La trouvaille a
été annoncée par des indigènes
à Mahabalipuram, dans le Tamil Nadu, au sud de
lInde, quand ils ont rapporté avoir vu une
structure de temple mis à jour par les eaux qui se
retiraient juste avant le raz-de-marée de Tsunami le
26 décembre. Le Tsunami découvrait aussi sur
une plage des ruines dune maison
démembrée en pierre, un éléphant
en rocher et deux lions géants en granite.
Larchéologue marin anglais, Graham Hancock, a
passé des années à cataloguer les
ruines sous-marines autour du monde. M. Hancock a pris part
à une expédition pour étudier la
région sous-marine près de Mahabalipuram en
2002, conjointement parrainée par la
Société dexploration scientifique
anglaise (SES) et lInstitut national
docéanographie de lInde (NIO).
Lexpédition a révélé la
présence de maçonnerie en pierre, des restants
de murs, des blocs carrés et rectangulaires de pierre
éparpillés et une large plateforme avec des
marches y conduisant. La plupart des structures
étaient très endommagées et
séparpillaient sur une région de
plusieurs miles carrés. Deux complexes structuraux
montraient une architecture et une dimension similaires. Le
NIO estime lâge des ruines à 1500-1200
ans a-c, quand la dynastie Pallava régnait dans la
région et construisait des temples semblables.
Cependant, suivant le géologue Glenn Milne de Durham
University, les ruines pourraient remonter
jusquà 6000 ans puisquil y a eu
très peu de mouvements tectoniques dans la
région depuis 5000 ans. Pour d'autres les ruines
remontent à 10.000 ans.
Si les ruines à Mahabalipuram sont reconnues comme
appartenant au même groupement de temples que le
temple quon retrouve sur la plage, cela donnerait foi
aux histoires locales que les étrangers
considèrent comme des légendes.
Entre la période de 5000 avant J.C. et 15.000 avant
JC, à la fin du dernier âge glacière,
des choses terribles sont arrivés au monde ou
vivaient nos ancêtres. Les grandes couvertures de
glace qui recouvraient le nord de l'Europe et
l'Amérique du nord ont fondu en laissant une
quantité d'eau phénoménale
derrière. Les eaux de la planète ont
monté de plus de cent mètres traversant les
terres. Approximativement 25 millions de mètres
carrés, de terres cultivables et habitables furent
avalées par la mer.
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