Les documents écrits les plus anciens (-3000) ont été retrouvés dans les ruines dUruk lors de fouilles en 1929-1931. Le cunéiforme est une forme d'écriture inventée dans l'ancien Sumer aux environs de la moitié du IVe millénaire avant notre ère. Le système était à l'origine pictographique, mais en s'adaptant aux autres langues de la région (akkadien, perse, etc.) il devint plus phonétique. Le nom cunéiforme signifie "en forme en coins" (latin cuneus), à cause de la forme du stylet utilisé. Le cunéiforme était principalement écrit avec un calame en roseau sur des tablettes d'argile. |
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L'Epopée
de Gilgamesh, rédigé à la
période paléo-babylonienne, à partir de
la compilation de plusieurs récits sumériens
mettant en scène son héros, est l'oeuvre
majeure de la civilisation mésopotamienne. Ce texte a
connu un succès phénoménal dans tout
l'Orient Ancien, et a été traduit en plusieurs
langues (Babylonien, Assyrien Hittite, Hurrite). Il s'agit
d'une oeuvre glorifiant le héros Gilgamesh, mais
aussi d'une réflexion sur la vie, sur l'illusion de
la vie éternelle, et une oeuvre pronant le bon sens
(un carpe diem version babylonienne en quelque sorte). |
Grâce à sa grande force, il déjoua les pièges d'un des chasseurs du souverain d'Uruk, qui n'eut alors plus de quoi gagner sa vie. Il alla s'en plaindre à son souverain, lui demandant de trouver une solution à ce problème. Gilgamesh décida donc d'envoyer une prostituée à la rencontre du sauvage, pour le charmer et l'initier à la civilisation. Celle-ci partit avec le chasseur, et n'eut aucun mal à réussir sa mission. Enkidu, séduit par la jeune fille, s'était détourné à jamais de la steppe, et était rejetté par les animaux dont il partageait auparavant la vie. Il n'eut donc d'autre choix que de suivre la prostituée à Uruk, pour rencontrer Gilgamesh, et enfin laisser le chasseur en paix. Comble de l'ironie, c'est lui qui va défendre des pasteurs rencontrés en chemin contre les bêtes sauvages. Arrivé à Uruk, il est accueilli en héros par les habitants, qui voient en lui un opposant à Gilgamesh. Ils le comblent de présents et d'attentions, et ont vite fait de l'envoyer combattre le tyran. Le combat à lieu dans les rues de la ville. La bataille dure jusqu'à l'épuisement des deux protagonistes, de force égale. Plutôt qu'un adversaire, Gilgamesh va vite trouver en Enkidu un ami, et à la fin du combat les deux géant se lient d'amitié, oubliant leur différent. Gilgamesh devien donc le maître d'Enkidu, et à eux deux ils sont prêts à accomplir tous les exploits possibles, tels de véritables héros. |
Gilgamesh,
animé par la volonté d'accomplir des exploits
dignes des plus grands héros, entraîne Enkidu
dans une expédition périlleuse : il s'agit de
se rendre à la Forêt des Cèdres (le
Liban actuel), pour y défier le redoutable gardien
des lieux, le géant Humbaba, et pouvoir couper les
arbres de la forêt. Avec l'aide de Shamash, le dieu du
soleil, ils pénètrent dans les lieux, et
commencent à abattre des arbres, lorsque le
géant les surprend, et engage le combat. Après
un long combat, les deux héros terrassent Humbaba
grâce une nouvelle fois à l'aide de Shamash.
Gilgamesh peut alors ramener la tête du géant
à Uruk en guise de trophée. |
Les textes sumériens sources sont : Gilgamesh et le Pays des Vivants - Gilgamesh et le Taureau céleste - Le Déluge - La Mort de Gilgamesh - Gilgamesh et Agga de Kish - Gilgamesh, Enkidu et les Enfers, |
GILGAMESH AU PAYS DES VIVANTS |
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A) Les
hommes créés par ENKI et NINTU pouvaient vivre
25.000 ans. 250.000 ans plus tard, huit rois des hommes
s'étaient succédés. Les hommes
étaient prospères, ils avaient étendu
leur territoire, ils s'étaient multipliés.
