humaine. Ces études ont été diffusées alors que l'Organisation Mondial du Commerce (OMC) se dirigeait vers l'entérinement de la décision que l'Union Européenne avait violé les règles du commerce international en stoppant l'importation de nourriture GM.

Une recherche de l'Académie des Sciences Russe diffusée en décembre 2005 constatait que plus de la moitié de la progéniture des rates nourries avec du soja GM est morte dans les trois premières semaines de sa vie, six fois plus que celle née de mères nourries avec du soja non-modifié. Six fois plus de la progéniture nourrie avec du soja GM avait aussi un poids gravement insuffisant.

En novembre 2005, un institut de recherche privée en Australie, CSIRO Plant Industry, a cessé de favoriser le développement d'un cultivateur de pois GM quand il a été découvert que ces derniers causaient une réaction immunitaire dans le laboratoire des souris. 1

En été 2005, une équipe de recherche italienne conduite par un biologiste cellulaire à l'université de Urbino a publié la confirmation que l'absorption de soja GM par des souris causait le développement de cellules du foie difformes, ainsi que d'autres anomalies cellulaires.

En mai 2005 l'examen d'un rapport hautement confidentiel et controversé de Monsanto, sur les résultats des tests du maïs modifié par Monsanto, MON863, a été publié dans The Independent au Royaume-Uni.

Le Dr. Arpad Pusztai [1], l'un des quelques scientifiques véritablement indépendants spécialisés en études sur les plantes génétiques et l'alimentation animale, a été invité par les autorités allemandes en automne 2004 à examiner le rapport de 1.139 pages de Monsanto sur l'alimentation en MON863 des rats de laboratoire sur une durée de quatre-vingt-dix jours. L'étude a trouvé des différences « statistiquement significatives » dans le poids des reins et certains paramètres du sang chez les rats nourris avec du maïs GM par rapport aux groupes de contrôles.

Un certain nombre de scientifiques à travers l'Europe, qui ont vu l'étude (et ses résumés fortement censurés), ont exprimé des inquiétudes au sujet des implications sur la santé et la sûreté si le MON863 devait jamais entrer dans la chaîne alimentaire. Il y avait des inquiétudes particulières en France, où le professeur Gilles-Eric Seralini de l'université de Caen a tenté (sans succès) pendant presque dix-huit mois d'obtenir la pleine divulgation de tous les documents concernant l'étude sur le MON863.

Le Dr. Pusztai a été forcé par les autorités allemandes de signer une « déclaration du secret » avant qu'il lui soit permis de consulter l'étude de Monsanto sur l'alimentation des rats, parce que le document est classé « CBI » ou « Intérêt Commercial Confidentiel ». Alors que Pusztai était toujours lié par la déclaration de secret, Monsanto a récemment déclaré qu'il ne s'opposerait pas à la large diffusion du « rapport de Pusztai. » [2]

Le soja et le maïs GM de Monsanto sont largement consommés par les americans à un moment où la FAO [2] a conclu que, « dans plusieurs cas, les OGM ont été mis sur le marché alors que les questions de sécurité [alimentaire] ne sont pas claires. »

Comme la recherche sur les OGM n'est pas encouragée par les gouvernements US et européens, la grande majorité des études toxicologiques sont dirigées par ces compagnies qui produisent et promeuvent la consommation d'OGM. En raison de l'authenticité suspecte du résultat des tests des sociétés, la recherche scientifique indépendante sur les effets de la nourriture GM attire une attention croissante.

Commentaire : En mai 2006 l'OMC a confirmé une décision selon laquelle les pays européens avaient violé les règlements du commerce international en stoppant l'importation de nourriture GM. L'OMC a constaté dans son verdict que l'UE avait eu une proscription effective des nourritures biotechnologiques depuis 1998 et elle a pris le parti des USA, du Canada, et de l'Argentine en décidant que le moratoire était illégal d'après ses règlements. [3]

Notes :
1. « Les pois GM causent une réaction immunitaire -- Une brèche dans le processus d'approbation ? » http://www.GMO-Compass.org, le 3 janvier 2006.
2. Arpad Pusztai, « Rapport Pusztai sur le Mon863, », le 12 septembre 2004.
3. Bradley S. Clapper, « L'OMC prend l'Union Européenne en défaut pour blocage de la nourriture modifiée, » Associated Press, 11 mai 2006.


RENDEMENT MEDIOCRE

Des scientifiques de l'UCS montrent que les OGM ont des
gains de rendement moindres que la sélection variétale!


Une étude américaine réalisée par l'Union of Concerned Scientists (institut indépendant regroupant 250.000 membres scientifiques et citoyens) révélait que les cultures OGM ne contribuent guère à améliorer les rendements agricoles. Au contraire, favorisant la prolifération des mauvaises herbes résistant aux herbicides, elles tendraient de plus en plus à freiner la production.

Les malotrus vont même jusqu'à déclarer que l'amélioration des techniques de sélection traditionnelle et d'autres pratiques agricoles classiques seront plus efficaces dans la stimulation de la production. "Malgré 20 ans de recherche et 13 ans de commercialisation, précisent-ils, la technologie génétique a échoué a accroître les rendements agricoles américains".


PESTICIDES CANCERIGENES

La Croix publiait un article relatant l'épopée argentine d'un soja transgénique résistant au produit ROUNDUP de la firme MOSANTO. L''usage massif et irraisonné de l'herbicide "100% biodégradable", selon le slogan de la firme plusieurs fois condamnée pour publicité mensongère, fait des ravages dans les populations. Des cancers des intestins, tumeurs au cerveau, leucémies, etc..

En Argentine, sur les 5 000 habitants du village de Ituzaingo Anexo, en banlieue de Cordoba, à 700 km au nord-ouest de Buenos Aires, plus de 200 cas de cancers ont été recensés. Un exemple parmi d'autres. La justice vient de reconnaître la responsabilité des cultivateurs de soja et des épandeurs de
ROUNDUP, sans toutefois édicter de règles préventives. Autre sujet en suspens : la toxicité du Roundup, et son impact sur la qualité des eaux, des sols et des cultures qu'il contamine.

Puis, une nouvelle étude scientifique argentine était publiée, qui confirme que le glyphosate (composant chimique du Roundup) est hautement toxique et provoque des effets dévastateurs sur des embryons d'amphibiens. Le laboratoire à l'origine de l'étude (la faculté de médecine Conicet) a ainsi montré qu'à des doses jusqu'à 1500 fois inférieures à celles utilisées dans les traitements agricoles, des troubles intestinaux et cardiaques, des malformations et des altérations neuronales étaient constatés.

Le Professeur Séralini de l'Université de Caen avait déjà publié en avril 2007 les résultats de recherches qui ne laissaient guère de place au doute. Même à des doses infinitésimales, le Roundup tue les cellules de cordon ombilical humain en quelques heures. Plusieurs composants du produit sont mis en cause, pas seulement le glyphosate. Ce phénomène est manifestement ignoré par les autorités.

Puis, une nouvelle étude scientifique argentine était publiée, qui confirme que le glyphosate (composant chimique du Roundup) est hautement toxique et provoque des effets dévastateurs sur des embryons d'amphibiens. Le laboratoire à l'origine de l'étude (la faculté de médecine Conicet) a ainsi montré qu'à des doses jusqu'à 1500 fois inférieures à celles utilisées dans les traitements agricoles, des troubles intestinaux et cardiaques, des malformations et des altérations neuronales étaient constatés.


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SOURCES ET LIENS

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