VESTIGES DE L'OCEAN INDIEN
Des sites paléolithiques de 20,000 ans un peu partout sur les côtes indiennes.

Les traditions du peuple Dravidien racontent que ce peuple serait arrivé en Inde vers -9.500 avant J.C. après avoir échappé à un cataclysme qui aurait englouti leur continent situé au Sud de l’Inde et à l’Est de Madagascar, en plein milieu de l’Océan Indien. Depuis, des scientifiques ont découvert un vaste continent englouti de la taille de l'Australie gisant sous les eaux de l'océan Indien confirmant ainsi la tradition dravidienne. Les Dravidiens seraient donc les survivants d’un cataclysme qui, vers -9.500 aurait englouti leurs terres de l’Océan Indien... Voir : Le Continent Malaysia


VESTIGES DU GOLFE DE CAMBAY

Une cité engloutie de 10.000 ans

Découverte de ruines sous-marine d'une Cité très vaste au large de la côte au sud-est de l’Inde dans le Golfe de Cambay. Sous 30 mètres d'eau, la cité très vaste fait plus de 8 kilomètres de long et 3 de larges. Elle aurait été construite plus de 5000 ans avant les constructions les plus vieilles de la Terre. Cette découverte met en évidence les légendes locales concernant un "déluge" dévastateur qui aurait entraîné autrefois plusieurs temples à la mer.


Suivant la légende locale, autrefois cette région avait sept magnifiques temples, mais six d’entre eux auraient été engloutis par la mer comme rétribution divine, laissant le septième temple, seul sur la rive. Le septième temple existe encore sur la plage. Depuis des siècles, des pêcheurs locaux sur la côte de Mahabalipuram racontaient des histoires à propos d’un grand déluge qui aurait détruit une cité il y a plus de 10.000 ans.

L’histoire a été enregistrée par l’explorateur anglais, J. Goldingham, qui explorait la région en 1978. Plus de cinq sites furent trouvés par différentes équipes assignées à ces recherches ont démontré la présence de construction de pierre, reste de murs, et de blocs de pierre rectangulaire, une grande plate-forme surmontant une formation géologique. La plupart de ces structures sont en mauvais état et recouvertes d'une vie sous-marine très active.


La trouvaille a été annoncée par des indigènes à Mahabalipuram, dans le Tamil Nadu, au sud de l’Inde, quand ils ont rapporté avoir vu une structure de temple mis à jour par les eaux qui se retiraient juste avant le raz-de-marée de Tsunami le 26 décembre. Le Tsunami découvrait aussi sur une plage des ruines d’une maison démembrée en pierre, un éléphant en rocher et deux lions géants en granite.

L’archéologue marin anglais, Graham Hancock, a passé des années à cataloguer les ruines sous-marines autour du monde. M. Hancock a pris part à une expédition pour étudier la région sous-marine près de Mahabalipuram en 2002, conjointement parrainée par la Société d’exploration scientifique anglaise (SES) et l’Institut national d’océanographie de l’Inde (NIO).

L’expédition a révélé la présence de maçonnerie en pierre, des restants de murs, des blocs carrés et rectangulaires de pierre éparpillés et une large plateforme avec des marches y conduisant. La plupart des structures étaient très endommagées et s’éparpillaient sur une région de plusieurs miles carrés. Deux complexes structuraux montraient une architecture et une dimension similaires. Le NIO estime l’âge des ruines à 1500-1200 ans a-c, quand la dynastie Pallava régnait dans la région et construisait des temples semblables. Cependant, suivant le géologue Glenn Milne de Durham University, les ruines pourraient remonter jusqu’à 6000 ans puisqu’il y a eu très peu de mouvements tectoniques dans la région depuis 5000 ans. Pour d'autres les ruines remontent à 10.000 ans.

Si les ruines à Mahabalipuram sont reconnues comme appartenant au même groupement de temples que le temple qu’on retrouve sur la plage, cela donnerait foi aux histoires locales que les étrangers considèrent comme des légendes.

Entre la période de 5000 avant J.C. et 15.000 avant JC, à la fin du dernier âge glacière, des choses terribles sont arrivés au monde ou vivaient nos ancêtres. Les grandes couvertures de glace qui recouvraient le nord de l'Europe et l'Amérique du nord ont fondu en laissant une quantité d'eau phénoménale derrière. Les eaux de la planète ont monté de plus de cent mètres traversant les terres. Approximativement 25 millions de mètres carrés, de terres cultivables et habitables furent avalées par la mer.



LE PONT D'ADAM

Un pont reliait l'Inde au Sri Lanka

Le Pont d'Adam, Pont de Râma ou Setubandha, est une chaîne des bancs de sable s'étendant de l'île de Mannar, près de la côte de nord-ouest de Sri Lanka à l'île de Pamban où se trouve la ville de Râmeshvaram, sur la côte de Coromandel, dans le Tamil Nadu, et située entre le golfe de Manaar au sud-ouest et le détroit de Palk au nord-est. Long d'une trentaine de kilomètres, il occasionne une gêne certaine pour la navigation.


Découvert grâce à d’anciens textes des Indes, ce pont qui est maintenant immergé à 90 mètres sous le niveau de la mer, mesure plus de 30 kilomètres de longueur. Le pont d'Adam est aussi nommé pont de Râma car il est dit dans le Râmâyana qu'il a été construit pour permettre à Râma d'atteindre l'île de Lanka où son épouse Sita était prisonnière du roi démon Râvana.

La courbure unique du pont et sa composition par l'âge révèle qu'il a été construit par l'homme. Tant la légende que les études archéologiques montrent que les premiers signes d'habitants humains à Sri Lanka remontent à un âge primitif, il y a environ 1.700.000 années et l'âge du pont est pratiquement équivalent.

Cette information est un aspect crucial pour pénétrer dans la mystérieuse légende appelée Ramayana que l'on suppose avoir eu lieu au Treta Yuga (1.700.000 ans).


Dans l'épopée de Ramayana il est fait mention d'un pont construit entre Rameshvaram (dans l'Inde du Sud) et la côte de Shri Lanka sous la supervision d'un personnage dynamique et invincible appelé Rama, supposé être l'incarnation du Suprême. Cette information peut ne pas être de grande importance pour les archéologues qui s'intéressent à explorer les origines de l'homme, mais il est certain qu'elle ouvrira les portes spirituelles des personnes du mondes qui en sont venues à connaître une histoire ancienne liée à la mythologie indienne.

Des indices géologiques sembleraient montrer que, par le passé, le pont d'Adam ait été un isthme continu. Des chroniques indiqueraient qu'une brèche aurait été ouverte dans le pont, en 1480, par une violente tempête.

En 2002, sur les suggestions d'un chercheur des vestiges du passé, la NASA produisit une photographie satellite prise entre les Indes et le Sri Lanka. Celle-ci laisse apercevoir sous les eaux entre la pointe sud des Indes et le Sri Lanka une structure chevauchant les cols de la chaîne de montagnes sous-marines. Les images satellitaires de la NASA montrant la matérialité de l'isthme eurent un si grand retentissement en Inde que son porte parole fit la déclaration suivante : « les images [... ] peuvent être nôtres, mais leur interprétation n'est certainement pas la nôtre [... ] des images de télédétection ou des photographies depuis l'orbite ne peuvent pas fournir des informations directes au sujet de l'origine ou de l'âge d'un chapelet d'îles, et n'indiquent certainement pas si des humains ont été impliqués dans la production de cette structure. »



SOURCES ET LIENS

Civilisations englouties






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