Mais le bruit de leurs activités, de leur agitation,
de leurs guerres, de leurs fêtes, en un mot leur
tapage finit par atteindre... même les cieux. |
B) Les dieux ayant
malgré tout pris la décision finale, ENKI en
songe, prévint ATRAHASIS, le Supersage, un homme de
bien qui avait toujours mérité sa confiance. "
ATRAHASIS, jette à bas ta maison, détourne-toi
de tes biens pour te sauver la vie . Construit un grand
bateau selon l'épure que j'ai tracée sur le
sol. Cette embarcation aura forme équilatérale
de 60 mètres de coté. Le bateau sera
entièrement clos et toituré solidement. Que
son calfatage soit épais et résistant. Tu
appelleras ton vaisseau Sauve -Vie. Après y avoir
chargé ton froment, tes biens, tes richesses,
embarques-y ta femme, ta famille, ta parenté et tes
ouvriers ainsi que des animaux sauvages, grands et petits,
et des oiseaux du ciel ». Supersage n'avait que 7 jours
pour construire Sauve-Vie. |
E) Lorsque
les eaux se furent retirées du haut de la montagne,
Supersage débarqua et prépara un banquet
à la gloire d'ENKI, le dieu ingénieux qui
l'avait sauvé. L'odeur de la bonne chère
attira également les grands dieux, qui, en l'absence
des hommes, n'avaient ni bu ni mangé pendant tout ce
temps. On peut supposer qu'ils n'en avaient pas vraiment
besoin pour vivre, mais que ça leur manquait quand
même. ENLIL voyant alors le bateau, entre en
colère : « Nous les grands dieux nous avions
prêté serment, d'où vient alors qu'un
homme ait échappé à la destruction ?
». ENKI : " Oui, j'ai fait cela contre votre
volonté à tous, j'ai sauvé ATRAHASIS.
Calme-toi ENLIL, si tu as pu manger et te régaler,
c'est bien grâce à cet homme. Grâce
à lui la race humaine peut être sauvée".
NINTU la déesse mère prit alors la parole :
« ENLIL, tes solutions sont trop définitives.
Trouvons un moyen terme. Afin que la descendance de
Supersage ne perturbe plus les dieux, ENKI
l'ingénieux doit bien avoir une solution ". ENKI : "
O ! Divine Matrice, nous avons donné aux hommes
presque l'immortalité, c'était
inconsidéré. Toi MAMMI, qui arrête les
destins, impose donc aux hommes la mort pour qu'un
équilibre s'installe. Afin que chez eux, outre les
femmes fécondes, il y ait maintenant les
infécondes, afin que chez eux sévisse la
Démone Eteigneuse pour ravir les bébés
aux genoux de leurs mères ". ENLIL approuva : " C'est
entendu. Ce fut une erreur de vouloir les exterminer. Mais
que les hommes ne vivent pas au delà de 120
années, afin qu'ils ne puissent jamais percer
à jour nos connaissances. Ainsi, ils ne seront plus
une menace pour nous ! Veillons à ce que les hommes
ne s'installent jamais dans l'allégresse.Surveillons
de près leur prolifération, leur
prospérité et leur joie de vivre. Et pour
cela, QUE CHEZ LES HOMMES UN TEMPS DE MALHEUR SUCCEDE
TOUJOURS A UNE ERE DE BIEN ETRE ". |
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La création de
l'Homme est expliquée dans un mythe dit d'Enki et
Ninmah. Il date du milieu du IIè millénaire,
et a probablement été inspiré de
l'Atra-hasis. Les dieux, tous nés de la mère
primordiale Nammu résident sur Terre, où une
première catégorie vit tranquillement alors
qu'une seconde travaille pour tous. Les seconds
commençant à protester, Nammu demande à
Enki de chercher à créer une créature
dont le rôle sera de travailler à la place des
dieux secondaires, et pour tous les dieux, rendant ainsi
leur vie plus facile. Ce dernier ne tarde pas à
trouver une idée et dit à sa mère de
façonner cette créature avec de l'argile
puisé à la surface de l'Abîme, dans un
moule qu'il confectionne, avec l'aide de la déesse
Ninmah (la parèdre d'Enki) et d'autres
divinités, puis de leur donner ensuite vie. Cet
ouvrage, l'Homme, trouve un accueil très favorable de
la part des dieux, qui se réunisssent autour d'un
grand banquet pour fêter l'évènement. Au
cours du repas, Enki et Ninmah sont passablement
éméchés. Cette dernière lance un
défi à son époux : elle donnera la vie
à d'autres êtres humains qui seront
"imparfaits" (un être asexué, une femme
stérile, un boîteux, etc.), et met Enki au
défi de leur trouver une tâche dans la
société. Celui-ci y arrive haut la main. Puis
il lance à son tour un défi identique à
sa femme, en créant un être humain informe (un
"monstre"). Ninmah n'arrive pas à lui trouver une
tâche, et perd le duel. |
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L'Enûma Elish (Lorsque là-haut ...") fut écrit à Babylone vers le début du XIIè siècle avant notre ère, et est constitué de plus de mille vers répartis sur sept tablettes. L'Epopée de la Création raconte les origines de l'Univers. Les grands dieux sont opposés dans deux conflits face à leurs ancêtres les forces du chaos. Dans un premier temps, c'est Apsû, le maître des eaux souterraines, qui menace de détruire ses rejetons trop irrespectueux à son égard. Mais la ruse d'Ea permet l'élimination de Apsû. Les dieux sont sauvés pour le moment. |
Mais soudain se présente une nouvelle menace, Tiamat, la mer primordiale, mère de tous les dieux. Voulant venger la mort de son mari, Apsû, maître des eaux sousterraines, causée par ceux-ci (et Ea en particulier), elle avait crée une armée de créatures terrifiantes dans le but de les anéantir, avec l'aide de son nouvel allié Kingu. Ea, toujours prêt à profiter d'une occasion favorable, présenta son fils comme la personne providentielle, le sauveur des dieux. Il montra à ceux-ci qu'il leur fallait lui faire confiance, et en faire leur champion pour lutter contre leur mère. Ce fut chose faite au cours d'un grand banquet organisé par Ea, qui fit élire Marduk comme maître de tous les dieux. Après cela, le dieu de Babylone se rendit sur les lieux du combat. Après une bataille terrible aux multiples péripéties, il réussit à défaire l'armée de Tiamat, avec les armes célestes dont il était muni. Il vint ensuite à bout de la mère des dieux, et se servit de sa dépouille pour créer le Monde : il suspendit la première moitié du cadavre pour créer le Ciel (an), au dessus de la seconde moitié qui forma la Terre (ki) émergée de l'Apsû, la mer primordiale. Il devint ainsi le maître des dieux et de tout le monde. |
Ceux-ci
élevèrent en un temple en son honneur sur les
lieux mêmes du combat, là où il
créa le Monde. Ce temple devait être non
seulement celui de Marduk, mais aussi celui de tous les
dieux, érigé au "centre du monde". Ce temple
fut nommé l'Esagil ("Maison à la tête
élevée"), et tout autour se développa
la ville sainte de Babylone. Marduk créa ensuite
l'Homme, pour permettre aux divinités de ne pas
travailler, laissant cette lourde charge incomber à
ces "substituts". Il fait cela à partir du sang de
Kingu, qui est exécuté. L'Homme est donc
crée pour travailler pour les dieux ses
maîtres, ce qui reste fidèle à la morale
mésopotamienne. Mais un nouvel aspect apparaît,
puisque l'Homme naît de l'exécution d'un dieu
pêcheur, alors qu'avant il s'agissait d'un dieu
sacrifié volontairement. L'Homme porte donc une part
de la culpabilité de Kingu (même s'il ne s'agit
pas d'une idée du type "pêché
originel"). |
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Ce mythe sumérien raconte comment la déesse Inanna, déjà déesse et reine du Ciel, a décidé de se rendre maître des Enfers, où réside sa soeur et ennemie jurée Ereshkigal. Elle décide pour cela de s'y rendre, mais prend quelques précautions avant. Elle avertit son conseiller Ninshubur de ses intentions, et lui dit que si elle n'est pas de retour après trois jours et trois nuits, il doit aller prévenir Enlil, puis, si ce dernier n'accorde aucune aide, Nanna, et, enfin, en dernier recours, Enki. Une fois cela fait, elle se rendre au pays sans-retour. Une fois aux protes de l'Enfer, elle invente un prétexte pour pouvoir rencontrer sa soeur. Mais celle-ci, avertie par son portie, pressent le danger. Aussi, elle feint d'accepter et fait pénétrer Inanna dans son royaume, en la faisant passer sept portes. A chacune d'elles, on lui enlève un bijou ou un vêtement, de sorte qu'elle se présente nue devant Ereshkigal. Celle-ci appelle alors les Annunaki, les Sept Juges des Enfers, qui lui jettent le "regard de mort", qui la tue. Puis sa soeur fait pendre son cadavre à un clou. Ne la voyant pas revenir, Ninshubur se rend chez Enlil à Nippur. Mais ce dernier refuse d'aider Inanna, obligeant le vizir de celle-ci à se rendre à Ur, chez Nammu, qui a la même attitude. Ninshubur se rend donc comme dit à Eridu, chez Enki, qui lui accorde son aide à sa soeur. Il confectionne deux êtres asexués, le Kurgarru, auquel il confie la "nourriture de vie", et le Kalaturru, auquel il confie le "breuvage de vie". Il les envoie aux Enfers, où ils se disent chargé de ramener le corps d'Inanna au Ciel. Ereshkigal accepte, et ces derniers ramènent la déesse à la vie avec la nourriture et le boisson confiés par Enki/Ea. Mais, si cette dernière veut sortir des Enfers, elle doit trouver quelqu'un pour la remplacer. Aussi, elle remonte sur Terre, accompagnée de démons envoyés par les dieux des Enfers pour la surveiller, pour trouver la victime. Elle se rend d'abord à Umma et à Bad-tibira, où les divinités tutélaires de ces villes se prosternent devant elle, échappant ainsi à la mort. Elle visite ensuite Kullab, où réside son époux Dumuzi, qui lui l'accueille sur son trône, dans ses plus beaux vêtements. Alors Inanna, furieuse de le voir aussi peu respectueux, dit aux démons de s'emparer de lui, et de l'emmener aux Enfers à sa place. Il est donc envoyé au pays sans-retour. Cependant, sa soeur Geshtinanna intercède en sa faveur, et émeut Inanna, qui réclame sa libération. Mais Ereshkigal ne cède qu'à la condition qu'il passe une moitié de l'année sur Terre auprès de son amante, Geshtinanna le remplaçant aux Enfers, avant de retourner dans l'Autre Monde le reste de l'année. Ceci inspirera le mythe grec où Aphrodite et Perséphone se disputent Adonis, avant d'aboutir à un "partage" identique. Ces trois divinités sont d'ailleurs les pendants grecs des trois mésopotamiens. Une version akkadienne de ce texte a été écrite au IIè millénaire. Si l'histoire reste globalement la même, et que les noms des dieux changent (Inanna devient Ishtar, Nanna devient Sîn, et Enki devient Ea), il y a aussi quelques modifications à certains passages. Ainsi, plutôt que d'envoyer de démons asexués aux Enfers, Enli/Ea envoie un être chargé de séduire Ereshkigal et de délivrer Ishtar, ce qu'il fera. |
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Le mythe d'Etana est probablement issu d'une ancienne légende sumérienne. En effet, Etana est dans la Liste royale sumérienne un roi de Kish, réputé pour être monté au Ciel. Le récit commence par l'hisotire d'un serpent et un aigle, liés d'amitié avant que le second ne mange les enfants du premier. Celui-ci va chercher conseil auprès de Shamash, le dieu-soleil, qui lui dit de piéger l'aigle en se cachant dans le cadavre d'un boeuf, et d'attendre que le volatile s'approche, pour le capturer. C'est ce que le serpent fait, avant de jeter l'aigle dans un trou après l'avoir molesté pour l'empêcher de s'envoler, et il dépérit. C'est alors qu'entre en scène Etana, le roi de Kish, premier roi apèrs le Déluge. Celui-ci désire ardemment un fils, et prie Shamash, qui est aussi prié par l'aigle de lui venir en aide. Faisant d'une pierre deux coups, il dit à Etana que sa solution se trouve dans "une plante d'enfantement" au Ciel. Il lui conseille de sortir l'aigle du trou, de le soigner, et qu'alors celui-ci l'aiderait à ,la trouver. Mais l'aigle ne veut pas l'aider, et il ne cède qu'après que Etana l'ait longuement imploré. Celui-ci s'envole donc sur le dos de l'aigle. Aprs un long vol, il ne voit plus la Terre, et s'approche du Ciel, où résident les dieux. Mais l'altitude l'effraie, et il prie l'aigle de stopper l'ascension. Il tombe alors du dos de l'aigle, qui réussit à le rattraper avant qu'il ne touche le sol. La suite de la tablette est brisée. La Liste royale sumérienne disant que Etana a eut un fils comme successeur semble indiquer que la fin de ce mythe doit être heureuse pour son héros. |
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Ce récit sumérien narre l'hisoire d'Adapa, grand prêtre d'Enki/Ea dans son palais d'Eridu, qui sert fidèlement son dieu, qui l'a créé pour qu'il soit capable de faire de nombreuses choses pour son plus grand plaisir. Un jour, alors qu'il va pêcher sur un bateau du poisson pour son maître, il est dérangé par Shutu, l'oiseau-vent du sud, qui fait vaciller son embarcation. Dans sa colère, Adapa maudit la créature avec tellement de haine que ses ailes sont brisées. Cet acte est tel qu'il ne peut rester impuni pour les dieux, et Anu convoque alors Adapa. Ea, craignant pour la vie de son serviteur, lui explique la conduite qu'il devra tenir pour s'en sortir vivant : il doit d'abord amadouer les portiers d'Enlil pour s'attirer leur soutien, et refuser absolument tout ce que lui donnera à boire ou à manger Anu. Arrivé dans la demeure du dieu, Adapa s'attire la sympathie des portiers d'Anu, les dieux de la fertilité Dumuzi et Ningishzida, qui ne peuvent plus agir après la mort de Shutu, en leur expliquant qu'il vient prier pour leur retour sur Terre, puis, arrivé devant le roi des dieux, il se comporte comme dit, refuse ce qu'on lui donne, et est épargné par l'intervention des deux divinités. Admiratif devant la clairvoyance d'Adapa, Anu lui offre alors une nourriture qui le rendra immortel. Fidèle à ce qu'Ea lui a dit, ce dernier refuse, et est immédiatement renvoyé sur Terre par Anu. En refusant cette nourriture, Adapa a raté sa chance de devenir un dieu, manipulé par la ruse d'Ea, et il passera donc le restant de ses jours à servir le dieu oisif. |
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2800 av. J.-C. |
2500 av. J.-C. |
2371 av. J.-C. |
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Genèse [2.6]: Le paradis de la Bible est
"emprunté" au poème sumérien
(rédigé vers -2800) "Enki et
Ninhursag"où l'Eden hébraïque et le
Dilmun sumérien ne font qu'un: mêmes fleuves,
même endroit, même souffrance, même
péché originel.
Ézéchiel: Inspiré de la déesse
babylonienne Ishtar. Les sumériens l'adoraient sous
le nom d'Innana, épouse de Dumuzi, le Tammouz de la
Bible. |
SOURCES ET LIENS |
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